Afinque vous restiez ensemble ou de vous reconquĂ©rir si vous ĂȘtes sĂ©parĂ©s,ou tout simplement parce qu’il/elle est « trop mal », il/elle vous menace ou adopte des comportements Ă  risque. Il cherche Ă  vous culpabiliser et fait un vĂ©ritable chantage affectif, un chantage au suicide. Cette perspective de tentative au suicide est Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 4 participantsAller Ă  la page 1, 2, 3, 4 AuteurMessageSamuelle DaeeNombre de messages 493Maison Ex- toutAge du Perso 25 ansDate d'inscription 31/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 042 Samuelle sorti de la chambre en s’étirant comme un chat satisfait de son sommeil
 Elle aborda Aphrodite de dos et lui Ă©treignant les Ă©paules d’une façon langoureuse et cĂąline, lui plaqua un baisĂ© sonore sur la joue humm » fit-elle avec gourmandise
 Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 » commenta-t-elle avec le ton sensuel d’un amant
 On remet ça quand tu veux! » proposa-t-elle encore, un sourire malhonnĂȘte illuminant l’ectoplasme de sa figure
 Non? Quel dommage
 »Puis, sur ces bonnes paroles, la fantĂŽme se dirigea vers la porte, passa au travers et disparu, semant le doute dans l'esprit de tous... SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 208 Kaitz, je te prĂ©sente Lihinie. Lihinie je vous prĂ©sente Kaitz. Il est l'ami commun dont je voius parlais. Vieux, il y a une poubelle a terre Ă  ta droite. Mais tu as mal au coeur parce que tu es Ă  jeĂ»n. Bon, je vais chercher la derniĂšre. Ne nous atttendez pas pour manger...-Ah? Ehh... bonjours... Dit elle Ă  Kaitz qui venait d’arriver. Elle ne se souvenait pas du tout de lui, ou peut-ĂȘtre un peu... Le Joker... Enfin, elle avait un vague souvenir du joker quand il avait enlevĂ© son costume... oui, c’était lui. Enfin, elle vous qui Ă©tiez en joker?? ... je ne me souviens plus trĂšs bien de ma soirĂ©e d’hier... J’ai du boire beaucoup. Ça ne m’arrive pourtant jamais... hmm... Lihinie allait pour se servir qu’elle aperçu Less qui revint, traĂźnant Dite par le bras. Elle entendit Dite parler d’avoir prit des hallucinogĂšnes et de ne pas en avoir donnĂ© Ă  Kaitz. MalgrĂ© tous les antidotes contres les poisons qu’elle pouvait connaĂźtre, elle n’en connaissait malheureusement aucun contre les drogues. Aussi ironique que ça puisse paraĂźtre. Mais de toute façon, si elles avaient Ă©tĂ© prises la nuit derniĂšre, probablement qu’elles avaient cesser de faire effet. C’est Ă  ce moment que Muelle intervient en faisant un cĂąlin Ă  Dite et en insinuant qu’elles avaient fait quelque chose de plaisant cette nuit. Elle se demande bien ce que c’est, puis se dit que ce n’est pas de ses affaires. Selpanius revint de la douche, tout beau et tout propre, en pantalon et torse nu. Au moment oĂč Less cogna Ă  la porte et lui dit que la bouffe allait ĂȘtre froide, la porte s’ouvrit, laissant Ă©chapper un Ă©pais nuage de vapeur. -Ça n’a pas Ă©tĂ© si long quand mĂȘme. Elle Ă©tait dĂ©jĂ  partie, traĂźnant Dite. Selpanius prit son pantalon tout propre, grĂące Ă  Less, et alla dans la chambre pour le mettre. Il vit Muelle faire son cĂąlin et son commentaire Ă  Dite, puis partir. Selpanius lança son commentaire chiant Ă  l’intention de Dite. C’était plus fort que lui. -Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses se servi dans les plats, comme si de rien n’était, ignorant Dite qui devait probablement lui lancer un regard noir. Ou peut-ĂȘtre pas. Il se foutait complĂštement de Dite. Comme je l’ai dĂ©jĂ  mentionnĂ©, Selpanius n’avait que trĂšs peu de respect pour les ribaudes en manque. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 230 - Kaitz, je te prĂ©sente Lihinie. Lihinie je vous prĂ©sente Kaitz. Il est l'ami commun dont je vous parlais. Vieux, il y a une poubelle a terre Ă  ta droite. Mais tu as mal au coeur parce que tu es Ă  jeun. Bon, je vais chercher la derniĂšre. Ne nous attendez pas pour manger... - Hum... dit-il avec un lĂ©ger signe de la main, guĂšre enthousiaste. Assis dans le fauteuil, il remonte ses pieds sur le coussin et s'y affale. Le regard dans le vague, il est toujours tout aussi vert, mais son air semble plus rĂ©veillĂ©. Les sourcils froncĂ©s, il fixe le vide devant lui... Ă  moins que ce soit les pattes de la table... ou le tapis sous la table... enfin, peu importe. L'odeur du dĂ©jeuner est appĂ©tissante, mais il n'a vraiment pas faim. Le perrier sera suffisant, du moins pour commencer la journĂ©e... enfin, l'aprĂšs-midi. Less revient, suivie d'Aphrodite, qui n'a pas vraiment le choix de suivre. D'ailleurs, Less escorte Dite jusqu'au divan et, sans dire un mot, lui suggĂšre d'y prendre place. Dite semble pas trĂšs fraĂźche non plus. Il n'est pas le seul Ă  avoir passĂ© une sale nuit, quoi. Ça lui procure un certain plaisir, qu'il refoule aussitĂŽt, un peu troublĂ© d'avoir de telles pensĂ©es. Selpanius sort de la salle de bain, en pantalon, rien d'autre. Kaitz lui jette un oeil distrait, tout en se disant qu'est-ce que Less pouvait bien lui trouver Ă  celui-lĂ . Y'avait pas de quoi se pĂąmer. Oh, tiens, il sentait poindre un touche de frustration. Oui, Kaitz Ă©tait frustrĂ©. Dite qui l'avait confondu avec un autre, Less qui semblait se plaire avec cet imbĂ©cile de Selpanius, sans compter son mal de coeur tenace...- Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper n’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses ce n'est pas Dite qui ose une rĂ©plique, mais Kaitz. - Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?Oh, en fait, c'Ă©tait bien probable que Selp ne s'en souvienne plus, mais on le lui avait racontĂ© et y'avait des tĂ©moins. Un bref sourire complice Ă  Selpanius, il se renfrogne dans son fauteuil. Il n'est pas d'humeur Ă  plaisanter, visiblement. Less feint ignorer le trouble des autres. Mais Kaitz connaĂźt bien son amie. Elle n'ignore rien, elle ne fait que semblant que ça ne la touche Ă©dition par le Sam 3 FĂ©v 2007 - 2320, Ă©ditĂ© 1 fois Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 331 Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 On remet ça quand tu veux! Propose Samuelle Ă  Aphrodite. Lareless lĂšve le nez de sur son cafĂ©, la mine interrogative. Non? Quel dommage
 »Elle connait bien trop Muelle pour Ă©carter cette possibilitĂ© d'emblĂ©e. Et vu l'Ă©tat qu'ils Ă©taient hier, c'est une possibilitĂ© probable. Les yeux Ă©carquillĂ©s, elle regarde Muelle partir, puis jette un oeil rapide sur Kaitz, certaine qu'il va parler. Non, c'est Selpanius qui y va de son commentaire enrichissant. -Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses stupĂ©fiantes. Pour camoufler son petit rire, elle prend une gorgĂ©e de son cafĂ©. Elle pense qu'il est chanceux que la dite fantĂŽme ne soit pas lĂ , sinon elle lui aurait fait ravaler son n'importe quoi d'une phrase qui tue Ă  la Daae. Elle feint d'ignorer que les couteaux volent bas ce matin. - Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?-Elle criait fort votre banshee Selpanius?Lui demande elle moqueusement. Elle se prend une toast. Pose un bref regard de biais Ă  Aphrodite. La jeune femme est silencieuse. Less lui envoie une pique. -Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie? SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 1009 -Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?Arg, pas elle, pensa Selpanius. Cette Banshee » Ă©tait en faite une femme tout Ă  fait humaine, trĂšs charmante mĂȘme et amusante, tant qu’on ne couchait pas avec. Selp et Kaitz avaient encore fait leur petit pari de qui se taperait la plus belle fille cette nuit lĂ . On pourrait dire que Selpanius avait subit une dĂ©faite cuisante ce soir lĂ . En dehors de toutes ses jolies qualitĂ©s, elle avait un dĂ©faut majeur qui arrivait Ă  leur faire ombrage Celui de hurler Ă  l’orgasme. Mais tout un hurlement! On aurait dit qu’elle Ă©tait en train de se faire assassiner. Tout le voisinage avait du l’entendre, dont Kaitz. Selpanius grimaça au souvenir de ses cris, puis il souri. Effectivement, c’était quand mĂȘme drĂŽle de se le qu’un fantĂŽme? Certainement. Ce n’était pas une banshee, mais une aberration. Oh, je n’ai rien contre les fantĂŽmes, c’est simplement que je me demande comment avoir une relation sexuelle avec un ĂȘtre dĂ©nuĂ© de chair. -Elle criait fort votre banshee Selpanius?-Crier? Elle hurlait vous voulez dire... Tout le voisinage Ă©tait persuadĂ© que je venais de l’assassiner. Un vĂ©ritable cauchemar. Kaitz a bien rit ce soir lĂ . Vous imaginez?? Des gens du ministĂšre sont arrivĂ©s pour m’arrĂȘter! Et je devais leur expliquer la situation. Quel calvaire ce fut. RĂ©pondit-il d’un ton amusĂ© par cette vieille histoire. Selpanius c’était jurĂ© d’oublier cette soirĂ©e lĂ , et sur le coup, il n’en riait pas du tout. Surtout quand le ministĂšre Ă©tait dĂ©parquĂ© pour l’arrĂȘter. Mais maintenant, il la trouvait bien drĂŽle quand il y repensait. C’était sujet de plaisanteries. -Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie?-Hmmm? Oh, la musique? Effectivement. Elle Ă©tait trĂšs forte. J’en ai encore les oreilles qui cillent. Pourquoi? Mademoiselle... euh.. CrĂ©on? C’est bien ça? Elle a rĂ©ussi Ă  crier par dessus la musique? Wow. Je me demande bien ce qui a pu la motiver Ă  un tel point. Moi je n’aurais jamais rĂ©ussi, pas mĂȘme avec quelqu’un tenant un poignard Ă  ma gorge. La remarque de Lihinie Ă©tait totalement innocente. Elle n’avait pas comprit l’allusion Ă  l’aventure entre Dite et le loup. Pour elle, il fallait tout simplement ĂȘtre trĂšs motivĂ© pour rĂ©ussir Ă  crier par dessus la musique qui jouait Ă  tue tĂȘte. Son commentaire Ă©tait tout Ă  fait innocent et dĂ©nuĂ© de mĂ©chancetĂ©. En fait, ayant remarquĂ© qu'on s'acharnait sur Dite, elle avait voulu l'aider en changeant le sujet sur la musique qui jouait trop fort. Mais en fait, ça n'avait qu'empirer son cas. Lihinie ne se souvenait pas de cette histoire entre Dite et le Loup. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 1811 Aphrodite est assise sur le divan, essayant de faire abstraction de l'atmosphĂšre ambiante. Un frisson glacial la transperce alors tandis qu'elle reçoit un calin ectoplasmique Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 On remet ça quand tu veux! »Aphrodite surmonte son frisson pour regarder la fantome d'un air interrogatif... Qu'est-ce qu'elle raconte la fantomette? Non? Quel dommage
 »Elle n'a pas le temps de rĂ©pondre qu'elle est dĂ©ja partie... Mais quelqu'un d'autre lui assĂšne une rĂ©flexion... adorable... Aphrodite reconnut le fou noir et blanc de la fĂšte, celui qui lui avait dĂ©ja assenĂ© quelques douces remarques..."Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses stupĂ©fiantes."Aphrodite n'a pas le temps de rĂ©pondre que Kaitz lui avait dĂ©ja rĂ©pondu... plutot sĂšchement..."Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?"Elle regarde alors Kaitz... la premiĂšre fois qu'elle ose le regarder vraiment depuis hier soir... mais elle dĂ©tourne les yeux rapidement... tandis que Less lui assene encore une joyeuse pique..."Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie?"Aphrodite encaisse encore sans broncher... Apparemment ils trouvent un malin plaisir Ă  dĂ©monter les gens Ă  coups de petites piques et de remarques acerbes... "Pourquoi? Mademoiselle... euh.. CrĂ©on? C’est bien ça? Elle a rĂ©ussi Ă  crier par dessus la musique? Wow. Je me demande bien ce qui a pu la motiver Ă  un tel point. Moi je n’aurais jamais rĂ©ussi, pas mĂȘme avec quelqu’un tenant un poignard Ă  ma gorge."La sĂ©ance des remarques acerbes continuait... Mais Aphrodite continuait Ă  ne rien dire... La culpabilitĂ© et la honte la quittent pour laisser place Ă  la colĂšre et Ă  une lĂ©gĂšre envie de meurtre XD... Pour qui se prennent-t-ils ceux lĂ  pour dĂ©molir quelqu'un dĂ©jĂ  Ă  terre... ? Elle essaye un peu de se calmer... mais non c'Ă©tait trop....Pi vu ce qu'elle subissait dĂ©jĂ  ça ne pouvait pas ĂȘtre pire... Elle se lĂšve alors brusquement du divan, se tourne vers eux avec un regard noir... Et dit d'une voix plutĂŽt Ă©nervĂ©e..."HĂ© le bouffon photocopiĂ©... La chatte en chaleur elle vous emmerde !!! A la place de vos piques et remarques acerbes... Pourquoi vous ne diriez pas diectement ce que vous avez sur le coeur ? Vous me prenez pour une pute, une droguĂ©e, une sous-merde...? Bah dites le !!! Ah nan vous prenez un malin plaisir Ă  torturer les gens... Bah trouvez vous une autre victime... C'est bon j'en ai marre... Oui j'ai fais des conneries... Oui je me suis dĂ©guisĂ©e en Catwoman et j'ai essayĂ© de jouer ce role... Argh quelle horreur... Avant mĂȘme d'avoir fait quoi que ce soit vous aviez dĂ©ja votre opinion sur moi si je ne m'abuse cher bouffon... Quelle fille digne de ce nom aurait pu mettre un costume si vulgaire... C'est pas pire que les nymphes qui se balladent Ă  poil..."Elle s'arrĂ©te quelques secondes... le regard encore plus noir, la colĂšre la fait un peu trembler..."Ca vous arrive jamais de faire des conneries sous l'effet de l'alcool ? De ne pas avoir le bon jugement sur les choses ou les personnes ? Vous racontez vos exploits avec la banshee... et je suis sure qu'un de vos jeux favori est de faire la course pour vous faire la plus jolie nana pendant les soirĂ©es... Et c'est moi la pute ??? Vous considĂ©rez les filles comme des objets et c'est moi qui doit prendre? Oui j'ai fait des conneries avec le grand mĂ©chant loup... Oui j'ai osĂ© le confondre avec Kaitz... Et ça je le paye dĂ©ja assez sans que vous ayez Ă  en rajouter... Mais dans une soirĂ©e dĂ©guisĂ©e dont le but est justement de ne pas savoir qui est l'autre... et avec l'alcool... le jugement peut facilement ĂȘtre faussĂ© non ?? Ensuite pour m'ĂȘtre fait deux petits cocktails avec une miette d'hallucinogĂšnes dedans... je suis la pire des droguĂ©es... Et bien si vous voulez... Mais si je vous dĂ©goute tant que ça pourquoi m'avez vous fait venir ici ???"Tout ce qui l'avait enfermĂ© sur elle-mĂȘme depuis que minuit avait sonnĂ© Ă©tait en train de la submerger et de sortir, elle ne pouvait pas le retenir... Les tremblement Ă©taient de plus en plus fort, son regard de plus en plus noirs, son souffle saccadĂ©... Elle se dirige alors vers la porte de la chambre et hurle ..."Vous vous ĂȘtes bien amusĂ©s ??? Maintenant oubliez moi et foutez moi la paix !!!!!!!!!"Elle entre dans la chambre et claque la porte avec une telle rage qu'elle faillit sortir de ses gonds... Enn passant elle prend une lampe de chevet qui se trouvait sur la table de nuit et l'explose contre le mur de l'autre cĂŽtĂ© de la piĂšce... Elle cherche ses vĂȘtements pour ne pas avoir Ă  sortir en t-shirt... mais ne les trouve pas... DĂ©sabusĂ©e, envahie par la rage, elle essaie de se calmer... Elle fait le tour du lit et s'assoit contre le mur derriĂšre, le plus loin de la porte possible... elle tremble, les larmes de rage cette fois-ci embuent ses yeux... SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 2249 Pendant que Dite explosa, Selpanius resta complĂštement indiffĂ©rant aux petites insultes qu’elle pouvait bien lui balancer, buvant son thĂ©, l’air parfaitement calme. MĂȘme qu’il eu le culot de bailler pendant qu’elle criait de colĂšre. -Tient, j’ai cru apercevoir une pointe de dignitĂ© en elle, dit il sarcastiquement, toujours impassible et calme, entre deux gorgĂ©es de thĂ©. -J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas?? Demanda Lihinie, une fois Dite sortie de la piĂšce. Elle se demandait sincĂšrement ce qu’elle avait dit pour la fĂącher. -Toi? Oh, tu lui as simplement rappelĂ© une de ses petites erreurs. Sinon ne t’en fais pas, je crois que j’y suis pour plus que toi dans cette crise, lui rĂ©pondit-il, toujours indiffĂ©rant Ă  la crise de quelques secondes de rĂ©flexion, Selpanius se tourna vers fait... ta minette a apportĂ© des vĂȘtements de rechange en dehors de son costume? Ça ne serait pas dĂ©cent de se promener ainsi dans les rues. -Oh non... C’est vrai que ça serait indĂ©cent... Mais j’y pense, moi j’en ai quelques uns dans un petit sac... je peux peut-ĂȘtre lui en prĂȘter? Lihinie se leva et fouilla dans un sac minuscule et probablement trop petit pour transporter des vĂȘtements. Pourtant, elle en sorti une petite robe mauve qui normalement arriverait Ă  mis mollet si elle Ă©tait portĂ©. Lihinie ne comprenait pas trop pourquoi tout le monde s’acharnait sur Dite, mĂȘme si elle avait apparemment fait quelques conneries. Lihinie Ă©tait trop gentille pour s’acharner sur les gens, mĂȘme si c’était les pires salauds du monde. Alors il Ă©tait certain qu’elle n’allait pas ĂȘtre mĂ©chante avec Dite. Lihinie cogna timidement Ă  la porte de la chambre oĂč Ă©tait Dite. Elle parla au travers la porte. -J’ignore si vous avez des vĂȘtements de rechange... mais si ce n’est pas le cas, je peux vous prĂȘter une robe Ă  moi... J’ignore si elle va vous faire, mais c’est mieux que de retourner dehors en costume de chat... non?Ça voix Ă©tait gentille et dĂ©nuĂ©e de moquerie, contrairement Ă  Selpanius. -Lihinie... tu es trop gentille... Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 203 RenfrognĂ© dans le fauteuil, Kaitz rĂ©flĂ©chit et en mĂȘme temps, Ă©coute la discussion. Selp relate avec brio les grandes lignes de l'histoire de la Banshee, sans mentionner, Ă©videmment, qu'elle les avait ensuite suivi durant plusieurs jours et mĂȘme aprĂšs quelques mois, il regardait toujours par-dessus son Ă©paule, terrifiĂ© Ă  l'idĂ©e de la voir apparaĂźtre. Mais Selpanius avait la bonne habitude de ne relater que ce qui pouvait lui ĂȘtre avantageux. Et d'ailleurs, Less semble le croire. Il grimace, les yeux rivĂ©s sur sa bouteille de perrier qui se vide tranquillement. Chacun y va de son commentaire, jusqu'au moment ou Dite explose. Furieuse, elle leur balance tout ce qu'elle a Ă  dire, s'adressant principalement Ă  ceux autour de la table, mais il s'en approprie une partie. Elle n'a pas tort... pas sur toute la ligne... il avait oubliĂ© quelques dĂ©tails avec toute cette histoire... il la dĂ©visage, une pointe d'admiration dans le regard. Rageuse, Aphrodite va s'enfermer dans la chambre et claque la porte. Il entend le commentaire de Selp, mais il ne relĂšve pas... il fixe la porte close de la chambre, pensif. Il vient de comprendre pourquoi il a Ă©tĂ© si malade et pourquoi il est dans un Ă©tat si lamentable encore. Les hallucinogĂšnes dans l'alcool... son corps ne supportait pas. Less le savait... - Ça explique pourquoi j'suis dans un tel Ă©tat... j'lui ai volĂ© son dernier verre... pendant que Lihinie a l'air moins malade d'un coup, il se lĂšve et marche vers la table. Il s'empare d'une toast, sans rien dessus et la dĂ©chire consciencieusement, Ă©parpillant des miettes partout. Il reste debout et fixe la porte. - Lihinie... tu es trop gentille... - Et toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le et toast Ă  la main, il semble hĂ©siter un moment, puis va rejoindre Lihinie prĂšs de la porte et la pousse quelque peu pour ouvrir la porte. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 337 Aphrodite n'arrive pas Ă  se calmer... La rage qu'elle ressent ne se calme pas... Il faut qu'elle s'en aille, elle ne peut plus rester dans cette suite... Elle n'aurait jamais dĂ» venir, suivre Kaitz... Rhaaa pourquoi elle Ă©tait venue... Il faut qu'elle parte d'ici... mais comment ? Elle est en t-shirt... et pour partir elle doit passer devant les autres... et ça c'Ă©tait hors de question...Des coups timides sont frappĂ©s Ă  la porte, la voix de Lihinie se fait entendre..."J’ignore si vous avez des vĂȘtements de rechange... mais si ce n’est pas le cas, je peux vous prĂȘter une robe Ă  moi... J’ignore si elle va vous faire, mais c’est mieux que de retourner dehors en costume de chat... non?""Foutez moi la paix... Rejoingnez donc votre frĂšre adorĂ© !!!" lui rĂ©pond-elle avec hargne bien que Lihinie lui avait parlĂ© gentilment... La seule qui ne semblait pas contre elle...Elle se lĂšve alors et vas vers la fenĂštre, le seul moyen de sortir d'ici... Elle essaie de l'ouvrir, mais l'Ă©tat de nerf dans lequel elle est l'empĂšche de l'ouvrir. Elle s'acharne un peu contre l'ouverture puis abandonne. Elle donne alors un violent coup de poing dans la vitre qui se brise. Le verre lui coupe la main et le poignet, mais elle s'en fout et continue Ă  s'acharner sur la fenĂštre pour l'ouvrir... Ce qu'elle parvient Ă  faire lorsque la porte s'ouvre... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 759 Enfin une dĂ©monstration d'un peu de caractĂšre... Lareless a un petit sourire satisfait. Peut-ĂȘtre Aphrodite est-elle digne de Kaitz en fin de compte. Et toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le hausse un sourcil, regarde Kaitz et Selpanius d'un air interrogateur, ne sait pas si elle doit le prendre comme un compliment. Elle n'a pas le temp d'approfondir la question qu'un bruit de verre brisĂ© attire l'attention de tout le monde. Ses instincts d'auror refont surface. Baguette Ă  la main, elle se prĂ©cipite Ă  la porte de la chambre, tasse Kaitz un peu brusquement, oubliant son dos. Le spectacle qu'elle voit lui fait revoir sa position qui commencait Ă  ĂȘtre favorable envers Dite pour une position plus neutre. Elle entre dans la piĂšce sans crainte, elle aime mieux que ca soit elle en premiĂšre ligne que Kaitz. Ca suffit. Vous allez vous blesser sĂ©rieusement! Elle tente de ramener Aphrodite Ă  la raison, ne voulant pas utiliser de sortilĂšge contre elle, mais la jeune femme ne semble pas l'entendre, ni la voir. Si elle retape dans le trou, elle va s'ouvrir une veine pour sĂ»r. Lareless ne gifle que rarement. Elle a le choix entre deux maux. Celui d,une blessure sĂ©rieuse ou le bleu Ă  l'orgeuil qu'un coup de poing peut causer. Elle choisit le moindre. La baguette change de main tandis qu'un coup de poing magistral s'abat sur la mĂąchoire d'Aphrodite. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 1004 Lihinie Ă©tait gentille, trop gentille des fois, c’était vrai. Mais elle avait horreur d’une chose L’ingratitude. Elle ne demandait rien en retour quand elle aidait, si ce n’était qu’un merci ou simplement un peu de politesse ou de respect. Mais se faire parler ainsi alors qu’elle proposait de l’aide, mĂȘme si c’était pendant une crise de colĂšre, Lihinie ne le prenait pas. À moins qu’elle ne s’excuse une fois calmĂ©e, Lihinie ne comptait plus lui offrir d’aide. -TrĂšs bien. Dans ce cas, dĂ©brouillez vous sans moi. RĂ©pondit elle, froidement. Lihinie avait cessĂ© de compatir pour Dite. Alors qu’elle s’en allait pour s’éloigner de la porte, Kaitz la poussa. Pas brusquement, mais ce fut assez pour lui faire comprendre qu’elle Ă©tait considĂ©rĂ© avec autant d’égare que son frĂšre. Lui, il insultait Dite depuis tantĂŽt. Lihinie, elle, avait essayĂ© de l’aider. Oh, elle n’était pas encore fĂąchĂ©e, mais il n’en manquait toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le Si j’étais si con, je n’aurais jamais trouvĂ© une femme aussi merveilleuse. Et puis, pourquoi tu... C’est alors que le bruit de verre briser se fit entendre. Les choses se dĂ©roulĂšrent trĂšs rapidement. Less s’étant prĂ©cipiter dans la chambre pour arrĂȘter Dite avait du lui assener un coup de poing en pleine gueule. Bien qu’il mĂ©prisait cette femme, il n’allait pas pour autant la laisser se blesser. C’était quand mĂȘme la petite amie de son ami. MĂȘme si celui-ci avait Ă©tĂ© trĂšs grossier avec lui. Selpanius rattrapa Dite qui chancela en recevant le coup et failli tomber. Il la fit s’assoire en douceur sur le lit. Il Ă©tait toujours trĂšs doux avec les femmes. Selpanius se tenait prĂšs au cas oĂč Dite tenterait de s’en prendre Ă  lui. Ne serait-ce que pour parer ses coups et s’empĂȘcher lui mĂȘme de la frapper en retour si elle le faisait. Quant Ă  Lihinie, elle perdit patience. Elle n’éclata pas de colĂšre comme Dite ou Less la veille. Au contraire, elle Ă©tait trĂšs calme et sans violence. D’un calme placide et glaciale. MalgrĂ© s’ĂȘtre dit de ne plus aider Dite, elle allait quand mĂȘme le faire. Celle ci c’était blessĂ© griĂšvement et c’était son devoir de guĂ©risseuse de la soigner. D’un sortilĂšge d’assio, les bandages que contenait la pharmacie de la salle de bain rejoignirent Lihinie. Elle passa prĂšs de Kaitz et Selpanius, les poussant Ă  son tour pour se frayer un chemin jusqu’à Dite. -Selpanius, ne rajoute plus de commentaire, dit elle froidement Ă  son frĂšre qu'elle aimait pourtant tendrement. Toi aussi tu te tais, lança t-elle Ă  Kaitz avant mĂȘme que celui ci ait ouvert la bouche pour parler. J’en ai marre de vos petites disputes puĂ©riles et de cette situation ridicule. Elle ne criait pas. Lihinie murmurait presque, assez fort pour ĂȘtre entendue. Pour une raison Ă©trange, c’est bien plus impressionnant quelqu’un qui murmure tant il est en colĂšre et reste calme que quelqu’un qui criait de rage et qui t’engueulait comme du poisson perdant pas de temps, elle entoura les mains et poignets ensanglantĂ©s de Dite des bandages. MĂȘme fĂąchĂ©e, Lihinie restait une guĂ©risseuse et un ĂȘtre fondamentalement gentil. Un petit coup de baguette magique et une lueur rosĂ©e entoura les poignets de Dite, dĂ©sinfectant les plais et les aidant Ă  se refermer rapidement. -Tu n’es pas la seule qui veut sortir d’ici... Dit elle Ă  Lihinie resta complĂštement silencieuse le temps de finir de soigner Dite. Elle examina sa mĂąchoire. Pas cassĂ©e, mais elle Ă©tait enflĂ©e. Less ne l’avait vraiment pas manquĂ©e. Avec une pommade, elle la guĂ©rirait facilement, mais elle n’en avait pas avec elle en ce moment. Dire qu’elle avait tellement hĂąte de revoir son grand frĂšre. Jamais elle n’avait pensĂ© que ça pourrait ĂȘtre dans des circonstances aussi lamentables. C’était de la tristesse et de la dĂ©ception qu’elle ressentait Ă  prĂ©sent. Lihinie senti une main se poser sur son Ă©paule. C’était Selpanius. Il avait un regard d’excuse, comme s’il lisait dans ses pensĂ©s. Sa colĂšre Ă©tait tombĂ©e. -Je... Je crois que je vais y aller... Puis elle se dirigea vers la salle de bain pour se changer. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2006 Il ouvre la porte et il voit Dite ouvrir la fenĂȘtre. Un carreau Ă©tait brisĂ© et elle avait la main en sang. Il Entre dans la chambre, perplexe, puis le reste se passe rapidement. Less passe Ă  cĂŽtĂ© de lui en coup de vent et cogne Dite. La premiĂšre rĂ©action de Kaitz, ce n'est pas d'aller vers la victime, mais d'enrayer la menace. En deux pas, il est Ă  cĂŽtĂ© de Less et la saisit par le bras et lui fait face, furieux. Il voit vaguement Selp attraper Dite chancelante, puis la voix de Lihinie. C'est une voix Ă©trange, si impĂ©rative, mais si douce en mĂȘme temps. Comme Lihinie l'a demandĂ©, Kaitz ne dit pas un seul mot. Il relĂąche Less, sans la regarder et recule. Kaitz ne recule que rarement... tout ça le dĂ©passe un peu. Il en a vĂ©cu des trucs, parfois terrible, mais jamais entre des personnes auxquelles il tient. Sans un mot, il ne bouge pas, laissant Lihinie soigner Dite, mais il fait dĂ©filer une Ă  une les clĂ©s de son trousseau autour de l'anneau, cherchant la bonne. Il la trouve. Il hĂ©site un moment Ă  s'en servir... - Je... Je crois que je vais y aller...- Merci, Lihinie... il lui adresse un regard reconnaissant, mais sans plus. Il se dirige vers le lit et s'y assoit, puis il secoue la tĂȘte. Allez, foutez le camp... dit-il en faisant un vague signe de la main. Il n'avait rien d'autre Ă  dire pour l'instant. Il voit Dite bouger, il l'attrape par le poignet. Non, toi tu restes...Il ne regarde personne d'autre que Dite, le visage fermĂ©, indĂ©chiffrable. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2030 Sans trop savoir pourquoi, Aphrodite voit Less se prĂ©cipiter sur elle et lui foutre un gros coup de poing dans la machoire. Elle se retrouve dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et presque assommĂ©e. Elle regarde Less avec une totale incomprĂ©hension... Pourquoi l'a-t-elle frappĂ© ainsi ? Elle devait se retenir depuis un bon moment... Ca a eu au moins l'avantage de calmer Aphrodite direct... La violence de Less l'ayant laissĂ©e sous le choc. Elle met mĂȘme un bon moment avant de se rendre compte que Selpanius l'avait retenue dans sa chute et fait assoir sur le lit et que Kaitz avait arrĂ©tĂ© Less...La voix glaciale de Lihinie la ramena sur Terre. Elle qui avait Ă©tĂ© si douce Ă©tait devenue un vrai glaçon. Aphrodite se rapelle alors de sa rĂ©ponse quand elle lui a proposĂ© gentillement de l'aide... Elle l'avait envoyĂ©e paĂźtre.. Et malgrĂ© cela elle la soignait tout de mĂȘme..."Tu n’es pas la seule qui veut sortir d’ici..."Aphrodite la regardait, comme si elle voulait lui dire des trucs mais que ça ne sortait pas ou qu'elle rĂ©flĂ©chissait Ă  quoi dire..."Je... Je crois que je vais y aller... "Aphrodite n'a qu'Ă  ce moment lĂ  le rĂ©flexe de la retenir un peu par la main... Elle la regarde toujours et lui dit simplement d'un murmure tout juste audible..."Pardonne moi... Merci..." puis la regarde partir ers la salle de bain...Aphrodite sent quelqu'un s'assoire sur le lit. Elle tourne la tĂȘte et voit Kaitz secouant la tĂȘte. "Allez, foutez le camp..."Aphrodite va pour se lever mais il la retient par le poignet. Elle se rassoit et le regarde ne comprenant pas trop..."Non, toi tu restes..."Elle reste alors docilement assise sur le lit, regardant Kaitz, inquiĂšte de voir son visage si fermĂ©..."Kaitz...?" souffle-t-elle alors dans un murmure... Puis elle porte la main Ă  sa machoire enflĂ©e... Le coup de Less lui fait mal... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2205 Lareless, le menton droit, regarde Kaitz dans les yeux mais lui il ne la regarde pas. Allez, foutez le camp... La jeune femme le regarde intensĂ©ment. Elle voulait seulement l'empĂȘcher de se blesser et il le prend comme ca? Elle en perd son anglais et son italien. PLus que vexĂ©e, elle prend son sac Ă  main et se dirige vers la sortie. Si Selpanius et sa soeur veulent la revoir, il savent ou se renseigner pour la trouver. Pour le moment, elle aurait bien envie d'une bonne cuite. Il ose lui faire un reproche... Elle se demande ce qu'il aurait fait Ă  sa place. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2245 Au moment oĂč Lihinie se levait, on lui adressa la parole pour la remercier. D’abord Kaitz, puis Dite, mĂȘme qu’elle lui demanda pardon. Lihinie leur adressa un vague sourire en coin qui voulait tout dire Elle n’était plus du tout en colĂšre et elle ne leur en voulait plus du tout. MĂȘme qu’elle retrouva un peu sa bonne humeur naturelle. Elle disparue ensuite dans la salle de bain. Allez, foutez le camp...Selpanius Ă©tait un Ă©goĂŻste fini et avait un caractĂšre exĂ©crable, mĂȘme avec ses amis. La diffĂ©rence de son comportement avec ses amis et ceux dont il se fichait, c’était une limite Ă  ses chienneries. Et oui! Il y avait une limite dans son sale caractĂšre! Étonnant hein? MĂȘme que quand il voulait, il pouvait ĂȘtre trĂšs gentil. Quand il voulait. -Bien bien, je vais vous laissez entre vous. *regarde les mains et poignets de Dite* Elle devrait ĂȘtre guĂ©rie trĂšs vite. La guĂ©rison de Lihinie est trĂšs efficace, dit il pour les rassurer. Selp Ă©tait conscient que Less et Kaitz devront se parler aprĂšs. Mais aprĂšs. Kaitz voulait d’abord ĂȘtre avec Dite. Alors il les laisserait en paix dans leur intimitĂ©. Selp sorti de la chambre, Ă  la suite d’une Less particuliĂšrement vexĂ©e. À ce moment, Lihinie ressortie de la salle de bain, toute habillĂ©e et ramena deux objets Elle rendit la chemise que Kaitz lui avait prĂȘtĂ© pour la nuit, toute soigneusement pliĂ©e et propre, et donna un sac de glaçons pour la mĂąchoire de Dite. -J’ai enchantĂ© la glace pour qu’elle guĂ©risse mieux et qu’elle ne gĂšle pas trop. Merci pour la chemise, dit elle Ă  Kaitz. Tu devrais bientĂŽt pouvoir enlever les bandages. Ce genre de blessure guĂ©ri vite avec un peu de magie, rajouta t-elle pour Dite. Elle leur souri Ă  tout les deux, puis elle quitta la piĂšce et ferma doucement la porte derriĂšre elle, les laissant seuls ensembles. Lihinie rejoignit Less et Selp. Elle remarqua que Less Ă©tait fĂąchĂ©e. Elle se demanda pourquoi pendant une seconde, puis elle se rappela que Less avait frappĂ© Dite pour l’aider et que Kaitz c’était fĂąchĂ©e contre elle. -Dans l’état oĂč il se trouvait, il n’a pas du remarquer que vous vouliez aider mademoiselle CrĂ©on... dit elle timidement Ă  Less, conscience que celle ci Ă©tait particuliĂšrement pas d’humeur. Peut-ĂȘtre qu’il va s’en rendre compte et s’excuser... ? se risqua t-elle. Selpanius lui s’étala dans le divan et sortie la bouteille de champagne. -Prenons donc un verre! En souvenir de cette nuit et cette journĂ©e mĂ©morable. Dit-il d’un ton cynique. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2321 Kaitz attent patiemment que tout le monde ait quittĂ© la piĂšce et il reste mĂȘme quelques secondes sans rien dire, dĂ©visageant Aphrodite et mettant en mots ses pensĂ©es. - Excuse-moi, j'aurais dĂ» intervenir avant que tout ça dĂ©gĂ©nĂšre... d'un autre cĂŽtĂ©, si cette mĂȘme situation Ă©tait arrivĂ©e Ă  Less... j'aurais dĂ©molit le mec... que ce soit Selpanius ou un autre...L'aveu est assez explicite pour faire comprendre le lien entre Kaitz et Less, mais aussi assez brusque pour marquer la dĂ©ception de Kaitz Ă  cette situation. D'un autre cĂŽtĂ©, il l'avait bien chercher. Inventer un truc pareil, Dite n'avait pas tort lorsqu'elle avait parlĂ© du pari entre Selp et lui, et l'idĂ©e de tenir un rĂŽle le temps d'une soirĂ©e. Il ne savait pas que Dite serait lĂ  et il aurait trĂšs bien pu en ramener une autre... c'Ă©tait le jeu, le pari... la frime... les Ă©vĂ©nements s'Ă©taient dĂ©roulĂ©e diffĂ©remment... il ne savait mĂȘme plus trop quoi dire... il ne s'Ă©tait jamais retrouvĂ© dans une telle situation... l'inverse peut-ĂȘtre... valait mieux ĂȘtre Tu n'avais pas tort... j'avais pariĂ© avec Selpanius... et en temps normal, nous avons une fĂ©roce rivalitĂ©... j'aurais pu tout aussi bien pu gagner le pari... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 054 Peut-ĂȘtre qu’il va s’en rendre compte et s’excuser... ? se risqua t-elle. Selpanius lui s’étala dans le divan et sortie la bouteille de champagne. -Prenons donc un verre! En souvenir de cette nuit et cette journĂ©e mĂ©morable Lareless s'arrĂȘte, regarde le dĂ©jeĂ»ner, les plats froids, la bouteille. N'ouvrez pas ca tout de suite je vous prie. Elle vide son sac Ă  main, lance un sort d'Ă©largissement, le transformant en sac Ă  pique nique. Elle remballe soigneusement les mets froid, prend la bouteille de champagne et des verres. Elle a faim et n,est pas du genre Ă  laisser gaspiller la nourriture. . Allons pique-niquer au soleil Ă  l'endroit de votre choix. Je ne reste pas ici une minute de plus et je ne les laisserai pas gĂącher la journĂ©e. Elle a un petit sourire, mi-amusĂ©, mi-amer. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 117 Selpanius rĂ©flĂ©chi Ă  un endroit oĂč ils pourraient faire leur pique-nique tranquille et oĂč ils seraient bien. Lihinie prit la parole. -Chez nous, nous avons un grand jardin un peu sauvage... il y a de la place pour prendre un pique-nique tranquille. D’ailleurs je dois rentrer pour m’occuper un peu de Mani qui doit se mourir de faim. -Effectivement, il y a un jardin... Mani? Arg! Ne me dis pas que tu as ramenĂ© cette sale bĂȘte??! -Bien sur, je n’allais pas l’abandonner. Je l’aime moi cette bĂȘte. -Mrrrf... bon bon... j’espĂšre qu’elle n’a pas encore dĂ©truit mes meubles...-Je lui ai promit du lait si elle n’y touchait pas...-J’espĂšre bien qu’elle n’y a pas touchĂ©... bon. Je suis partant pour le pique-nique dans le jardin. Selpanius, ayant dĂ©jĂ  mis ses pantalons, enfila sa chemise et sa redingote rouge et prit ses affaires. Il posa son chapeau haut de forme sur sa tĂȘte et en quelques secondes, il Ă©tait prĂšs Ă  partir. -Mani est mon chat. Elle est adorable, dit elle pour expliquer Ă  Less qui Ă©tait Mani. -Bien, allons y! Vous aurez l’occasion de voir notre belle maison. J’en suis ravie, d’autant plus qu’ils n’auront pas rĂ©ussi Ă  gĂącher notre Ă©dition par le Lun 5 FĂ©v 2007 - 510, Ă©ditĂ© 1 fois Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 255 Aphrodite regarde Less sortir furax... Un immense froid s'Ă©tait installĂ© entre les deux amis... Elle se sentait responsable de tout ça... Lihinie rĂ©apparait de la salle de bain avec un sac de glaçons et le tend Ă  Aphrodite qui les prent et les pose sur sa machoire. Elle rĂ©prime une grimace, ça lui fait mal... "Merci pour tout Lihinie" murmura-t-elle alors...Tout le monde Ă©tait sortit, il ne reste maintenant que Kaitz et Aphrodite... Un silence pesant s'installe... Elle n'ose pas le regarder et garde les yeux fixĂ©s devant elle, probablement sur le petit point noir sur le mur..."Excuse-moi, j'aurais dĂ» intervenir avant que tout ça dĂ©gĂ©nĂšre... d'un autre cĂŽtĂ©, si cette mĂȘme situation Ă©tait arrivĂ©e Ă  Less... j'aurais dĂ©molit le mec... que ce soit Selpanius ou un autre..."Avant que tout dĂ©gĂ©nĂšre... Ca avait dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© depuis le dĂ©but... Le lien qui unit Kaitz et Less est fort... vraiment fort... Aphrodite se sent presque de trop entre eux... Elle continue Ă  fixer le mur sans rien dire... Que rĂ©pondre ?"Tu n'avais pas tort... j'avais pariĂ© avec Selpanius... et en temps normal, nous avons une fĂ©roce rivalitĂ©... j'aurais pu tout aussi bien pu gagner le pari..."Ainsi c'Ă©tait ça... Ils font tout un plat parce qu'Aphrodite l'a trompĂ© sans le vouloir... Mais si ça avait Ă©tĂ© lui qui l'avait trompĂ©e... Ca aurait Ă©tĂ© tout Ă  fait normal... Elle ne sait pas trop quoi penser de tout ça... Est-ce que tout Ă©tait cassĂ© ? Elle espĂšre que non... Elle connait bien Kaitz, elle sait qu'il est attirĂ© et qu'il attire beaucoup les femmes... Elle l'a su dĂšs le premier soir... Elle avait eu le secret espoir de le changer un peu, de ne faire qu'il n'aime plus qu'elle, mais sans doute elle avait Ă©chouĂ©... L'aime-t-il autant qu'elle l'aime ? Elle le regarde, fixe ses yeux... Elle commence dĂ©jĂ  Ă  fondre de nouveau... Elle est prĂšte Ă  tout pardonner, Ă  tout accepter de lui ou presque... Mais le faut-il vraiment ? Pour elle la rĂ©ponse est oui... Mais son jugement est faussĂ©... Elle dĂ©tourne Ă  nouveau les yeux vers le point noir sur le mur et dit d'une petite voix..."Que fait-on ?" Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 602 Oui, il l'avait dit. En temps normal, Selp et lui auraient eu une fĂ©roce rivalitĂ©... mais rien la nuit derniĂšre n'avait Ă©tĂ© normal. Il avait abandonnĂ© la compĂ©tition bien trop tĂŽt... les verres volĂ©s Ă  Samuelle avaient tapĂ© trop fort... d'ailleurs, pourquoi il avait volĂ© les verres de Samuelle ? Pourquoi avait-il prĂ©fĂ©rĂ© lier des ponts entre les gens et aller narguer Selpanius plutĂŽt que de remporter le pari ? Pourquoi Dite s'Ă©tait-elle retrouvĂ©e avec un Loup qui, selon elle, avait les mĂȘme maniĂšres que lui ? D'avoir autant bu et d'avoir prit un verre contenant des hallucinogĂšnes, dans le verre de Dite, l'unique verre de Dite, tandis qu'il avait volĂ© les verres de tout le monde durant toute la soirĂ©e. Que tout ça se passe un soir ou Less lui pique les clĂ©s de la suite qu'il s'est prise et qu'ils se retrouvent tous au mĂȘme endroit. D'Ă©tranges coĂŻncidences qui, mise bout Ă  bout, faisaient croire que c'Ă©tait vraiment pas son jour... ou, comme le disait Xoramen rien n'est que pure coĂŻncidence, nous faisons tous parti d'un plan dĂ©jĂ  Ă©tabli ». Ou Ă©tait-ce simplement une de ces fichues malĂ©diction qui s'Ă©tait mise en action ce soir lĂ  ? Ou encore, Ă©tait-ce aujourd'hui que tout ce qu'il avait pu faire de mal lui revenait en pleine figure ? - Que fait-on ?La question Ă©tait brĂšve et concise... mais elle avait un de ces impacts sur la suite... que devait-il faire ? Que devaient-ils faire ? Une chose Ă©tait sĂ»re, Aphrodite n'Ă©tait pas comme les autres... elle avait un petit quelque chose qui lui Ă©tait unique. PrĂšs d'elle, son feu intĂ©rieur cessait de brĂ»ler et ronronnait paisiblement. Pouvait-on s'enflammer Ă©ternellement ? N'importe quelle flamme finissait par s'Ă©teindre lorsqu'elle n'avait plus rien Ă  brĂ»ler... il ne voulait pas s'Ă©teindre... des braises pouvaient couver longtemps et ronronner paisiblement... devait-il encore et toujours brĂ»ler ou devait-il couver pour durer plus longtemps ? Il avait toujours tout flamber, tout brĂ»ler, peut-ĂȘtre Ă©tait-il temps pour lui se s'apaiser avant que la flamme ne s'Ă©teigne pour de bon... oui, c'Ă©tait probablement le temps de souffler la flamme mais de conserver le tison... et Dite pouvait souffler la flamme... et conserver le tison... avant qu'il ait tout brĂ»lĂ©...- Je... je propose d'abord une douche, chaude cette fois, on en a bien besoin... ensuite... et bien j'ai encore la chambre pour quelques heures... faudrait bien en profiter... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 740 Bien, allons y! Vous aurez l’occasion de voir notre belle maison. J’en suis ravie, d’autant plus qu’ils n’auront pas rĂ©ussi Ă  gĂącher notre ne peut s'empĂȘcher de penser que pour elle c'est dĂ©jĂ  gĂąchĂ©. Elle empoigne cependant son sac Ă  main/pique nique d'un geste ferme, s'oblige Ă  sourire et invite le frĂšre et la soeur Ă  lui faire visiter. Silencieusement, Lareless quitte la suite, Selpanius et Lihinie sur les talons. DerniĂšre dĂ©licatesse pour son ami, elle verrouille la porte en sortant. Les clefs de son pavillon trainent, oubliĂ©s sur la table. Elle a omis de les y remettre aprĂšs avoir mĂ©tamorphosĂ© son sac. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 1241 "Je... je propose d'abord une douche, chaude cette fois, on en a bien besoin... ensuite... et bien j'ai encore la chambre pour quelques heures... faudrait bien en profiter..."Aphrodite le regarde pendant un moment. Elle le dĂ©taille, ses yeux, ses lĂšvres, son visage... Quelle est donc cette chose qui le rend si unique? Elle aimerait lui en vouloir pour ce qu'elle a subit toute la nuit, la douche glacĂ©e, le mĂ©pris de ses amis, le coup de Less... mais elle ne peut pas lui en vouloir... Le voir l'appaise et l'enflamme en mĂȘme temps. Il appaise son coeur qui crie pour lui et sui saigne en son absence, mais il est le seul qui a Ă©tĂ© capable de rallumer la petite flamme d'Aphrodite qui s'Ă©tait Ă©teinte depuis seule chose qu'elle veut Ă  prĂ©sent est rester avec lui, contre lui, et tout oublier ce qu'il venait de se passer... Elle se rapproche de lui et se penche un peu. elle passe les bras autours de sa taille et pose la tĂȘte doucement sur son Ă©paule... Sa machoire l'Ă©lance Ă  nouveau, elle y porte sa main en espĂ©rant le calmer et essaie de rĂ©primer un "Aie" en vain... Elle ferme alors les yeux et d'une voix douce dit "DĂ©solĂ©e de t'avoir fait souffrir... Mon coeur Ă©tait mort ou vide avant de te rencontrer... Toi seul a rĂ©ussi Ă  le rallumer et Ă  le rĂ©chauffer... Tu es le seul qui compte..."Elle se tait un moment, profitant de la chaleur de sa peau, de la douce musique des battements de son coeur..."Tu y vas en premier Ă  la douche ?" Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 354 - DĂ©solĂ©e de t'avoir fait souffrir... Mon coeur Ă©tait mort ou vide avant de te rencontrer... Toi seul a rĂ©ussi Ă  le rallumer et Ă  le rĂ©chauffer... Tu es le seul qui compte...Kaitz hĂ©site un moment, dĂ©visage Dite, puis se lĂšve brusquement, regarde encore Dite et s'enfuie en courant, hurlant Ă  mort et en agitant les bras. Hum... non. En fait, c'est probablement ce qui se serait produit, moins caricaturĂ© certes, si cette scĂšne avait eu lieu quelques mois auparavant. Mais certaines rĂ©actions qu'on aurait prit pour acquise chez Kaitz devenaient sujet Ă  rĂ©flexion pour ceux qui le connaissaient bien. Était-ce dĂ» au fait qu'il n'Ă©tait pas en constant dĂ©placement pour la premiĂšre fois de sa vie ? DĂ©jĂ  un an que Kaitz n'avait pas vraiment quittĂ© l'Angleterre. Il vivait depuis un an dans une stabilitĂ© qui, peu de temps avant, l'aurait rendu fou. Il avait rendu service Ă  Mikomi, se disant que ce serait temporaire et voilĂ  que le rĂŽle lui plaisait. Les ados Ă©taient si plein de surprises qu'il ne s'ennuyait certes pas. Oh, il pensait souvent au prochain voyage qu'il pourrait effectuĂ©, mais ça ne se concrĂ©tisait que par une punaise jaune sur une mappemonde constellĂ©es de punaises rouges dans sa chambre chez ses parents. Sa vie amoureuse devenait-elle aussi stable que sa sĂ©dentaritĂ© ? Hum... Aphrodite se blottie contre lui, il l'enlace dĂ©licatement. Ils ne bougent pas durant un court temps, tous deux en proie Ă  la rĂ©flexion. Il Ă©tait calme, trĂšs calme. Oui, Aphrodite l'apaisait. Devait-il risquer de perdre un havre serein pour un malentendu sous dĂ©guisement ? Un frisson au bas des reins rĂ©pond Ă  son interrogation. Ce frissons avait-il toujours Ă©tĂ© de bon conseil ? Et s'il agissait contrairement Ă  ce frisson pour une fois ? - Tu y vas en premier Ă  la douche ?- Nan, vas-y, j'vais rĂ©parer le carreau et, si tu as verrouillĂ© la porte, je vais attendre... sinon...Il suspend sa phrase dans un sourire en coin. Bon, ok, Harkaitz Rocstone, mĂȘme en voie de stabilitĂ© n'en ratait pas une. C'Ă©tait probablement la seule et unique chose qui ne changerait jamais chez Kaitz, ceux qui le connaissaient bien ne pourraient pas s'en Ă©tonner. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 428 L'Ă©treinte dĂ©licate de Kaitz la rassure et la rĂ©chauffe... Le son des battements de son coeur l'appaise... Le silence s'est installĂ© entre les deux, mais il faut aller Ă  la douche... Une bonne douche chaude pour se rĂ©chauffer et se relaxer... Un bon bain serait encore mieu... un bain Ă  remous... D'aprĂšs ce qu'Aphrodite avait pu voir du bain glacĂ© qu'elle avait eu, le bain semble bien ĂȘtre pourvu de remous si on le souhaite... Nickel..."Nan, vas-y, j'vais rĂ©parer le carreau et, si tu as verrouillĂ© la porte, je vais attendre... sinon...""Je ne vĂ©rouille jamais la porte, je dĂ©teste ça... Probablement la peur d'ĂȘtre enfermĂ©e dedans comme c'est arrivĂ©e quand on Ă©tait petites ma soeur et moi... On s'est retrouvĂ©es enfermĂ©es... la serrure s'Ă©tait cassĂ©e... Et comme on Ă©tait chez des moldus ce jour lĂ ... on y est restĂ© un bon moment jusqu'Ă  ce qu'ils cassent la porte." raconte-t-elle en rigolant...A regrets elle se dĂ©tache de Kaitz et se lĂšve. Elle va dans la salle de bain et pousse simplement la porte sans la fermer totalement... Elle trouve des serviettes qu'elle pose prĂšs du bain et fait couler l'eau bien chaude. La vasque se remplit doucement. Pendant ce temps, Aphrodite se regarde dans le miroir... Oh mon dieu la tĂȘte qu'elle a... La machoire enflĂ©e, des valises sous les yeux, les yeux rouges, les cheveux... Elle ne se rapellle pas avoir Ă©tĂ© aussi mal coiffĂ©e, mĂȘme au rĂ©veil... Le bain est enfin plein. Des Ă©fluves aguichant les sens se rĂ©pendent dans la piĂšce, de fines bulles de mousse s'envollent ça et lĂ ... Aphrodite met en marche le mĂ©canisme du jacuzzi, des bouillons apparaissent Ă  la surface. Avec un sourire satisfait, elle s'assoit au bord et plonge la main dans l'eau... La tempĂ©rature est idĂ©ale... Elle enlĂšve le t-shirt que Kaitz lui a prĂȘtĂ© et plonge doucement dans le bain... Un soupire d'aise, elle ferme les yeux et profite... Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 648 Il sourit Ă  l'Ă©vocation du souvenir d'Aphrodite. Elle disparaĂźt dans la salle de bain et il s'approche de la fenĂȘtre brisĂ©e. Il regarde Ă  l'extĂ©rieur, il fait encore soleil, mais l'aprĂšs-midi doit ĂȘtre avancĂ©. Des tas de questions et de constatations effleurent son esprit, mais il les chasse du revers de la main. C'Ă©tait pas le moment de rĂ©flĂ©chir. Il avait dĂ©jĂ  prit sa dĂ©cision, non ? Il entend le moteur du bain se mettre en marche, il sourit. Oui, il l'avait prit. Bon, oĂč avait-il foutu sa baguette... bon, il cherche sa baguette... il avait le don de la foutre n'importe oĂč et de la chercher... avant d'avoir un Ă©clair de gĂ©nie et de se souvenir oĂč elle Ă©tait. Il met finalement la main dessus et retourne rĂ©parer le carreau. Ça se fait en un Ă©clair... c'est le cas de le dire. Il pose sa baguette juste Ă  cĂŽtĂ© de son trousseau de clĂ©, sur la table de nuit, puis se dirige lentement vers la salle de bain. Il passe la tĂȘte et voit Aphrodite qui semble s'apaiser dans l'eau chaude. Une vĂ©ritable vision divine. Il s'assoit sur le rebord du bain et l'observe un moment, pensif, mais sans penser Ă  rien d'autre que la regarder. Puis il lance tout bonnement. - C'est une version moderne de La Naissance de VĂ©nus ? InspirĂ© de la version de Cabanel. La VĂ©nus reposant sur les remous de l'ocĂ©an, escortĂ© par des angelots voletant. Mais sa VĂ©nus, elle est blonde. Il fronce les sourcils, l'air songeur. OĂč j'ai bien pu voir ça... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Suite 112 sur rĂ©servation Page 3 sur 4Aller Ă  la page 1, 2, 3, 4 Sujets similaires» Suite de la dispute...» LE YIN ET LE YANG suite PV Will S» Qu'est ce qu'on s'ennuie... suite [ PV Ella et Anne ]» Suite de la capture» Suite [PV JUJU]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers Lifet met, nan, ne reviens pas Ah, qu'est-ce que j'ai bu, quand tu m'appelais plus Quand t'as dĂ©cidĂ© que pour toi, j'existais plus J'suis pas tah le love, j'suis un mec de la rue Tu m'aurais racontĂ©, bah, j't'aurais pas cru Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes dĂ©fauts Moi, c'Ă©tait pour de vrai, toi, c'Ă©tait pour de faux Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes dĂ©fauts Moi,
Mis Ă  jour le 14 fĂ©vrier 2021 Ă  18h00 © Getty Quand Anne s'installe chez sa copine pour garder son chat, elle n'imagine pas qu'elle va trouver l'homme de sa vie Ă  l'Ă©tage du dessus. Encore moins qu'elle serait en tenue d'Eve. Et pourtant... Par Nathalie HĂ©lal En sentant une caresse appuyĂ©e sur mes seins, j'ai pĂ©niblement ouvert un oeil. Il Ă©tait en train de se rhabiller et affichait un air autosatisfait qui m'a dĂ©plu sur-le-champ. Nous venions de passer une nuit torride, mais il se comportait comme s'il n'avait dĂ©jĂ  plus rien Ă  me prouver tout Ă  fait le genre de garçon avec lequel l'aventure s'arrĂȘte au saut du lit ! J'avais hĂąte qu'il s'en aille, et aucune envie de le revoir. Par chance, il ne savait rien de moi. L'appartement qui venait d'abriter nos Ă©bats n'Ă©tait pas le mien et, d'ici Ă  vingt-quatre heures, dĂšs que StĂ©phanie dont je gardais le chat serait rentrĂ©e de son escapade Ă  Marrakech, je serais introuvable Ă  cette adresse. Nue, je l'ai raccompagnĂ© jusqu'Ă  la porte, oĂč j'ai Ă©courtĂ© les adieux. Je me suis ensuite dirigĂ©e vers la salle de bains. C'est Ă  ce moment prĂ©cis que j'ai senti que quelque chose clochait Jean-Claude n'Ă©tait pas venu se frotter Ă  mes jambes comme d'habitude. Beau spĂ©cimen de race europĂ©enne », Jean-Claude Ă©tait un chat idolĂątrĂ© par sa maĂźtresse. Gentil mais tĂȘtu, il avait une fĂącheuse tendance Ă  essayer de se faufiler dehors Ă  la moindre occasion. Si ma copine se fichait pas mal que je ramĂšne des amants chez elle en son absence, en revanche, elle faisait une fixation sur le bien-ĂȘtre de son chat ! Que faire si je croisais quelqu'un ? »AprĂšs l'avoir cherchĂ© dans chaque recoin de l'appartement, il a fallu me rendre Ă  l'Ă©vidence Jean-Claude avait disparu. Il avait dĂ» profiter du moment des adieux pour prendre la poudre d'escampette. PaniquĂ©e, j'ai foncĂ© jusqu'Ă  la porte que j'ai entrouverte. Il Ă©tait lĂ , sagement assis sur les marches, et a miaulĂ© en me voyant. Pendant une fraction de seconde, j'ai pensĂ© Ă  rentrer pour m'habiller en vitesse, mais la crainte que Jean-Claude ne profite de ce moment pour fuguer encore plus loin m'a retenue je n'avais qu'Ă  m'avancer pour le rĂ©cupĂ©rer, Ă  deux enjambĂ©es du seuil. Ce que j'ai fait, non sans mal car Jean-Claude se dĂ©battait. J'Ă©tais Ă  environ cinquante centimĂštres de la porte, quand quelqu'un, Ă  l'Ă©tage au-dessus, a refermĂ© un peu trop fort la sienne j'ai vu la porte me claquer au nez, comme dans un film. En tenue d'Eve, Ă  7 heures du matin, un chat noir dans les bras, j'avais l'air malin ! Le pire, c'est que je ne connaissais personne dans ce foutu immeuble. Et je savais par StĂ©phanie que la gardienne Ă©tait du genre pas commode, donc, toquer Ă  sa loge Ă©tait mission impossible. Que faire si je croisais quelqu'un ? J'ai inspirĂ© profondĂ©ment pour me calmer, sans lĂącher Jean-Claude. Il fallait Ă  tout prix que je trouve quelque chose pour paraĂźtre un peu moins dĂ©vĂȘtue... J'ai attrapĂ© le paillasson le moins dĂ©gueu de tout le palier, et j'ai pris mon courage Ă  deux mains pour sonner Ă  la porte d'en face. Sans succĂšs. Me tournant vers la porte de gauche, j'ai perçu des pas lĂ©gers, et une voix enfantine a retenti Maman ! Y a une dame toute nue ! » Je n'ai pas attendu la rĂ©ponse pour me dissimuler dans l'escalier. AprĂšs avoir frappĂ© Ă  la porte de droite, j'ai eu droit Ă  une menace, venant d'une vieille dame flippĂ©e "Allez-vous-en ou j'appelle la police !" Il ne me restait plus qu'Ă  tenter ma chance Ă  l'Ă©tage du dessus... Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu »J'ai grimpĂ© l'escalier en rasant les murs. J'avais la hantise que Jean-Claude ne m'Ă©chappe pour de bon. J'ai choisi au hasard la porte du milieu et m'apprĂȘtais Ă  toquer quand celle de droite s'est ouverte. Un homme d'une trentaine d'annĂ©es, la rĂ©plique de Hugh Grant, est apparu, un attachĂ©-case Ă  la main. Je ne sais pas lequel de nous deux a Ă©tĂ© le plus surpris lui, qui a esquissĂ© le geste de se frotter les yeux, ou moi. Avez-vous besoin de quelque chose ? » m'a-t-il demandĂ©, avec un dĂ©licieux accent. En plus de ressembler au plus sexy des play-boys anglais, il en Ă©tait visiblement un compatriote. Je suis Anne, votre voisine du dessous, ma porte s'est refermĂ©e et... J'aimerais bien passer un coup de fil... et me mettre quelque chose sur le dos », ai-je dĂ©bitĂ© Ă  toute vitesse. Pas de problĂšme ! Entrez, faites comme chez vous. Au fait, je m'appelle Colin. Ne vous inquiĂ©tez pas pour le chat, il est le bienvenu lui aussi ! » Je n'avais pas le choix, et j'avoue que son charme ne me laissait pas indiffĂ©rente. L'urgence pour moi Ă©tait de rĂ©intĂ©grer l'appartement de StĂ©phanie, avec son chat. Colin s'est effacĂ© pour me laisser entrer mais je lui ai fait signe de me prĂ©cĂ©der, le paillasson ne couvrant que le devant de mon corps... Il a eu le tact de ne pas se moquer de moi et s'est prĂ©cipitĂ© dans la salle de bains pour me tendre un peignoir. Pendant ce temps, Jean-Claude faisait le tour du propriĂ©taire. Vous voulez un cafĂ©, un thĂ©... grignoter quelque chose ? » Un peu rassĂ©rĂ©nĂ©e, j'ai acceptĂ© un thĂ©, et souri en voyant Colin, dans la cuisine, camoufler la vaisselle sale de la veille. Pendant que je soufflais sur ma tasse, il avait dĂ©jĂ  composĂ© le numĂ©ro d'un serrurier. Bon... VoilĂ  ce que nous allons faire... Je dois partir travailler, mais vous allez rester ici en attendant que le type arrive. MĂȘme s'il met la journĂ©e, prenez tout votre temps et reposez-vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin... - Je ne sais pas comment vous remercier... et pour le chat, dites-moi, vous n'auriez pas quelque chose Ă  manger... et pour le reste ? » ai-je questionnĂ©, inquiĂšte pour les dĂ©gĂąts que Jean-Claude pouvait causer. Ah ! Vous avez raison, je vais arranger ça tout de suite », a dĂ©clarĂ© mon sauveur. En un clin d’Ɠil, il avait passĂ© commande sur Internet d'un paquet de croquettes, d'un sac de litiĂšre et d'un bac en plastique. Le tout allait ĂȘtre livrĂ© en moins d'une heure. Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu, avec un chat pour toute compagnie. Colin m'avait confiĂ© ses clĂ©s, avec la recommandation expresse de ne pas les oublier Ă  l'intĂ©rieur, si je sortais... Le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! »Vers 19 heures, quand il est rentrĂ©, j'avais eu le temps de mĂ©diter sur le charme de notre rencontre. J'avais surtout fait la visite approfondie de son appartement. N'ayant pas grand-chose pour tromper mon ennui, et dĂ©sireuse de savoir Ă  qui j'avais affaire, je ne m'Ă©tais pas gĂȘnĂ©e pour fouiner dans ses placards et ses tiroirs. Verdict le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! Cette dĂ©couverte m'avait d'ailleurs fait m'incruster plus que de raison, y compris aprĂšs le dĂ©part du serrurier. J'avais trĂšs envie de lui montrer qu'en dĂ©pit des apparences j'Ă©tais tout sauf une blonde idiote, capable de s'aventurer sans ses clĂ©s, nue sur le palier. Alors je suis allĂ©e faire des courses, j'ai cuisinĂ© tout l'aprĂšs-midi, je suis passĂ©e me doucher, me changer et me maquiller chez StĂ©phanie, et j'ai dressĂ© la table... chez lui. Quand il a sonnĂ© Ă  la porte, il a eu un second choc. J'avoue qu'objectivement, ce que j'avais fait Ă©tait assez gonflĂ©... je n'Ă©tais pas censĂ©e savoir qu'il Ă©tait un coeur Ă  prendre ! Heureusement, l'idĂ©e de ce petit dĂźner improvisĂ© en tĂȘte Ă  tĂȘte l'a enchantĂ©. Il m'a confiĂ© plus tard qu'il avait l'impression de ne pas ĂȘtre au bout de ses surprises avec moi, et que c'est ce qui l'avait sĂ©duit. Il m'a dit aussi qu'aprĂšs m'avoir vue nue, il avait eu envie d'aller voir si j'avais aussi une tĂȘte bien faite. Nos vĂ©rifications rĂ©ciproques ont tellement bien fonctionnĂ© que nous ne nous sommes plus quittĂ©s un mois aprĂšs cet Ă©pisode improbable, je m'installais chez lui. Et dĂ©sormais, quand StĂ©phanie n'est pas lĂ , je prends Jean-Claude en pension chez nous.
LadĂ©pendance n’est pas rompue et vous vous retrouvez avec le mĂȘme prĂ©judice moral, encore et encore. Selon Julia Breines, psychologue, rester ami avec un ancien partenaire
"Si le conjoint n'est pas capable de dire stop Ă  son enfant et d'imposer un respect Ă©lĂ©mentaire, mieux vaut se dĂ©sinvestir de sa relation Ă  l'enfant", conseille Marie-Luce Iovane, prĂ©sidente du Club des MarĂątres. iStock Se donner du tempsÀ 30 ans, Louise n'a pas d'enfant. Elle vient tout juste de faire la connaissance d'Aurore et de ClĂ©ment*, le fils et la fille de Thomas, respectivement 14 et 8 ans, son compagnon. "Cela n'a pas Ă©tĂ© une mince affaire. Pendant des mois, j'ai bottĂ© en touche, dĂ©calĂ© le rendez-vous. Je ne voulais pas briser notre bulle, le cocon de notre vie Ă  deux. J'avais aussi peur de ne pas rĂ©ussir Ă  les aimer. Je me mettais une pression Ă©norme. Finalement, la rencontre s'est faite en douceur, autour d'un dĂ©jeuner. Il y a des traits de caractĂšre qui m'irritent chez ClĂ©ment, mais je me dis que ce n'est pas mon fils, pas ma vie. Je ne veux pas entrer en conflit, ni avec lui ni avec Thomas. J'apprends Ă  relativiser. Pourtant, je ne me leurre pas. La prĂ©sence des enfants aura un impact sur notre vie future. ClĂ©ment a dĂ©jĂ  prĂ©venu son pĂšre il veut vivre avec nous." L'avis des spĂ©cialistes "Il est parfois dĂ©licat d'ĂȘtre immĂ©diatement Ă  l'aise avec des enfants lorsque l'on n'en a pas soi-mĂȘme. Le mieux est donc de conserver une position attentiste, d'observateur un peu en retrait. Le parent ne doit pas prendre cette posture distancĂ©e pour de l'indiffĂ©rence mais pour une volontĂ© de dĂ©couverte progressive, un apprivoisement rĂ©ciproque. On n'est pas obligĂ© d'aimer immĂ©diatement les enfants de son conjoint", explique Catherine Sellenet, co-auteure de L'enfant de l'autre, petit traitĂ© sur la famille recomposĂ©e, aux Ă©ditions Max Milo. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement "Il faut prendre son temps", confirme Catherine Audibert, psychologue et auteure d'OEdipe et Narcisse en famille recomposĂ©e, aux Ă©ditions Payot & Rivages. "Il vaut mieux s'Ă©couter et rester naturel que de s'imposer des activitĂ©s qui nous ennuient ou une prĂ©sence forcĂ©e. Avec le temps, on se demandera simplement quelle place on souhaite prendre auprĂšs d'eux, sans obligation ni culpabilitĂ©. Cette relation s'Ă©panouira peut-ĂȘtre plus lentement mais elle sera plus solide, plus profonde et sincĂšre", souligne Catherine Audibert. >>> Lire aussi notre dossier sur les relations familiales Ne pas trop en faireLouis a 40 ans. Il a un enfant issu d'une premiĂšre union. En couple avec Muriel depuis deux ans, il est prĂȘt Ă  tout pour que son beau-fils, AurĂ©lien, 13 ans, l'apprĂ©cie. "Je ne vois pas trĂšs souvent mon propre fils car il vit avec sa mĂšre en province. Je reporte donc toute mon attention sur AurĂ©lien. Je l'accompagne au foot tous les mercredis, je l'emmĂšne rĂ©guliĂšrement voir des matchs, j'essaye d'avoir le plus de moments privilĂ©giĂ©s possibles avec lui. Lorsqu'il est en conflit avec sa mĂšre, je me surprends souvent Ă  lui donner raison ou Ă  plaider sa cause auprĂšs de Muriel. Il est vital pour moi que mon beau-fils me fasse une place dans sa vie. Pourtant, il commence Ă  me reprocher d'ĂȘtre trop prĂ©sent. Il me lance de plus en plus rĂ©guliĂšrement 'Tu n'es pas mon pĂšre.' Il me rejette et cela me blesse profondĂ©ment." L'avis des spĂ©cialistes "En maintenant cette relation avec AurĂ©lien, Louis tente de compenser son absence auprĂšs de son propre fils. C'est une erreur", estime Catherine Sellenet. "Les enfants dĂ©codent trĂšs bien les stratĂ©gies des adultes. Quand leur attachement est le fruit d'une insĂ©curitĂ©, d'un mal-ĂȘtre, cela les rend mĂ©fiants. Voir un tiers essayer de prendre la place de leur parent les met face Ă  un conflit de loyautĂ©. La dĂ©fiance s'installe, jusqu'au rejet pur et simple du beau-parent", dĂ©taille Catherine Sellenet. Alors que ce dernier pense avoir tout fait pour poser les bases d'une vie de famille Ă©panouie, il voit alors progressivement l'enfant s'Ă©loigner de lui. "Dans ce cas, il faut prendre du recul", conseille Marie-Luce Iovane, prĂ©sidente du Club des MarĂątres, un groupe de parole destinĂ© aux belles-mĂšres. "S'intĂ©resser Ă  l'enfant de son conjoint, c'est trĂšs bien, mais il ne faut en aucun cas empiĂ©ter sur son espace. On ne doit pas tenter de se rendre indispensable. La confiance et l'affection, cela se gagne pas Ă  pas, cela ne s'impose pas." Remettre le couple au centreDepuis trois ans, Sylvie, 45 ans, vit avec Fabrice et sa belle-fille, Marion, 15 ans. Aujourd'hui, elle est sur le point de craquer. "Marion me fait vivre un enfer depuis des mois. Elle est en pleine crise d'adolescence. Elle me pique mes vĂȘtements en cachette, me critique ouvertement devant son pĂšre, rentre Ă  des heures indues. C'est invivable. DĂšs que je tente de faire preuve d'autoritĂ©, elle me renvoie vertement dans les cordes. Mon compagnon n'ose rien lui dire. Lorsque je lui demande son appui, il rĂ©agit Ă  peine. J'aimerais qu'il reprenne pleinement sa place de pĂšre et de conjoint pour que je puisse retrouver un peu de sĂ©rĂ©nitĂ©. Je ne peux pas m'empĂȘcher de le trouver lĂąche et j'en veux terriblement Ă  ma belle-fille de nous faire vivre ça." L'avis des spĂ©cialistes "Si le conjoint n'est pas capable de dire stop Ă  son enfant et d'imposer un respect Ă©lĂ©mentaire, mieux vaut se dĂ©sinvestir de sa relation Ă  l'enfant. AprĂšs tout, pourquoi ĂȘtre prĂ©sent auprĂšs d'un enfant qui ne nous respecte pas?", s'interroge Marie-Luce Iovane. "En tant que beau-parent, on attend trop souvent une reconnaissance qui ne vient jamais. On ne peut pas forcer son conjoint Ă  reprendre sa place mais on peut changer sa propre attitude et ainsi le mettre face Ă  une rĂ©alitĂ© qu'il ne veut pas voir", avance la prĂ©sidente du Club des MarĂątres. "Certes, le parent doit prendre ses responsabilitĂ©s, mais le beau-parent doit Ă©galement avoir Ă  l'esprit qu'il faut parfois prendre du recul face aux provocations de l'enfant pour prĂ©server l'Ă©quilibre familial. Si rien n'y fait, on peut organiser des conseils familiaux afin que chacun puisse s'exprimer librement", suggĂšre Catherine Audibert. >>> Lire aussi notre dossier sur la famille recomposĂ©e Trouver des solutions alternatives Quand la situation semble sans issue, certains n'hĂ©sitent pas Ă  employer les grands moyens. C'est le cas de Claude, 55 ans "J'ai quittĂ© ma femme et mes enfants il y a plusieurs annĂ©es pour vivre avec Sophie, que j'aime follement. En revanche, je ne supporte pas sa fille, Camille. Je la trouve mal Ă©levĂ©e, insolente. Nos disputes ont pris une telle ampleur, rendant le quotidien si dĂ©testable pour tout le monde, que j'ai prĂ©fĂ©rĂ© quitter la maison. Aujourd'hui, je vis seul. Je ne vais chez ma compagne que deux ou trois fois par semaine. Cela me rends profondĂ©ment amer. J'ai tout fait pour reconstruire une vie de famille recomposĂ©e Ă©panouie et heureuse. Sans succĂšs. Aujourd'hui, il est trop tard pour changer les choses." L'avis des spĂ©cialistes "ArrĂȘtons d'entretenir une vision idyllique de la famille recomposĂ©e. Elles sont souvent plus fragiles et conflictuelles qu'on ne le pense. Le beau-parent se voit imposer les choix Ă©ducatifs de son conjoint, sans pouvoir les remettre en question. S'il les rĂ©prouve, il finit par ĂȘtre en proie Ă  un sentiment d'impuissance profond. Entre agacement et frustration, les relations avec ses beaux-enfants se dĂ©gradent. Quand il y a tel constat d'incompatibilitĂ©, il est plus sain de vivre son couple Ă  mi-temps. Le choix de vie de Claude ne me paraĂźt donc pas ĂȘtre une mauvaise solution. C'est une alternative Ă  un quotidien familial infernal", constate Catherine Sellenet. "Vivre une seconde vie amoureuse n'implique pas nĂ©cessairement de rĂ©ussir Ă  recrĂ©er une famille, dans la pleine acception du terme. Il est illusoire de penser que cela va de soi. Loin des fantasmes de famille recomposĂ©e idĂ©ale, Ă  chacun de trouver son propre schĂ©ma de coexistence, un mode de vie qui convienne Ă  tous", conclut Marie-Luce Iovane. *Tous les prĂ©noms de l'article ont Ă©tĂ© modifiĂ©s >>> Lire aussi Comment surmonter les difficultĂ©s de la famille recomposĂ©e *Tous les prĂ©noms de l'article ont Ă©tĂ© modifiĂ©s Leslie Rezzoug Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely
Quandil fait chaud, je l'ai vu ne porter qu'un jockstrap en cuir et des Doc Martens Ă  18 trous, les jours oĂč il veut que je m'occupe de son trou et de sa superbe bite. Aujourd'hui, il portait un maillot noir, des jambiĂšres en cuir assorties et ses Docs Ă  nouveau : la tenue formelle des pĂ©dĂ©s. « Viens nous voir », m'ont-ils dit, bien que je ne sache plus
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal RPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre Ville AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Avant tout... Jeu 1 Nov - 2359 Avant de trouver le chemin du campus, c'Ă©tait le chemin du bar que S avait repĂ©rĂ©. elle perdait pas le nord la demoiselle. Justice serait enfin faite, aprĂšs quelques heures d'avion - non mais sĂ©rieusement, elle a une tĂȘte Ă  faire le trajet de NY Ă  Long Island en voiture ? -, elle pourrait enfin se dĂ©tendre. D'ailleurs, en parlant de ça, la premiĂšre classe ce n'Ă©tait plus du tout ce que c'Ă©tait, ou peut-ĂȘtre que les avions Ă  destinations de la cĂŽtĂ© Ă©taient...disons, moins bien frĂ©quentĂ©s. En tout cas, elle Ă©tait restait assoiffĂ©e, cette foutue hĂŽtesse refusant de lui servir plus de trois coupes de champagne. Croyez-moi, on a vu pire dans les classes affaires. Ce n'Ă©tait pas un tour Ă  jouer Ă  S. Mais enfin, elle Ă©tait tellement pressĂ©e de se dĂ©tacher de l'Upper East Side qu'elle ne fit pas la moindre histoire. Elle avait abaissĂ© son turban personnel - ceux proposĂ©s dans les avions pouvaient trĂšs bien ĂȘtre tripotĂ©s par n'importe qui - et s'Ă©tait endormie jusqu'Ă  ce que cette mĂȘme foutue hĂŽtesse ne lui annonce l'atterrissage de l'appareil. Ses cheveux bruns avaient bu ĂȘtre en pagaille, il lui suffit d'adresser un petit sourire Ă  son voisin pour que celui-ci rayonne tout simplement. Elle avait quittĂ© l'aĂ©roport, on lui avait portĂ© ses bagages et puis, elle avait du se trouver une voiture parce que, les taxis, ça ne lui convenait qu'Ă  NY. Bien heureusement, papa Woodsen avait bien prĂ©vu le coup. Contacts? vous avez dit contacts? Exactement oui. allez savoir comment il avait usĂ© de son argent pour qu'Ă  son arrivĂ©e la jolie demoiselle ait un cabriolet noir, neuf qui l'attendait dĂ©cida de s'arrĂȘter dans le centre ville. Garant la voiture, laissant ses affaires dans le coffre. MĂȘme pas peur. De toute façon, mĂȘme si il arrivait quelque chose, elle aurait vite fait de remplacer sa collection de fringues. Voyons S, ce ne sont pas lĂ  des pensĂ©es de demoiselle aux revenus moyens. Elle se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, comme si elle venait de prendre conscience de son attitude. Elle poussa les porte du bar, il Ă©tait 21 heures. Inutile d'aller au campus, c'est bien ce qu'elle se disait. Elle se dirigea directement vers le bar - bah, sinon pour quoi faire? -. Elle s'asseya sur un de ces tabourets qu'elle affectionnait tant -plus pour les avoir usĂ©s que pour l'objet en tant que tel-. elle tourna doucement sur elle-mĂȘme, ou plutĂŽt, sur le pied du tabouret. s'attirant les regards des quelques personnes prĂ©sente. Un sourire lui fendit le visage tandis qu'elle retirer ses Gucci de son Bonsoir...DĂ©clara-t-elle en posant son regard sur le barman. Elle pinça lĂ©gĂšrement les lĂšvres, pour bien rĂ©partir son rouge Ă  lĂšvres, et se pencha lĂ©gĂšrement pour faire le tour des boissons entreposĂ©es derriĂšre le jeune homme. Hum..Autant espĂ©rer qu'il Ă©tait Ă  jour niveau alcool ce bar. Quelques secondes entre temps, le garçon trouva la salive suffisante pour articuler un vague bonsoir Ă  S. Elle sourit une nouvelle fois. DĂ©posant son sac sur le comptoir, elle hĂ©sita-Hum...une vodka tonic... Fiouh. dans un petit geste de la main. Une simple Tequila Sunrise fera l'affaire pour le moment. Voyant qu'il ne bougeait pas, son sourire s'Ă©tira, dĂ©voilant ses dents parfaitement blanches. S'il vous plaĂźt. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1332 Voila que la journĂ©e commencait et aussi vite qu'il s'Ă©tait rendu au campus, aussi vite il en Ă©tait sortit. Matteo avait faite toutes ces heures, sans en louper une. La journĂ©e avait tellement paru longue, et dĂšs la derniĂšre heures, Matteo se disait que ca avait passĂ© vite. Il commencait Ă  se faire au mode de vie de l'universitĂ©. Il s'Ă©tait rendu d'un pas lent et dĂ©tendu vers sa chambre et c'Ă©tait alongĂ© quelques minutes. Le calme, y rĂ©gnĂ© et il n'avait allumĂ© qu'un petite lumiĂšre. Quelques instant de rĂ©flĂ©xions surment. Mais de courtes durĂ©es car il c'Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă  sortir de sa chambre ce soir. Il n'aimait pas rester cloitrĂ© dans un endroit. Matteo rĂ©flĂ©chit Ă  l'endroit ou il pourrait se rendre, seul. Pas envie de contacter des amis, surtout qu'il n'en avait pas vraiment dans cette ville. Bonne raison de sortir un peu. Bon deja, Matteo allait marcher jusqu'au centre ville, aprĂšs il verrai ce qu'il ferai. Il sortit de sa chambre et sortit rapidement de l'universitĂ© avant qu'on ne le remarqua. Les rues Ă©taient inondĂ©s de personnes, la nuit Ă©tait tombĂ© et les rĂ©verbaires c'Ă©tait alumĂ©s. Voila qu'un bar se tendait devant les yeux de matteo. Pourquoi pas y faire un tour. Et il rentra donc, comme il pensait, l'endroit Ă©tait bondĂ©s. Quelques Ă©tudiants qu'il avait reconnu mais sans plus. Et beaucoup de visages sans nom. Lui qui aimait connaitre beaucoup de gens comme dans son ancienne ville, c'Ă©tait un peu ratĂ© pour le moment. Matteo se dirigea vers le contoire et s'asseya sur un tabouret. Il appela le serveur qui Ă©tait occupĂ© avec la personne Ă  cĂŽtĂ© de lui. c'Ă©tait une jeune femme, dĂ©cidement elle semblait fatiquĂ©, mais il ne fit qu'attention que aprĂšs quelques minutes. Car le barman, toujours fixĂ© sur la demoiselle ne semblait pas vouloir le servir. Olala il Ă©tait tombĂ© sur un fan incontournĂ© de jolie fille. Qui ne l'Ă©tait pas en mĂȘme temps. Matteo resterai poli, au moins quelques minutes, mais pas plus. Il s'Ă©nervait facilement mais sa n'en valait pas la peine. Il attendit calememant, le regard perdu ailleurs et son coude posĂ© sur le comptoir. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1352 AprĂšs quelques secondes le jeune homme quitta des yeux S et s'affaira pour ton cocktail. Quelques secondes qui lui avaient parut interminables mais...soit sans crainte petit, pour S les secondes sont bien futiles.. La jeune femme se contenta donc d'attendre, que pouvait-elle faire de plus en mĂȘme temps? Elle fit un autre demi-tour avec son fauteuil - cette fois encore, attirant les regards suspicieux de quelques personnes -, elle croisa doucement les jambes, se fĂ©licitant d'avoir enfilĂ© un jean pour le trajet en remarquant quelques regards en biais. Quelle honte....En quelques minutes, le bar s'Ă©tait un peu rempli. Des quelques personnes Ă©parpillĂ©es dans la salle apparut une bonne dizaine d'Ă©tudiants. Ses prochains compagnon de campus vraisemblablement, elle n'allait pas s'en plaindre - voyons, ils aimaient les bars, de quoi d'autre pouvait-elle rĂȘver?-. Une chose Ă©tait sur, elle ne serait pas obligĂ©e de mettre ses habitudes de cĂŽtĂ©. C'Ă©tait une rĂ©alitĂ© pour elle, d'un cĂŽtĂ© il y avait les cours, et elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă  faire son maximum, il Ă©tait grand temps qu'elle se mette au boulot maintenant, de l'autre cĂŽtĂ©, il y avait sa vie privĂ©e. Bien heureux, elle garderait contact avec D et O bien que A soit bien dĂ©cidĂ©e Ă  ne plus jamais lui adresser la parole. Cette petit incartade il arracha un petit garçon la sortit de ses pensĂ©es en poussant le verre de Tequila vers elle. Elle afficha un sourire radieux en approchant le cocktail de ses lĂšvres. Bordel! qu'est-ce qu'elle aimait ça =D Elle hocha vaguement la tĂȘte, reprenant une position face au bar. Un battement de cils plus loin-Merci beaucoup...-Mais de rien Mademoiselle. »Charmant...Elle rebut une gorgĂ©e, laissant son regard vagabonder sur les gens qui Ă©tait prĂ©sent. Enfin, une personne s'Ă©tait assise Ă  cĂŽtĂ© d'elle sans qu'elle ne s'en rend compte. Une nouvelle qui la fit sourire Ă  nouveaux. Visiblement, ce jeune homme attendait le barman qui s'Ă©tait encore mit en mode off. Qui a dit que les hommes n'Ă©taient pas complexes parfois? >..< mais non plutĂŽt qu'il n'as pas toujours adhĂ©rĂ© Ă  la boisson. Étant donnĂ© son passĂ© on peut le comprendre mais pourquoi alors Re-boit-il maintenant. Et bien tout simplement parce qu'il c'Ă©tait une idĂ©e "Ne jamais ressembler Ă  ces parents" Ohlala tant de pensĂ©e comme ca vers les parents, c'Ă©tait habituel chez les jeunes. Pourquoi penser aux parents, avec le temps Matteo s'Ă©tait fait Ă  l'idĂ©e qu'il pourrait se dĂ©brouiller seul. ce n'est pas l'impression qu'on a quand monsieur passe d'un appartement pas trĂšs a envier Ă  une maison de bourge Ă  Long Island. Le petit avait donc bien changĂ© mais il se refusait Ă  y croire. Encore un tourment dans sa petite tĂȘte. Par contre, les cours sa il devait si mettre. Des notes mĂ©diocre n'allait pas l'aider Ă  finir ces Ă©tudes. Depuis quand on a besoin de finir l'universitĂ© quand on veut devenir rock star. Hum, il avait de l'ambition lui mais aussi indiscutablement tĂȘtu. Fibou, Matt resta Ă  peine quelques minutes vers la jeune fille qu'ils dĂ©signaient tout deux et reposa son regard sur Serena. Parler d'implant, sa, sa le faisait rire aussi. mais pas de le sens de la conversation, plus pareil ne parlait pas de sa en gĂ©nĂ©ral, heureusement ! MĂ©chante ? Je dirais jute rĂ©aliste Ouh il cachait bien son jeu lui. Pas toujours gentil Ă  ce que je voyais, ben c'est vrai qu'il Ă©tait franche. sa ne servait Ă  rien de mentir. Au moins, il ne l'avait pas dit vraiment fort pour que la personne dite l'entende. Il regarda une derniĂšre fois, elle semblait plongĂ© dans autre chose donc aucune chance qu'elle stars Ă  ce que ces deux la bien Serena se dandinait sur sa chaise comme une petite fille. Matteo Ă©couta alors plus attentivement, c'Ă©tait un bon rythme ca c'est pour toi aussi parce que une fĂ©tichiste ! J'ai une chambre double mais toujours pas de colocs...Vive le calme xDSerena semblait re-visiter ces classiques avec moral et colgate mais Matteo ni preta qu'un peu attention. Matteo ria lĂ©gĂšrement quand celle ci lui fit une confidence. Elle s'adaptait bien contrairement Ă  monsieur. Ah il Ă©tait d'accord pour la suite, il s'intĂ©grait mieux dans un bar. Il souria lĂ©gĂšrement et rapporta son verre une fois plus vers lui, il Ă©tait dĂ©jĂ  presque vide mais on allez pas lui reprocher de boire un peu pour commencer la soirĂ©e InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 220 Serena ne put s'empĂȘcher de remarquer que M avait tendance Ă  partir dans ses pensĂ©es, laissant vagabonder sa main quelque part prĂšs de son verre sans vraiment faire attention Ă  ce qu'il se passait autour de lui. Et bien sur, loin d'elle l'idĂ©e de l'y sortir. Elle ne savait que trop bien le besoin qui pouvait submerger et inciter Ă  garder pour soi des pensĂ©es qui nous traversait l'esprit y laissant une marque amĂšre et, parfois, indĂ©lĂ©bile. Elle lui laissa donc le temps de reposer les pieds sur terre en s'occupant. Les jambes croisĂ©es, son pied gauche portait sur la petite barre transversale du tabouret, battant la mesure. Le claquement de la semelle de ses Gucci contre le fer provoquait un petit tintement que MattĂ©o aurait certainement trouvĂ© agaçant, mais il Ă©tait bien trop occupĂ© et le bruit occupĂ© Serena qui n'avait pas l'habitude des silence. Il fallait bien avouer qu'elle Ă©tait plutĂŽt bavarde la demoiselle. TrĂšs, trop peut-ĂȘtre mdrrrr Et puis surtout, dans son habitude de parler -pour ne rien dire- elle en oubliait parfois la sensibilitĂ© des gens et pouvait devenir trĂšs indĂ©licate. Que voulez vous? Chacun ses dĂ©fauts non? oO Elle Ă©tait trop direct et se souciait bien peu de ce que pouvait reprĂ©senter, ressentir les autres personnes qui occupaient sa planĂšte. Oui, oui, elle se sentait bien dans sa petite bulle, entourĂ©e de personnes qui comprenait l'angoisse suprĂȘme Est-ce que ces personnes m'aiment pour mon argent? -_- C'Ă©tait rĂ©confortant de ne sortir qu'avec des personnes similaires. Mais 'tention , grand tournant dans la petite vie de la demoiselle. Non, non, elle allait changer, tout simplement. Elle remua un peu plus son verre, puis le vida d'un trait en tournant cette fois son visage vers j'ai Ă  faire Ă  une petite blonde, c'est tout ce que je sais de la potentielle fĂ©tichiste xD Rah, je suis sur que j'aurais mieux fait de ne pas en parler. Avec la chance que j'ai, ça va me porter la poisse. Elle pointa son index vers la poitrine de son voisin en prenant un faux air apeurĂ©. Je te le dit, ça va me porter malheur cette histoire. Allez, allez, rattrapes-toi mĂ©chant garçon et dis moi qu'elle sera tout ce qu'il y a de plus adorable. Puis prenant une fausse moue suppliante. Allez, je la laisserais mĂȘme dĂ©corer la chambre de trucs hideux si c'est ce qu'elle aime. »Reprenant son expression lĂ©gitime, elle afficha un grand sourire. Ca avait quelque chose de rĂ©confortant de la voir sourire. On l'imaginait facilement gardant son sourire mĂȘme perdue en plein milieux d'un dĂ©sert. On lui avait mĂȘme affirmĂ© un jour qu'elle serait certainement la seule Ă  sourire si une troisiĂšme guerre mondiale nous tombait sur le nez XD Fallait bien chercher si c'Ă©tait un compliment bien dissimulĂ© ou bien une remarque plutĂŽt..pĂ©jorative . Elle, elle s'en foutait. Jusqu'Ă  prĂ©sent, un seul et unique Ă©vĂšnement avait rĂ©ussit Ă  dĂ©crocher ce sourire de ses lĂšvres et ce n'Ă©tait pas demain la veille que ça recommencerait. C'Ă©tait promis. Son regard bleutĂ© quitta son verre pour aller sonder le regard du jeun MattĂ©o. Il semblait, comment dire..Ă©tonnĂ© de la voir se dandinait TT Pourtant, elle n'Ă©tait pas la seule. Non non, regardes bien, il y avait cette mamie lĂ -bas funny Allons du calme S. Elle se tourna lĂ©gĂšrement afin d'apercevoir le barman, qu'elle avait dĂ©cidĂ© d'appeler James, sans vraiment vouloir connaĂźtre son nom. Elle lui adressa un sourire malicieux, incitant Ă  venir d'un signe de la main. Elle indiqua du doigt son verre vide et celui de son compagnon Ă  demi plein [XD].- Ca serait peut-ĂȘtre une bonne chose de nous amener deux nouvelles vodka, histoire qu'on ne se dĂ©shydrate pas. Puis tournant la tĂȘte vers MattĂ©o. Avoues que ça serait ennuyeux. Vodka ça te va ou tu prĂ©fĂšres autre chose MattĂ©o?»Qu'est-ce qu'elle Ă©tait serviable cette petite alors. Elle attendit que le jeune homme donne sa rĂ©ponse, cela servirait d'ordre pour James et ainsi, elle n'avait plus besoin de s'en occuper. Elle posa sa main sur le comptoir, reprenant sa petite manie de marquer le rythme de ses doigts fins. tiens tiens..Les cours de piano ne se perdaient pas tant que cela finalement. Elle Ă©tait soucieuse de continuer une conversation superficielle. Elle ,n'aimait pas qu'on sache des choses sur elle et elle Ă©tait trĂšs peu habile quand il s'agissait de savoir des choses sur les autres alors comme ça, ça ne faisait qu'arranger tout le monde. Elle dĂ©boutonna sa veste, les effluves d'alcool commençant lĂ©gĂšrement Ă  lui donner hum...Au fait MattĂ©o. Je croyais que les Ă©tudiants sĂ©rieux, les soirs de semaine, Ă©taient occupĂ©s Ă  rĂ©viser dans leur chambre avec leur copine et leurs bouquins sur les genoux...» InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 2216 Personnellement, qualifier Matteo de quelqu'un de sĂ©rieux sa n'irait pas. Il est plutĂŽt calme quand il veut mais c'est surtout un garçon trĂšs discret. Distrait par tout et rien, toutes choses qui bouges ou toutes pensĂ©es importantes ou non. c'Ă©tait bien la le problĂšme, il Ă©tait que trĂšs peu sur terre et pourtant Matteo n'Ă©tait pas triste. Non, juste pensif, un peu trop peut-ĂȘtre et on lui avait souvent dit d'ailleurs. Se moquant de ce que les gens pensent de lui, au fond tous le monde fait bien un minimum attention Ă  ça. Bien sur, il fait des efforts pour ĂȘtre Ă  l'Ă©coute, et parle un peu trop quand il veut. ce n'est quand mĂȘme, un moment silence et un autre bombardements de phrases sans respiration. En faite, comment savoir quand il parlera ou non et si il dira une connerie ou non. Ah une connerie c'est presque sur tout le temps. Devons qu'il ne fait pas attention Ă  ce qu'il dit mĂȘme aux dĂ©pend des autres. Pourtant il dĂ©teste blesser son entourage. Matteo Ă©coutait des deux oreilles, et oui, ce que Serena lui racontait sur son Ă©ventuelle colocataires. Lui, prĂ©fĂ©rait ne pas y penser au sujet du sien. Ces goĂ»ts, ces humeurs ou mĂȘme sa personnalitĂ© et bien sa resterait un mystĂšre pour le moment. Il ne rĂ©pondit pas vraiment, quoi dire, tout Ă©tait a peu prĂšs dit. Il afficha juste un sourire Ă  celle qu'il avait devant lui et gigota les glaçons de son verre. Depuis petit il faisait toujours sa et sa agaçait les personnes prĂšs de lui. Bref, des souvenirs des souvenirs qui nous en apprennent plus sur ce jeune serait des nĂŽtres pour les prochaines minutes, oui. A quoi bon ĂȘtre partit dans un monde meilleure alors qu'il est en conversations avec une jeune fille. Hum, il finit son verre presque d'une traite, il devait avoir soif. Peu de temps avant, il avait apprit que la vodka ne se buvait pas comme de l'eau. le pauvre, il devait se demander pourquoi il Ă©tait tant ivre. Non, on ne va pas le faire passer pour un alcoolique, c'est juste un mec. Serena semblait appeler le barman, une autre boisson ne serait pas de refus. Un dĂ©tachement, ou la elle pensait bien elle. Toujours accompagnĂ© d'un sourire, c'Ă©tait mieux que de faire une tĂȘte de dĂ©terrĂ©. Matteo rĂ©pondit alors, Ă  Serena et au barman en mĂȘme bien sa sera deux vodka !Et le "SVP" Matteo. Heureusement qu'il n'avait pas ajoutĂ© "mon brave" comme une autre fois. Il ne se foutait pas de lui mais comme dit auparavant, Matteo disait trop de choses. Quelques fois, il sortait de bons trucs, encore heureux. Ah elle est bien bonne celle la. AprĂšs que Matteo rĂ©ponde, Serena avait retorquer une phrases, quelques peu dĂ©routante de la rĂ©alitĂ©. Il suffisait de la mettre sur le bon chemin xD Hum, le jour ou Matteo sera sĂ©rieux, je doute que ce jour existe alors ne donnons pas de date. Et tu parles de qui en disant ça ?Il la regarda avec un lĂ©ger sourire, tout en faisant un minimum de faux doute que tu parlais de moi ?!Matteo prit un air faussement grand. Hum, pas le mot exact mais ce n'est rien. Enfin...Bref, Matteo attendit une rĂ©ponse. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Dim 18 Nov - 1545 Serena ne put rĂ©primer un nouveau sourire en voyant MattĂ©o rĂ©pondre au barman. Une question lui brĂ»lait les lĂšvres mais elle prĂ©fĂ©rait se retenir avant de sortir encore une de ces remarques idiotes qui permettent de couper court net Ă  la conversation. Elle prĂ©fĂ©rait nettement s'amuser et ne souhaitait en aucun cas le mettre mal Ă  l'aise. de toute façon, elle Ă©tait quasiment sur d'elle. Rah..C'est dans ces moments qu'elle se disait que faire Psycho n'aurait, finalement, pas Ă©tĂ© une mauvaise chose mais bon..Chacun son chemin. Et bref, pour en revenir Ă  MattĂ©o, il lui faisait vraiment penser Ă  la jeunesse dorĂ©e dont elle Ă©tait issue. Ceci dit, ça ne lui dĂ©plut pas le moins du monde, au moins, elle ne se sentait pas dĂ©paysĂ©e le moins du monde. Mais c'Ă©tait Ă©trange comme situation. Il avait l'air adorable et serviable aux premiers abords, serait-ce possible alors qu'il soit arrivĂ© ici odieux et prĂ©tentieux comme l'Ă©taient tout ceux de la trempe de la jeune demoiselle. Ha oui, ça l'intriguer. Elle se concentra sur la musique pour Ă©viter de poser des questions dĂ©rangeantes. L'Ă©ducation de ses parents lui aurait au moins appris une chose. Elle hocha la tĂȘte vers le barman qui semblait quelque peu..endormi ou bien Ă©tait-ce les relents d'alcool qu'il supportait mal? Elle regardait un peu autour d'elle. Les jeunes Ă©taient..sages front Aucun d'entre eux n'auraient eu la bonne idĂ©e de monter sur les table pour nous faire une petite danse du ventre. quel dommage -_-. Elle reporta son attention sur MattĂ©o avec une expression mutine, les yeux emplis de Bien sur que je parle de toi. Tu as l'air du parfait gentleman qui prend ses Ă©tudes Ă  coeur et surtout, qui ne dĂ©sobĂ©i pas Ă  la demoiselle qui lui a mit le grappin dessus quand elle lui interdit de boire avec d'autres jeunes femmes. Elle attrapa son verre, en quĂȘte Ă  une petite irritation Ă  cause du bruit que M faisait avec ses glaçons mais elle y Ă©tait bien trop habituĂ©e pour dire quoi que ce soit. Elle le porta Ă  ses lĂšvres et but une nouvelle fois sans se soucier de l'Ă©tat dans lequel elle serait lorsqu'elle essayerait de rentrer cette nuit. Rah Serena, on t'a dĂ©jĂ  dit que c'Ă©tait pas du p'tit lait front Prend le temps d'apprĂ©cier ta boisson; c'est ce qu'on lui disait avant. Oui avant qu'on ne comprenne que la fĂȘte et l'alcool, elle avait dĂ©jĂ  ça dans le sang alors Ă  quoi bon. Elle le reposa en souriant, prenant un petit air A moins que je ne me soit trompĂ© bien sur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Avant tout... Avant tout... Page 1 sur 1 Sujets similaires» A lire avant tout» Lorsque tout va bien et que tout s'efface [PV Sam et Dydy]» Avant Halloween [Pv Dylan]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumRPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre VilleSauter vers
AudĂ©but, je doutais qu'une telle chose existe. J'ai dĂ©cidĂ© d'essayer, quand je l'ai contactĂ©, il m'a aidĂ© Ă  lancer un sort et dans les 48 heures, ma femme est revenue et a commencĂ© Ă  s'excuser, maintenant elle a arrĂȘtĂ© de sortir avec les hommes et elle est avec moi. Vous pouvez contacter {agadagaspiritualhome @ gmail} Si vous passez par tout ce genre de
Spartiate th Grand MaĂźtre 1 4 Avril 2011 1 ...les gens qui se servent de la rillette en creusant sous la couche de graisse; la rendant ainsi instable. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 2 4 Avril 2011 2 ...les gens qui t'annoncent qu'ils ont seulement 5,50 euros en poche une heure aprĂšs avoir prit l'autoroute, pour aller passer un week-end en Espagne... sinon pour la rillette, je fais ça que tu n'aimes pas [-xtreme-] 4 Avril 2011 4 ... l'OM, l'OL, le PSG, ni tous les autres footeux de merd* LaMoufetteEnColere Grand MaĂźtre 5 4 Avril 2011 5 ..les bruits mouillĂ©s quand 2 niais namoureux se bouffent la langue dans les films. 6 4 Avril 2011 6 ... les gens qui se plaignent sans arrĂȘt. 7 thewonderous flan-man Grand MaĂźtre 8 9 4 Avril 2011 9 ... avoir tort sans raison, et avoir raison sans tort. 4 Avril 2011 10 .. que Xiiime, ce si beau lettrĂ©, Ă©crive "tord" au lieu de "tort" ! 11 4 Avril 2011 11 Fichtre! Au temps pour moi! Merci de me reprendre. Jusque tout Ă  l'heure, je ne supportais pas les gens qui distribuent des tracts dans la rue. Mais lĂ , le tract concernait un cocktail alcoolisĂ© gratuit sur prĂ©sentation du bon sans achat obligatoire ni rien. J'ai marchandĂ© un peu, j'en ai obtenu neuf. Maintenant je les aime bien. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 12 4 Avril 2011 12 c'est vrai ça, sinon on dirait "et le tordu" et ça ne veut pas dire la mĂȘme chose que "le tortue"... 13 4 Avril 2011 13 Merci, la guĂȘpe, pour ce moyen mnĂ©motechnique que j'utiliserai dĂ©sormais. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 14 4 Avril 2011 14 sinon, dans la famille "je ne supporte pas", les vieux qui te beuglent dans la face que les places assises sont pour eux en faisant des laĂŻus sur la jeunesse dĂ©pravĂ©e. le fait d'ĂȘtre ĂągĂ© ou handicapĂ© ne te donne pas le droit d'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able! 4 Avril 2011 15 Je ne supporte pas le fait de supporter beaucoup de trucs, genre "woooaaah paf ça vient de passer". Je ne supporte pas non-plus le fait de s'exprimer de façon Ă©trange et pas du tout claire pour des des trucs qui n'ont pas de sens. Quand c'est sans dessus-dessous, c'est insupportable. Je ne supporte pas l'insupportable, que retournent les limites de l'acceptable au delĂ  de ce que l'on peut supporter, quand tout se porte et se supporte dans tous les sens, quand ce sens disparaĂźt. À ce moment lĂ  supporter devient insupportable, mais supporter l'insupportable implique d'insupporter le supportable. Hum'voilĂ . 16 4 Avril 2011 16 ... le bruit , les hamsters , les clowns, les insectes volant , les crocodiles, les gens qui "slurp" en buvant , qui piaffent en mangeant, ceux qui se rongent les ongles en crachant les morceaux par terre, ceux qui reniflent a te faire gerber, les nanas qui portent des chaussettes avec des escarpins ainsi que celle qui portent des chaussettes ou collant avec des chaussures ouvertes. ... l'intolĂ©rance, la connerie, les faux cul, les " j'ai tout vu tout fait" , la mauvaise foi, l'inconscience , la plupart des jeunes qui postent dans S/A. ... les gens qui ne savent pas ce qu'est le "second degrĂ©s" Je reviendrai plus tard pour la suite. 17 4 Avril 2011 17 ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite 18 4 Avril 2011 18 Freemaster ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite Comment ça tu ne me supportes pas?? 19 4 Avril 2011 19 pas toi mais que tu aurais une suite pour plus tard LaMoufetteEnColere Grand MaĂźtre 20 4 Avril 2011 20 ...les noobcampers qui te headshot sur le respawn.

ILdoit faire le travail lui mĂȘme s'il en a vraiment envie. Mais tu dois te dire une chose; l'alcool enlĂšve les inhibitions mais sous ce couvert, l'homme est le mĂȘme. La preuve, il est parfois

Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2008 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? TW sexe, drogue, relation toxique, mots crus Les fenĂȘtres ouvertes laissaient entrer un soleil cuisant, une chaleur devenue insupportable. Au sol, des vĂȘtements Ă©taient Ă©parpillĂ©s ici et lĂ , souvenirs torrides de la nuit derniĂšre. Les sons provenant de la tĂ©lĂ©vision rĂ©sonnaient dans l’appartement en se mĂȘlant au rythme rĂ©gulier du ventilateur qui tentait tant bien que mal de rafraĂźchir la piĂšce. Des volutes de fumĂ©e stagnaient dans l’air, provenant d’une cigarette coincĂ©e entre mes lĂšvres. HabillĂ© d’un simple boxer, mes yeux glissaient Ă  travers le livre que je tenais d’une main, tranquillement allongĂ© sur le lit, Ă  travers les fins draps marquĂ©s par nos Ă©bats. Un corps complĂštement nu Ă©tait installĂ© prĂšs du mien. Eden dormait encore. De temps en temps, mon regard s’enfuyait de ma lecture pour se glisser sur ses courbes. Je l’admirais, comme souvent. Je me perdais dans la contemplation enchanteresse qu’elle m’offrait sans mĂȘme le vouloir. Ses courbes m’appelaient, tel un camĂ© devant une latte de coke. J’étais accro. Ses longs cheveux roux reposaient en cascade le long de son dos, brillant en rĂ©ponse aux rayons du soleil, me donnant l’envie de glisser mes doigts dedans. Mais je n’en fis rien. Je restais silencieux, par peur de la rĂ©veiller et de briser ce moment de calme entre nous. Ils Ă©taient rares, ces moments, trop pour que je me permette d’y mettre un terme. A la place, je replongeais dans ma lecture. Aucune idĂ©e de l’heure qu’il pouvait ĂȘtre. Si on Ă©tait le matin ou l’aprĂšs midi. Ça n’avait aucune importance. Tel un automatisme, mes doigts faisaient des allers retours jusqu’à mes lĂšvres pour m’apporter une dose de nicotine devenue indispensable. Ce n’est que lorsque j’eus fini une Ă©niĂšme clope que je relevais la tĂȘte pour de bon. Les besoins physiques indispensables Ă©taient revenus Ă  la charge. S’hydrater, aller aux chiottes, manger, ce genre de conneries. Mon livre fini sur la table de chevet. Tel un fĂ©lin, je me glissais en dehors du lit sans le moindre bruit, direction la salle de bain. Sur mon passage, j’avisais le plateau qui traĂźnait sur une table oĂč la poudre blanche m’attendait. J’eu une fraction de seconde d’hĂ©sitation. Plus tard. AprĂšs la douche. Je ne pris mĂȘme pas la peine de prendre des vĂȘtements propres. Je me glissais sous l’eau aprĂšs ĂȘtre passĂ© aux toilettes. Une bonne douche froide, ça me soulageait au moins autant qu’une clope sur le moment. L’eau dĂ©vala mon corps. xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis _________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2010 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–Œ Tu te sentais bien lĂ  dans ses draps. T’avais l’impression de dormir dans des draps en satin. Mais ce n’était qu’une impression. Ils Ă©taient en coton mais chaque chose qu’il touchait devenait extraordinaire. Tu tournas la tĂȘte dans ton sommeil. Ton corps sentis sa prĂ©sence Ă  tes cĂŽtĂ©s. Il t’envoutait. Il t’avait pris ton cƓur et ton Ăąme Ă  la seconde mĂȘme oĂč tu avais posĂ©s tes prunelles dans ses yeux. Tu l’avais su Ă  la seconde oĂč il avait souris que tu Ă©tais foutu. Calista, ton amie, t’avais dis de faire attention Ă  lui. Qu’il n’était pas une bonne personne pour toi. Elle ne savait pas que c’était exactement les paroles qu’il ne fallait pas qu’on te dise. Tu avais besoin de ça. Ton monde Ă©tait un carnage depuis que tu avais appris que tu n’étais qu’une demi-Ross. Ton monde avait volĂ© comme une boule de cristal. Et tu avais besoin d'un nouveau socle dans ta vie pour te remettre d’aplomb. Et tu trouvais qu’Alden Ă©tait parfait comme candidat. Beaucoup trop mĂȘme vu qu’il avait rĂ©ussi Ă  tout avoir de toi. Ton corps au point que le dessin de sa bouche avait finis comme tatouage sur ton aĂźne. Ton cƓur qui battait Ă  chaque fois qu’il posait les yeux sur toi. Et le pire dans tout ça. Ton Ăąme. Tu t’étais aveuglĂ©e dans cette relation. Elle Ă©tait toxique pour vous deux mais tu ne l’a changerais pour rien au pour confirmer les choses, tes yeux papillonnĂšrent quand tu ne ressentais plus la prĂ©sence d’Alden Ă  tes cĂŽtĂ©s. Il s’était levĂ©. Et tu compris quelques secondes en attendant les gouttes d’eaux fouettĂ© le mur de la douche oĂč il Ă©tait. Tu poussais un soupire et t’étirais comme un chat. Tu avais des courbatures de vos Ă©bats d’hier. C’était ça aussi vous. Sauvage. Vous Ă©tiez deux faunes dans une cage qui se battaient pour dominer l’autre. Et devenir cĂąlin par la suite. Tu te levas et marcha en direction de sa salle de bain. Ton corps nu avait encore les traces de vos Ă©bats d’hier. Tes yeux trouvĂšrent Alden qui te tournait le dos. Un sourire glissa sur tes lĂšvres quand tes yeux se posĂšrent sur ses fesses. Si toi tu avais un tatouage sur l’aine, il l’avait les tiennes sur les fesses. Signe d’une possessivitĂ© sans faille. Tu pĂ©nĂ©tras dans la douche et enroula tes bras autour du torse de celui qui faisait battre ton cƓur. Tu posas ta tĂȘte sur son dos apprĂ©ciant le contact de vos deux peaux nues. » T’es cap toi de m’aimer dans cette douche ? Ça avait toujours Ă©tĂ© ça entre vous. Du cap ou pas cap. Du matin au soir. C’était votre drogue. Votre adrĂ©naline. Votre dĂ©chĂ©ance. Et sans le savoir tu avais plongĂ© tout ton corps dedans. Alden Ă©tait ta putain de drogue. Il Ă©tait ton diable Ă  toi. Et aveuglĂ©e par tes sentiments, tu ne voyais rien de tout cela. Tu glissais une de tes mains sur ton torse pour une caresse lĂ©gĂšre. L’eau s’abattait sur toi et tu pousses un soupire de bien ĂȘtre. Tu adorais ce genre de sensation. L’eau et ton corps nu contre celui d’ PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2016 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Les yeux fermĂ©s, je profitais du court moment de solitude qui m’était offert, laissant mes pensĂ©es vagabonder dans mon esprit sans vraiment m’accrocher Ă  l’une d’elle. J’aimais ses journĂ©es, oĂč rien n’avait d’importance et nous ne nous soucions de rien Ă  part de profiter du moment prĂ©sent. Loin de nos problĂšmes et du monde extĂ©rieur. Loin de tout. Un vent frais dans mon dos me fit rouvrir les yeux, prendre conscience de la prĂ©sence d’Eden dans mon dos. Je souris Ă  l’instant mĂȘme oĂč ses bras m’entourĂšrent. Sa voix encore enrouĂ©e par le sommeil se glissa jusqu’à mon oreille. Mon sourire s’étira. Je me retournais suite Ă  sa caresse sur mon torse, grisĂ© par son contact rendu diffĂ©rent Ă  cause de l’eau qui s’abattait sur nos corps. Je plongeais dans son regard sans dĂ©tour. Mes doigts s’invitĂšrent le long de sa mĂąchoire en une caresse tendre. Cap. »Mes lĂšvres Ă©chouĂšrent sur les siennes. Mon palpitant reparti au galop. Mes mains dĂ©valĂšrent les courbes de son corps. Je la voulais plus prĂšs. Toujours plus. Elle m’avait emprisonnĂ©, m’avait envoĂ»ter sans que je le vois venir. Pour la premiĂšre fois de ma vie, je m’étais laissĂ© aller Ă  aimer, quand bien mĂȘme nous nous Ă©tions promis de ne jamais tomber dans le piĂšge de l’amour. Je m’étais fait avoir. Et maintenant je ne voulais plus que cela cesse. Je la voulais, encore et feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2019 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe Les gouttes d'eau frappĂšrent ton corps nu avec force. Te rappelant Ă  quel point tes sentiments Ă©taient violents pour celui que tu partageais la douche. Tu te rappelais du premier cap ou pas cap. Ou tout avait commencĂ©. Ça avait commencĂ© par un simple " t'es cap d'embrasser la personne la bas ?". Alors que tout le monde savait qu'elle Ă©tait en couple depuis des annĂ©es avec son compagnon. Quand il te l’avait embrassĂ©, tu l'avais trouvĂ© ahurit. Ce n'Ă©tait pas ton truc de briser des couples. Toi qui au fond cherchait que ça. Que quelqu'un te porte autant de gestes que peut ĂȘtre un couple. C'est quand il avait touchĂ© la case provocation que tu y Ă©tais allĂ©. Et qu'une fois le cap rĂ©alisĂ©, tu lui avais glissĂ© qu'il en sera jamais cap de coucher avec le premier mec qu'il regardait. Tu savais que tu allais gagner. Qu'Alden Ă©tait un homme Ă  femmes. T'Ă©tais tombĂ© de haut quand il Ă©tait revenu tout souriant et t'avais glissĂ© la chaĂźne autour du cou. C'est comme ça que ça avait commencĂ©. Un putain de jeu. Tu te savais mauvaise perdante. Il en profitait. Et au fur et Ă  mesure que ce jeu prenait place dans ta vie, t'en tombais amoureuse. Comme ça. D'un seul coup. Car il t'apporta plus d'attention que quiconque ne t'avais jamais adressĂ© jusqu'Ă  la. Du mal oui. Alden Ă©tait le feu interdit. Et toi tu adorais t'y approcher au point que tu as fini par te brĂ»ler les dĂ©posas un baiser sur son dos quand tu entends sa rĂ©ponse. M'aimer. C'Ă©tait aussi un cap ou pas cap que l'un avait dis. Que jamais on tomberait amoureux de l'autre. Toi t'Ă©tais plongĂ©e dedans finalement et tu ne lui avais rien dis. Car t'avais dis que tu Ă©tais cap. Que ce n'Ă©tait qu'un putain de jeu. Malsain. Toxique. A voyant Alden se tourner et dĂ©poser ses lĂšvres sur les tiennes, tu compris une chose. T'Ă©tais foutu. Alden Ă©tait mieux que l'adrĂ©naline. Mieux que la nicotine que tu fumais en quantitĂ© astronomique. Mieux que la drogue que tu t'enfilais en soirĂ©e par esprit de compĂ©tition. Mieux qu'un orgasme. Alden. Ce nom Ă©tait gravĂ© en toi au fer rouge. Sa marque Ă©tait gravĂ©e Ă  l'encre rouge sur ta peau. Tu ne voyais que lui. Tu ne voyais que ses mains sur ton corps. Tu voyais que les gĂ©missements que tu poussais et les frissons qui te donnĂšrent la chair de poule. Tu voyais que lui. Et putain qu'est ce que c'Ă©tait bon. Tu traçais de tes ongles le dos de ton amant. Tu le marquais comme tien. Ton Ă©niĂšme gĂ©missement mourut dans les lĂšvres d'Alden. Il n'y avait rien de tendre entre vous. Tu sentis l'excitation montĂ©. Tu connaissais son corps par cƓur et il connaissait le tien par cƓur. Il savait oĂč toucher pour t'envoyer au septiĂšme PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2024 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2027 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe " T'es cap toi qu'on tombe pas amoureux de l'autre ?". Ses mots tu les avais prononcĂ©s un mois aprĂšs que tu avais commencĂ© ton jeu avec Alden. Un mois ou tu avais sentis tous tes sens en Ă©veil. En alerte de la moindre parcelle de caresse. Du moins regard jetĂ© en ta direction. Du moindre mot qui coulait dans ses lĂšvres. C'Ă©tait qu'un Ă©niĂšme pari. Il t’avait dis qu'il Ă©tait cap et t'avais balancĂ© le mĂȘme Ă  la gueule. Juste pour voir qui allait ĂȘtre le gagnant des deux. Plus tu restais en sa compagnie, plus tu te sentais perdre pied. C'Ă©tait qu'un jeu. Un putain de jeu de cap ou pas cap qui aurait dĂ» rester sur des paris simples. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2030 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2203 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 120, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2322 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  120 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  215 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to Ă©dition par Alden Knight le Ven 26 AoĂ» - 1735, Ă©ditĂ© 1 fois Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  1708 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW addiction, sous-entendu drogue Tu sentais ton cƓur battre plus vite qu’il ne le devait. Il faisait un marathon et s’il n’avait pas Ă©tĂ© protĂ©gĂ© par tes cĂŽtes, tu Ă©tais sur que ton cƓur aurait bondit tellement il battait fort. Ses Ă©motions, ses sentiments aussi violents que passionnĂ©, il n’y avait qu’Alden pour te les faire ressentir. Tes jambes s’étaient enroulĂ©es autour de sa taille et ta bouche formait un o » quand l’orgasme Ă©tait venu frapper Ă  vos portes. Il Ă©tait bon. Incroyablement bon. Il te faisait perdre pied. Tu oublias ce qu’il se passait dehors, loin de cet appartement. Tu oublias la douleur que tu avais ressentis quand celui que tu pensais ĂȘtre ton pĂšre t’avais dis en rĂ©alitĂ© tu n’étais qu’une erreur. Que le fruit d’une infidĂ©litĂ©. Non. Tout ce qui comptait Ă  prĂ©sent Ă©tait vous deux. Votre bulle qui vous protĂ©geait contre le monde extĂ©rieur. Vous deux contre le reste du monde. Babe et Alden. Tu ne savais pas pourquoi tu lui avais jamais dis ton prĂ©nom. Par sĂ©curitĂ© au dĂ©but mais parce que tu aimais entendre ton surnom dans cette bouche. Ça sonnait si sensuel, si vivant que tu n’avais jamais eu le cƓur de lui dire ton prĂ©nom. Et il semblerait que ça n’avait aucune importance pour Alden vu qu’il ne t’avait jamais posĂ© la question. Car votre prĂ©nom ne comptait pas. Seuls vos deux ĂȘtres torturĂ©s comptaient. Tu l’aimais avec une telle force que tu pourrais en crever s’il te demandait de le faire. Tu pouvais tout faire pour lui. T’avais dĂ©jĂ  finis en garde Ă  vue Ă  cause de lui. Tu avais dĂ©jĂ  sniffer de la coke parce qu’il te l’avais demandĂ©. Oui. S’il te donnerait d’en finir avec ta vie, tu le ferais sans hĂ©siter. Car c’était ça ton amour pour lui. Puissant. Violent. Dangereux. Meurtrier. Et Ă  cet instant, seul lui comptait. Seules ses lĂšvres qui se posĂšrent sur les tiennes comptaient. La passion avait laissĂ© place Ă  une tendresse qui te donnait des frissons. C’était aussi ça votre amour. Deux cons qui n’assumaient pas leurs sentiments mais qui les ressentaient puissance milles. Et que c’était rĂ©ciproque. Tu n’avais pas besoin de mots pour le dire. Tu Ă©tais convaincu qu’il savait que tu Ă©tais tombĂ©e amoureuse de lui. Ton cƓur dans ta poitrine battait tellement fort et vite qu’il aurait fallu ĂȘtre sourd pour ne pas l’entendre. MĂȘme Calista te le disait. D’arrĂȘter tout ça car tes sentiments pour lui Ă©tait bien trop violent pour que ça soit sain. Mais tu t’en fichais. Alden Ă©tait ton tout. Et chaque jour sous l’excuse d’un cap ou pas cap, tu revenais le voir. C’était plus fort que toi. Ton corps rĂ©clamait son corps. Ton Ăąme voulait faire qu’un avec la sienne. Et ton cƓur voulait rejoindre ses bras si rĂ©confortant mais si dangereux Ă  la lĂšvres approfondir le baiser alors que tu l’obligeais Ă  te lĂącher. Tes bras l’avaient encerclĂ© et tu t’étais mis sur la pointe des pieds pour ne jamais arrĂȘter ce baiser. Comme si c’était ça qui comptait pour vous. Tu Ă©tais sur dĂšs l’instant oĂč tu allais rompre ce baiser, t’allais en souffrir. L’eau de la douche continuait Ă  tomber et tu laissas l’eau effacĂ© les vestiges de votre acte d’amour. Car mĂȘme si vous appelez ça de la baise, vous savez pertinemment que vous faisiez l’amour. Mais vous Ă©tiez trop fier pour oser le dire. Trop compĂ©titif. Le manque d’air arriva et tu soupiras quand tes lĂšvres s’enlevĂšrent des siennes. Une piqure de douleur te le rappela. T’étais devenu addict Ă  Alden comme tu l’étais de la clope. Tu souris en fermant les yeux et laissa le jet d’eau venir Ă©craser sur ton visage. Pour te rĂ©veiller de l’état second que cet orgasme vous avez mis. Le manque premier passĂ©, le deuxiĂšme manque tapa dans ta poitrine. Tu avais besoin d’une clope. Tu attrapas le gel douche et te le passais sur ton corps. Provocante, tu laissas glisser te doigts sur le torse d’Alden pour venir dĂ©poser du gel douche et descendis plus bas. Pour nettoyer tout ça. Tu n’avais pas besoin de mot pour dire les choses. C’était devenu naturel et si tu avais envie d’ĂȘtre honnĂȘte avec toi-mĂȘme, c’était un comportement de couple. Une fois fini, tu laissais abattre l’eau qui te nettoyait. La douche fini, tu en sortis avec un dernier regard Ă  Alden. Je vais fumer t’en veux une ? » Ou d’autres choses vu ce qu’il avait laissĂ© sur la table. T’avais pas besoin de lui dire pour qu’il comprenne le sous-entendu. Tu trouvas un t-shirt d’Alden et l’enfila sur ton corps nu. Tu trouvas facilement ton paquet de cigarette et en sortis une. La premiĂšre de la journĂ©e. L’aprĂšs orgasme. La meilleure. Tu la glissas entre tes lĂšvres et l’alluma. La clope te fit un bien fou et partis t’installĂ© sur un meuble prĂšs d’une fenĂȘtre pour la fumer. Un des reflexes de maniaque que tu Ă©tais. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  1804 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Tw drogue, addictions Le moment si prĂ©cieux se dissipa Ă  regret. Aucun de nous deux ne mima mots.'Il n’y avait que nos regards et nos corps qui se rĂ©pondaient en silence. Je la libĂ©rais en reprenant contenance, la laissait laver mon corps, passer le savon sur mes muscles en ne cessant de la regarder. N’importe qui d’extĂ©rieur aurait pu se moquer de nous voir ainsi, crevant l’évidence de nos sentiments. On le savait tous les deux sans doute, seulement nous Ă©tions bien trop fiers pour l’assumer. C’était pas notre genre. Nous Ă©tions Ă©pris de libertĂ©, cassĂ©, dĂ©vastĂ©, trop peureux pour voir la vĂ©ritĂ©. Mes yeux se posĂšrent sur son cou, sur le cadenas qu’elle portait, la chaĂźne qui reposait le long de ses clavicules. Il ne nous quittait jamais, ce collier. MĂȘme pas sous la douche. Comme gravĂ© sur notre peau. L’idĂ©e de le faire graver un jour m’effleura, avant que l’eau ne se coupe, me sortant de mes pensĂ©es. L’air pĂ©nĂ©tra dans la douche alors que j’observais ses fesses rebondies tandis qu’elle partait se chercher une clope. J’arrive. »Mon corps agit de lui mĂȘme. Ma main passa dans mes cheveux pour les remettre en arriĂšre alors que j’attrapais une serviette pour m’essuyer rapidement. Je remis mon boxer avant de sortir, prenant soin d’ouvrir la fenĂȘtre au passage. Mes pas me conduire droit dans la chambre. Mon regard plana sur elle alors que l’odeur de la cigarette planait Ă  nouveau dans la piĂšce. Elle Ă©tait beaucoup trop belle, Babe. Encore plus avec mon t-shirt sur le dos, arrivant Ă  la limite de ses fesses. Elle aimait se poser lĂ , Ă  la fenĂȘtre. Et moi j’aimais la regarder. Je cherchais rapidement son paquet de clopes, en glissant une entre mes lĂšvres avant de me diriger vers le plateau rempli de poudre. Tout ce sexe m’avait presque fait oublier le manque. Presque. Je m’asseyais Ă  la table, attrapais les cartes qui traĂźnaient lĂ  et entrepris de faire de belles traces. T’en veux ? »Je l’interrogeais en tournant Ă  peine la tĂȘte vers elle. Elle Ă©tait dans mon dos, hors de mon champ de vision. Les lattes prĂȘtes, je m’en enfilais une comme si j’avais fait ça dans ma vie, ce qui Ă©tait le cas, en vĂ©ritĂ©. Rien de plus banal pour moi. Je projetais la tĂȘte en arriĂšre, inspirant en frottant mon nez devenu blanc. Je fermais les yeux quelques secondes, apprĂ©ciant le simple fait de m’enfiler ma came. L’instant suivant, une flamme brĂ»la le bout de ma clope restĂ©e accrochĂ©e Ă  ma bouche. J’accrochais la tĂ©lĂ©vision du regard, juste en face de moi, soupirant de bien ĂȘtre Ă  la premiĂšre bouffĂ©e de tabac. Les images dĂ©filaient sans que j’y prĂȘte rĂ©ellement attention. Un bruit de fond, juste pour occuper mon esprit malade. Éviter le silence trop pesant. J’avisais mon smartphone, jurant au passage. J’avais des appels en absence. Des appels importants. Je rappelais mon interlocuteur en me levant de ma chaise, rejoignant Babe Ă  la fenĂȘtre. Le combinĂ© vissĂ© Ă  l’oreille, ma main libre tomba dans le dos de la belle en des caresses distraites. Le regard perdu Ă  la fenĂȘtre, j’attendais que les dĂ©tonations cessent. Messagerie. Et merde. Fais chier. »Je balançais le tĂ©lĂ©phone sur le lit, posant mes yeux sur la rousse. T’as faim ? Je vais cuisiner un truc. »xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Contenu sponsorisĂ© Everyone's damaged - Eden
Beelyn'a pas bu Parano avec le machin beely sert pas la main des traĂźtres Beely fume pas le Q de ton pĂšte Beely fait cracher le pot de ton pĂšte Beely te dĂ©fonce quand t'es a sec Beely a trop de tchikita Mais a cause de la street il s'en occupe peu Il a dit demain je viens t’inquiĂšte pas Il s'est fait pĂ©ter avec un cul de beuh
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Le fait de se faire crier dessus n'est jamais une bonne expĂ©rience. Lorsque quelqu'un vous crie dessus, il est tout Ă  fait naturel que vous vous sentiez intimidĂ©, effrayĂ© et minimisĂ© dans votre capacitĂ© Ă  rĂ©agir de façon appropriĂ©e. Toutefois, la solution pour faire face Ă  une telle situation est de comprendre que c'est l'autre personne qui a failli Ă  sa technique de communication. Heureusement, vous n'ĂȘtes pas la personne qui a perdu le contrĂŽle, ce qui veut dire que vous pouvez prendre des mesures pour maitriser vos sentiments et vous conduire d'une maniĂšre plus appropriĂ©e lors d'une interaction. 1 RĂ©sistez Ă  l'envie de rĂ©torquer. Moins vous ĂȘtes rĂ©actif aux provocations, plus vous serez capable d'utiliser votre bon sens pour gĂ©rer la situation. Si vous vous sentez en colĂšre ou si quelqu'un vous provoque, avant de dire ou de faire quelque chose que vous pourriez regretter plus tard, respirez profondĂ©ment et comptez lentement jusqu'Ă  dix. Ceci implique que vous devez Ă©viter toutes formes de caractĂšres critiques et d'attitude dĂ©fensive. Le fait de rĂ©torquer est simplement un autre moyen facile de rĂ©pondre de façon rĂ©active que proactive. Critiquer le hurleur ou dĂ©fier ce qu'il vous dit risque de le provoquer davantage. En outre, lorsqu'on nous crie dessus, nous n'arrivons gĂ©nĂ©ralement pas Ă  bien rĂ©flĂ©chir. Ceci est dĂ» au fait que nous soyons mis dans un Ă©tat de peur [1] . 2 Évaluez vos options. Si l'on vous crie dessus, ne restez jamais coincĂ© dans la situation. Ceci s'applique Ă©galement aux Ă©trangers qui perdent leur sang-froid lorsqu'ils font la queue Ă  la boutique, tout comme il arrive Ă  votre patron et Ă  votre partenaire de le faire souvent. Pour cette raison, vous devez complĂštement vous retirer de ce moment pour voir s'il faut ou non supporter la rĂ©primande. Vous pourriez dĂ©cider de ne pas vous en Ă©chapper de peur que cela ne soit au prix de votre emploi. Toutefois, vous pourriez envisager d'autres options si le cri semble ĂȘtre un phĂ©nomĂšne totalement rĂ©current ou si la personne qui vous rĂ©primande n'est pas aussi importante Ă  supporter. Les recherches ont prouvĂ© que la rĂ©primande est un comportement tout aussi heurtant et inutile lorsqu'elle est faite par manque d'amour [2] . Cela veut dire que, quelle que soient les intentions du criard, sachez que vous ĂȘtes soumis Ă  un traitement qui n'est jamais parfait ni mĂȘme appropriĂ©. 3 Évitez de tolĂ©rer les hurlements. Lorsque nous crions, c'est parce qu'on est dĂ©passĂ© par une situation qu'on n'arrive pas Ă  gĂ©rer Ă  moins qu'on ait recours Ă  l'usage de la force brutale. Si vous assouvissez ce que dit cette personne avec une rĂ©ponse catĂ©gorique ou de la rĂ©futation, sachez que vous soutenez aussi ce type de communication. S'il arrive que vous trouviez silencieusement de failles aux arguments et aux plaintes de la personne qui vous crie dessus, faites aussi pareil. Ceci peut ĂȘtre la meilleure façon de vous prouver Ă  quel point vous avez le contrĂŽle ou pouvez gĂ©rer la situation. Toutefois, veillez Ă  ne pas trop vous focaliser sur vos pensĂ©es de maniĂšre Ă  ne pas pouvoir observer les choses. 4 DĂ©tournez l'attention de vous. Ayez la hardiesse de vous dĂ©sengager de la situation que vous vivez comme un moyen de vous assurer que vous n'en faites de rien une affaire personnelle. La meilleure façon d'y arriver sans perdre de vue ce moment-lĂ  est de sympathiser avec le hurleur en question [3] . Focalisez-vous sur la douleur et la tension qu'il y a sur son visage. PlutĂŽt que de l'Ă©couter, regardez le dĂ©sespoir et la frustration qu'il subit en ce moment. Souvenez-vous que vous ne validez pas les actes de cette personne. Vous sympathisez avec lui afin de voir les parties de sa vie dont vous pouvez prendre pitiĂ© lorsque le moment de rĂ©agir viendra. Cherchez la paix de toutes les façons que vous puissiez, mais gardez-vous de revĂȘtir une fausse apparence de sĂ©rĂ©nitĂ©. Cela peut irriter davantage le criard et il pourrait l'interprĂ©ter comme de la taquinerie ou de la condescendance. Une bonne façon de faire la paix est d'exprimer une sĂ©rieuse surprise face Ă  l'attitude que cette personne vous montre. Ainsi, vous montrerez que vous ĂȘtes en quelque sorte aveugle tout en insinuant que son cri est gĂȘnant. PublicitĂ© 1 Cherchez une pĂ©riode plus calme. Si la situation vous le permet, demandez sereinement Ă  prendre quelques minutes pour vous calmer avant de rĂ©pondre Ă  tout ce dont il est question dans la situation. Expliquez simplement que le cri devenait trĂšs accablant et que vous aimeriez parler dans cinq minutes environ afin de vous ressaisir. En faisant cela, vous donnerez Ă  votre hurleur un peu de temps dont il ignorait aussi avoir besoin. Ceci permettra Ă  la conversation qui s'en suivra de se dĂ©gĂ©nĂ©rer moins en une lutte totale. En faisant cette requĂȘte, vous montrez Ă©galement au criard qu'il a provoquĂ© une rĂ©action intense, ce Ă  quoi il Ă©tait probablement prĂȘt. 2 Engagez une conversation au sujet de son comportement [4] . Dites Ă  la personne ce que son cri vous fait ressenti. Veillez Ă  ne pas oublier de mentionner votre observation par rapport Ă  la situation en disant par exemple, J'ai du mal Ă  prĂȘter attention Ă  ce que tu disais Ă  cause du volume de ta voix. Dites-lui aussi le sentiment que vous a provoquĂ© la situation par exemple, Je me sens stressĂ© et confus lorsqu'on me crie dessus. Par exemple, un partenaire amoureux peut vous crier dessus parce que vous aviez oubliĂ© d'apporter votre ticket d'entrĂ©e Ă  un concert que vous aviez prĂ©vu aller. Lorsque la tension se calmera momentanĂ©ment, dites-lui que vous vous ĂȘtes senti menacĂ© et confus. Dites-lui encore que vous aviez remarquĂ© que les passagers vous observaient d'un air Ă©bahi et avec beaucoup de pitiĂ©. Alternativement, vous pouvez ĂȘtre rĂ©primandĂ© par un chef lorsque vous commettez une erreur dans l'envoi d'une facture Ă  un client. Dites Ă  votre patron que vous vous sentez mal Ă  l'aise et vulnĂ©rable lorsqu'il hausse le ton plus qu'il en faut et qu'il vous est plus difficile de vous concentrer sur votre travail lorsque vous avez l'impression de devoir tout le temps ĂȘtre aux aguets. 3 Exigez qu'il ne vous rĂ©primande plus [5] . Si vous aviez pu lui expliquer les effets nĂ©gatifs de son hurlement sur vous, il est donc normal d'exiger que cela ne se rĂ©pĂšte plus. Pour Ă©viter d'intensifier la colĂšre de cette personne, parlez-lui de cette maniĂšre, Je n'arrive pas Ă  bien entendre lorsqu'il y a trop de hurlements et je tiens Ă  ce que vous aviez Ă  me dire. Voudriez-vous me prĂ©senter la situation avec un ton tel que celui que nous utilisons pour parler actuellement ? En faisant votre requĂȘte, dites clairement ce que vous voulez. MĂȘme si Ă©videmment un ton simple et doux s'avĂšre prĂ©fĂ©rable Ă  un hurlement, dites exactement la façon dont vous voulez qu'on vous adresse la parole. Le fait d'ĂȘtre spĂ©cifique, tout comme dans l'exemple ci-dessus, signifie que vous n'allez pas dire quelque chose du genre Pourquoi ne pouvez-vous pas parler d'un ton normal ? Si vous remarquez que cette personne devient plus sensible ou prendra mal votre requĂȘte, camouflez aussi votre discussion avec quelques observations positives. Pensez aux sujets que cette personne aborde dans d'autres circonstances et exprimez jusqu'Ă  quel point vous apprĂ©ciez, par exemple, sa volontĂ© de prouver Ă  quel point ces sujets sont passionnĂ©s. 4Parlez d'un ton faible. Parler avec modĂ©ration et avec un ton doux est un bon moyen de changer le climat de l'interaction. Le hurleur se verra obligĂ© de tenir le mĂȘme langage que vous Ă  cause de la nette diffĂ©rence que votre voix imposera dans la discussion. Un autre avantage est qu'il s'efforcera Ă  vous Ă©couter, ce qui veut dire qu'il changera en quelque sorte de son Ă©tat d'esprit pour vous Ă©couter. Cela dĂ©tournera l'attention de la colĂšre et de la tension actuelle vers le contenu de ce que vous dites. 5 Voyez si vous voulez vous rĂ©concilier [6] . À prĂ©sent que vous avez pris la peine de dissiper la situation, il vous revient de choisir si vous voulez vous excuser ou si vous voulez simplement vous retirer. En prenant votre dĂ©cision, considĂ©rez la relation que vous avez avec le hurleur, la prochaine fois que vous le verrez et Ă  quel point vous comptez ne plus avoir affaire avec une situation inconfortable. Si cet individu est une personne avec qui vous ne voudrez pas rompre tous liens, vous pouvez vous permettre de vous excuser auprĂšs de lui en vous souvenant de son identitĂ©. AprĂšs tout, un hurlement n'est qu'une façon mĂ©contente d'exprimer la passion et l'attachement qu'on a pour quelque chose [7] . Si vous choisissez de vous retirer, sachez que vous pourriez avoir une rencontre tendue avec lui la prochaine fois que vous le verrez. PublicitĂ© 1 Connaissez vos droits. Il importe que vous connaissiez vos droits dans de telles situations. Prenez confiance en vous-mĂȘme et dissipez la crainte que vous donne le fait qu'on vous crie dessus en passant en revue certains droits. Par exemple, vous avez toujours le droit d'ĂȘtre traitĂ© avec respect et considĂ©ration, aussi bien que le droit Ă  votre propre espace. En milieu de travail, vos droits dans un environnement d'ordre et inoffensif pourraient ĂȘtre obscurcis par votre rang ou l'attitude qu'on espĂšre que vous mainteniez. Toutefois, bien que vos supĂ©rieurs aient plus le droit de s'affirmer au service, vous avez toujours le droit de rĂ©sister aux situations dans lesquelles vous remarquez que votre bienĂȘtre est menacĂ©. Si le hurlement persiste, ayez recours au service des ressources humaines ou au guide de l'employĂ© de votre entreprise pour en apprendre davantage sur les politiques spĂ©cifiques de rĂ©solution de conflits entre employĂ©s [8] . Lorsqu'un partenaire amoureux vous crie dessus, il est plus facile d'accepter par amour ou par dĂ©sir de continuer la relation. Cependant, essayez de comprendre que ce hurlement fait dĂ©sormais partir d'une relation que vous luttez pour rendre durable. Vous avez le droit d'exprimer vos besoins dans une relation et un autre droit qui en est fondamental est celui de ne pas ĂȘtre dominĂ© ni menacĂ©. 2Cessez de communiquer. Si cette personne qui vous brutalise verbalement le fait rĂ©guliĂšrement et que vous avez dĂ©jĂ  essayĂ© plusieurs fois de lui expliquer la façon dont ces comportements vous font mal, le meilleur moyen de vous protĂ©ger serait de couper toute communication avec lui. Compte tenu du type de relation que vous avez avec cette personne, vous pouvez mieux Ă©viter une confrontation avec elle en envoyant une note ou un courriel pour lui dire que vous ne voulez plus de communication. Vous avez le droit de vous exprimer lorsque vous en avez marre. 3 Sollicitez une aide extĂ©rieure. Le hurleur semble-t-il refuser de se calmer ? Craignez-vous qu'il vous fasse constamment de menace dans votre vie ? Si vous voyez que la situation se dĂ©gĂ©nĂšre en un danger potentiel, n'hĂ©sitez pas Ă  contacter les services d'urgence. Si le danger est imminent, contactez le 112 [9] . S'il s'agit d'un problĂšme conjugal, contactez le service du ministĂšre des Familles qui s'occupent de ces affaires au 3919. Cette ligne vous propose une assistance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Le personnel vous donnera le numĂ©ro tĂ©lĂ©phonique des services locaux ainsi que d'autres ressources [10] . PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 68 337 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? 1 Il ne fait plus attention Ă  vous. Si (par malheur), vous vous cassez la jambe et que votre Jules ne vous rend mĂȘme pas visite aux urgences, c’est qu’il y a un problĂšme. Mais SyndromeSyndromeLes stores poussiĂ©reuxLe Cuba ClubL'Ă©lĂ©ment perturbateurProverbe chinoisCafĂ© noirIvresseMauxLa couleur de l'argentLe dĂźnerIdylleProverbe chinois, 2La maison de vacancesAu bord de l'eauCauchemars du rĂ©elAbĂźmeEn chute libreAmertumeTic-tacLe framboisierUn mauvais pressentimentÉpiloguePage de copyrightSyndromeLes stores poussiĂ©reux De faibles rayons lumineux traversent les stores et Ă©clairent la piĂšce d’une douce lueur matinale. Des piles de papiers, magazines, photos et brochures, jonchent le sol dans un vĂ©ritable dĂ©sordre. Quelques vĂȘtements sales, comme des chaussettes et une paire de jeans dĂ©lavĂ©e, traĂźnent Ă©galement ici et lĂ , comme si rien n’avait de place. Les murs, un peu trop blancs, sont recouverts par quelques peintures et affiches de festivals littĂ©raires qui dissimulent maladroitement le papier qui se dĂ©colle Ă  bien des endroits. Sur la table de chevet trĂŽnent un rĂ©veil holographique et un volume impressionnant intitulĂ© L’art de l’écriture sur lequel est posĂ©e une paire de lunettes. Dans le lit deux places aux draps chamboulĂ©s, un homme encore sur le ventre vient de se rĂ©veiller William. Dos nu, l’une de ses mains dĂ©passe des couvertures. Il a la tĂȘte enfoncĂ©e dans l’oreiller et le souffle court. Il est encore abasourdi par son rĂȘve, ou son cauchemar, il ne sait pas trop comment le dĂ©finir. Dans quelques minutes il ne s’en souviendra dĂ©jĂ  plus. Il amĂšne sa main jusqu’à son visage pour se frotter les yeux, puis se retourne avec des gestes lents. Il n’a pas envie de se lever, pas aujourd’hui
 Il plisse les yeux, s’acclimate Ă  la lumiĂšre. VĂȘtu du mĂȘme caleçon depuis deux jours, il s’assoit sur le bord du lit en soupirant. Un coup d’Ɠil au rĂ©veil 13 heures. Depuis quelque temps, il se force Ă  veiller tard la nuit, les yeux grands ouverts devant une Ă©ternelle page blanche. Il vit en dĂ©calage avec le monde sans vraiment en avoir conscience. L’inspiration n’a pas d’heure, se dit-il toujours. Ça fait d’ailleurs longtemps qu’il n’a pas fait une nuit complĂšte et sereine avec des horaires rĂ©guliers. Il en aurait sans doute besoin. Ce soir, peut-ĂȘtre. Les cheveux encore en bataille et mal rasĂ©, il finit par se lever avec regret pour rejoindre le sĂ©jour d’un pas nonchalant. Son petit studio parisien est assez sobre, dĂ©sagrĂ©ablement simpliste, presque aseptisĂ©. L’homme, encore endormi, se traĂźne pĂ©niblement jusqu’à son rĂ©pondeur. Vous avez 4 nouveaux messages
 Bip
 Il se dirige ensuite derriĂšre le bar et verse avec lassitude le contenu d’une cafetiĂšre de la veille dans une tasse mal lavĂ©e. Monsieur Dessains, la sociĂ©tĂ© Libre Écrit a Ă©tudiĂ© votre manuscrit. MalgrĂ© les nombreuses qualitĂ©s qu’il prĂ©sente, nous avons le regret de vous annoncer que nous ne souhaitons pas donner suite Ă  votre projet
 Il se laisse tomber mollement sur le canapĂ© et il allume la tĂ©lĂ©vision. D’un Ɠil vitreux, il fixe la premiĂšre chaĂźne sur laquelle il tombe, c’est un dessin animĂ©. Bip
 Bip
 AllĂŽ ? AllĂŽ, Monsieur Dessains, allĂŽ ? Bip
 Bip
 Notre comitĂ© de lecture est en train d’étudier votre manuscrit. Nous vous recontacterons ultĂ©rieurement
 L’homme porte Ă  ses lĂšvres son cafĂ©, il grimace tandis que le liquide froid lui coule dans la gorge. Bip
 William, c’est GaĂ«l ! J’espĂšre que t’es debout parce que j’arrive dans dix minutes, le temps de prendre ma bagnole ! T’as intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre en forme pour ce soir, ça va ĂȘtre la folie, tu vas pas le regretter. Et bon anniversaire frangin ! William s’étouffe brusquement et manque de tout renverser. Quelques gouttes de son cafĂ© Ă©claboussent le plancher au moment oĂč le tintement de la sonnette d’entrĂ©e se fait entendre. Merde ! Il traĂźne les pieds jusqu’à la porte. Un beau mec, la petite trentaine, l’accueille avec un sourire un peu forcĂ©, laissant entrevoir toutes ses dents blanches. On dirait un putain de commercial. − Comment tu vas, frangin ? Il le serre un peu trop fort dans ses bras. William a envie de l’étrangler, lui et sa chemise bleue Ă©clatante, toute propre, et trop bien repassĂ©e. GaĂ«l est son frĂšre aĂźnĂ©. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre fils unique, mais il Ă©tait lĂ  et fallait faire avec. Ça fait plusieurs dĂ©cennies maintenant qu’il le supporte, qu’il doit se taper des dĂźners de famille avec Monsieur Parfait, et Ă©couter ses exploits d’infirmier avec, en prime, les Ă©loges de papa et maman. Qu’il est merveilleux, charmant, Ă©lĂ©gant, et ci, et ça. Ils auraient dĂ» se limiter Ă  un seul gamin ces deux-lĂ . Ça aurait au moins Ă©vitĂ© Ă  William d’ĂȘtre aussi dĂ©sagrĂ©able avec eux, et de devoir entendre Ă  tout bout de champ Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi ? ». Bah rien, justement, ils pouvaient le laisser lĂ . Il s’en sortait trĂšs bien tout seul. − T’es un peu pĂąle, ça va pas ? Tu viens de te lever ou quoi ? − Et alors ? GaĂ«l pĂ©nĂštre chez lui sans prendre la peine d’échanger les banalitĂ©s d’usage, il jette un rapide coup d’Ɠil au sĂ©jour. Son regard reste figĂ© sur quelque chose. IntriguĂ©, il s’approche des cartes de visite intactes de son frĂšre prĂšs du rĂ©pondeur. Il en saisit une, puis la repose avec un petit sourire moqueur. − Ça avance ? − Oui. − C’est vrai ? − Oui. − J’espĂšre que t’as un peu plus de vocabulaire sur papier, sinon ça va faire court pour un roman, dit-il en dĂ©voilant son sourire Ă©clatant. Leur dentiste avait un jour dit Ă  maman que son fils devrait faire des publicitĂ©s pour du dentifrice. Il avait probablement dĂ» dire ça sur un ton blagueur, que sa mĂšre avait pris trop au sĂ©rieux. Elle l’avait fait courir les castings pendant un temps, mais ça n’avait pas marchĂ©. Depuis, GaĂ«l avait gardĂ© cette sale habitude, ce sourire forcĂ© qui avait fini par devenir le sien. Ça donnait envie Ă  William de l’étriper. − Ce soir, 20 heures, au Cuba Club. J’ai rĂ©servĂ© ! − Pas question ! − Ce serait con, j’ai invitĂ© toute la smala. En plus, c’est ton anniversaire, donc t’as plutĂŽt intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre lĂ  ! Allez, Ă  ce soir. Putain. La porte claque. S’il savait Ă  quel point il a envie de lui faire bouffer son satanĂ© sourire ! Voir des gens, sortir, c’est bien les derniĂšres choses dont il a envie. Ce qu’il veut, c’est s’isoler, penser, et l’inspiration finira bien par se manifester. Ce dont il a besoin, c’est d’une bonne idĂ©e. Et Ă©crire deux cents pages sur le sourire Ă©clatant de son frĂšre, non seulement ça ne l’inspire pas du tout, mais en plus ça ne va pas faire dĂ©coller sa carriĂšre. William se sert un nouveau cafĂ© qui lui reste en travers de la gorge. Il devrait faire attention, il va finir par faire de la tachycardie Ă  ce rythme-lĂ . Il ouvre les stores recouverts de poussiĂšre, et laisse entrer la lumiĂšre du jour dans son salon. Il reste lĂ  un moment, dans le vague, les yeux encore mi-clos, Ă  observer les particules de poussiĂšre danser au travers des rayons lumineux. Il aimerait bien pouvoir flotter, lui aussi. Ce serait comme ĂȘtre hors du temps, hors du monde. Son regard s’arrĂȘte sur son bureau et son tas de paperasse. C’est son petit univers Ă  lui, ses bouquins, ses notes, ses photos, ses idĂ©es, et c’est dans cet univers lĂ  qu’il se sent le mieux. William s’y installe et commence Ă  Ă©crire frĂ©nĂ©tiquement sur un carnet, semblant rĂ©pondre Ă  un appel soudain l’inspiration. Brrr. Brrr. C’est son tĂ©lĂ©phone portable. Il le cherche du regard, soulĂšve ses carnets et son tas d’histoires pĂ©rimĂ©es qu’il ne publiera jamais. Nouvelle notification. William ouvre une application, il vient de matcher avec une superbe brune. Encore une idĂ©e brillante de son frĂšre de l’avoir inscrit sur ce truc qu’il n’utilise jamais. Il fait dĂ©filer quelques photos de son profil lĂšvres pulpeuses, dĂ©colletĂ© Ă©vident, et un regard entre la mignonnerie et la coquinerie. Bref, une femme demandeuse d’aventures. Nouvelle notification. Sa brune vient justement de lui envoyer un message. William l’ouvre. Si tu veux baiser, clique sur ce lien
 Avec un soupir, il laisse tomber son portable sur le sol. Application Ă  la con ! Jamais il ne fera confiance Ă  ces rĂ©seaux et Ă  toutes ces plateformes de rencontres basĂ©es sur des algorithmes pourraves. Ce n’est pas pour lui. William a besoin de contact, de regards, il a besoin de ressentir. Au contraire, la technologie le dĂ©shumanise, le prive de toutes ces sensations dont il a besoin pour vivre et pour Ă©crire. Il est peut-ĂȘtre vieux jeu, mais c’est comme ça. De toute façon il n’a pas besoin de rencontres en ce moment. Il veut juste une idĂ©e assez brillante pour Ă©crire un nouveau roman, et ce n’est pas cette application qui va la lui donner. Il jette un coup d’Ɠil furtif derriĂšre lui pour vĂ©rifier l’heure indiquĂ©e par son horloge Cuba Club MĂ©tro, boulot, dodo. Pas Ă©tonnant que tous les Parisiens tirent la gueule. Se lever le matin en titubant, avaler son cafĂ© et son croissant en se rasant, embrasser vite fait sa femme, aller bosser dans un bocal Ă  poissons, se faire charrier par ses collĂšgues, se faire discrĂ©diter par son patron, rentrer avec des cernes sous les yeux, devoir remonter les cinq Ă©tages de son immeuble sans ascenseur, entendre ses mĂŽmes brailler, devoir gĂ©rer la crise existentielle des femmes du XXIe siĂšcle et surtout de la sienne, aller se coucher sans faire de folies, penser Ă  la tromper, et finalement oublier son rĂ©veil pour tout recommencer. Dire que ce mec, ça aurait pu ĂȘtre toi. Peu importe si les gens pensent que c’est un ratĂ©, William n’échangerait sa vie contre la leur pour rien au monde, et il ne s’en inspirerait pas non plus pour ses Ă©crits. C’est le rĂ©el qui l’intĂ©resse, mais le rĂ©el dans sa beautĂ© pure, son inconstance, son humanitĂ©. Son roman ne peut pas raconter une vulgaire histoire, il doit avoir quelque chose de plus, quelque chose d’un ordinaire extraordinaire. Si seulement c’était possible. Il se masse le crĂąne tout en fronçant les sourcils. Peut-ĂȘtre que ça lui ferait du bien de sortir, finalement. Ça fait plusieurs jours qu’il est chez lui Ă  se prendre la tĂȘte comme ça, assis Ă  son bureau, Ă  refaire le monde. MalgrĂ© ses efforts, son idĂ©e salvatrice ne vient pas. William descend du mĂ©tro et remonte l’allĂ©e d’une marche solitaire, les mains au fond de ses poches. Il va falloir y aller. Ce n’est qu’une soirĂ©e, ça va passer vite, se rĂ©pĂšte-t-il. Demain, il sera de nouveau devant sa page blanche Ă  s’inventer une nouvelle aventure, un Nouveau Monde. C’est juste pour une soirĂ©e. La devanture du club lui fait mal aux yeux, comme si toutes ces couleurs fluorescentes lui explosaient Ă  la figure en mĂȘme temps. VoilĂ  ce que ça fait de passer son temps enfermĂ© dans le noir. Des gens branchĂ©s fument des clopes Ă  l’extĂ©rieur. Sans surprise, ils sont exactement comme il les a imaginĂ©s. William les dĂ©passe sans les regarder. Il fronce les sourcils face Ă  l’interrogation du videur − Votre nom ? − William
 Dessains. Il secoue la tĂȘte − Vous n’ĂȘtes pas sur la liste, dĂ©solĂ©. − Quoi ? − C’est une soirĂ©e privĂ©e. − Hey, hey, hey ! William ! Mon frĂšre ! GaĂ«l fait finalement son apparition au bon moment. Il enlace le videur avec un verre Ă  la main. − Tout doux Bijou, c’est lui la star de la fĂȘte. − Excusez-moi, monsieur, je n’ai pas Ă©tĂ© prĂ©venu ! − T’inquiĂšte ! Allez, amĂšne-toi ! GaĂ«l agrippe son frĂšre par le cou et l’embrasse sur la joue en riant − Tu sais que j’ai grave flippĂ© ! J’étais pas sĂ»r que tu viennes
 Son haleine empeste un mĂ©lange nausĂ©abond de biĂšre et de rhum. William recule, il a l’impression qu’il se tient Ă  lui pour ne pas tomber. Visiblement, il n’a pas Ă©tĂ© conviĂ© Ă  ce dĂ©but de soirĂ©e. − Alors je t’explique, c’est open-bar toute la nuit ! J’ai nĂ©gociĂ©. Et tout ça, lĂ , dit-il en montrant les clients du bar, bah c’est mes potes. J’ai tout privatisĂ© juste pour toi frangin
 ça te fait pas plaisir ? Super. Une soirĂ©e branchouille avec les potes de son frĂšre et un karaokĂ© gĂ©ant. William fait la grimace, mais apparemment GaĂ«l ne le remarque pas. Ou alors il n’en a rien Ă  faire, ce qui est plutĂŽt son genre. − Mettez-nous deux shots ! Le barman Ă  la barbe de hipster et aux tatouages de gros dur s’exĂ©cute. GaĂ«l engloutit d’une traite, tandis que William le boit plus lentement. L’alcool lui brĂ»le la gorge. Il se sent mal Ă  l’aise et voudrait rentrer chez lui pour s’asseoir Ă  son bureau et Ă©crire dans le silence le plus total. − Sweetie! Son frangin agrippe une blonde par le bras, elle se retourne vers eux avec un sourire dĂ©mesurĂ©. À croire qu’ils ont tous ce mĂȘme putain de sourire, comme des clones. Il faut faire gaffe, William ne veut pas ĂȘtre contaminĂ©. − Je t’ai jamais prĂ©sentĂ© ! Mon frĂšre, Will, Victoria ! Tu vas voir, il est un peu timide, mais c’est un super mec. Tu pourras pas me dire que je ne te les prĂ©sente pas, allez ! Il s’éclipse en lui laissant, en guise d’encouragement, une petite tape sur l’épaule. Merci. La blonde aux yeux de biche le fixe en papillonnant des cils. Elle porte une robe vulgaire Ă  strass et ses yeux sont tellement grands qu’on dirait qu’ils coulent sur ses joues. William ne sait plus oĂč se mettre. Il a envie que le sol l’aspire et l’engloutisse Ă  tout jamais. − C’est toi l’écrivain ? demande-t-elle avec un accent bizarre. − Faut croire. Elle se met Ă  pouffer niaisement. William dĂ©tourne le regard. GaĂ«l est en train de faire son show, il parle fort et rit avec tout le monde, aussi Ă  l’aise qu’un poisson dans l’eau. C’est sa soirĂ©e, pas la sienne. C’est sympa de m’avoir conviĂ©. William balaye le club du regard. Entre les projecteurs aveuglants et les tables froides en alu, il ne connaĂźt personne. Il en a peut-ĂȘtre croisĂ© quelques-uns par-ci par-lĂ , mais personne qui lui inspire rĂ©ellement de la sympathie. Hormis son frĂšre, bien sĂ»r, avec lequel il est un peu contraint de cohabiter. Au fond, ce qu’ils partagent, ce n’est rien de plus que les liens du sang. Il a toujours eu tendance Ă  s’enfoncer dans des conflits relationnels son frĂšre, les femmes, les Ă©diteurs, mais surtout sa mĂšre. Elle et son pĂšre ont toujours refusĂ© sa vocation d’artiste, son dĂ©sir de devenir Ă©crivain. Ils pensent que leur fils n’a aucun talent, qu’il est, pour les citer un rĂȘveur et un bon Ă  rien ». AprĂšs l’universitĂ© il a pris son appartement et s’est mis Ă  Ă©crire. Depuis, il n’a publiĂ© qu’un misĂ©rable recueil de nouvelles qui ne lui rapporte rien. Les rares repas de famille, auxquels il est conviĂ© avec son frĂšre, sont pour le moins tendus. On ne cesse de lui demander si ses Ă©crits avancent, et la rĂ©ponse est toujours la mĂȘme. Sauf que les annĂ©es passent
 − Tu bois quoi ? Il l’a presque oubliĂ©e, celle-lĂ  ! William lui montre son verre encore plein. Elle commande deux shots de plus, comme s’il en avait besoin. Il aurait pu faire un effort sur la tenue. C’est vrai, au moins mettre une chemise propre et repassĂ©e comme son frangin. Ils auraient eu l’air presque pareils comme ça. C’est leur mĂšre qui aurait Ă©tĂ© fiĂšre. Soudain, les lumiĂšres dĂ©croissent, l’ambiance se tamise, la musique s’arrĂȘte. GaĂ«l fait son intĂ©ressant au milieu de la foule, il a un micro Ă  la main. La blonde Ă  cĂŽtĂ© de lui, dont il a dĂ©jĂ  oubliĂ© le nom, siffle. William la dĂ©visage furtivement, elle a l’air d’avoir chaud, il a l’impression qu’elle transpire. Son verre est dĂ©jĂ  vide. − Je voulais juste vous dire merci d’ĂȘtre lĂ  ce soir. C’est vraiment merveilleux qu’on soit tous ensemble Ă  nouveau, ça n’a pas Ă©tĂ© sans mal. J’espĂšre que vous allez passer une bonne soirĂ©e, et je voulais passer un message tout spĂ©cial Ă  mon frangin Joyeux anniversaire tĂȘte de nƓud ! C’est William, le mec lĂ -bas au bar. Et la blonde Victoria, vous fatiguez pas, il est dĂ©jĂ  dessus. Les gens tournent la tĂȘte vers eux et se mettent Ă  rire. William est mort de honte, il regrette dĂ©jĂ  d’ĂȘtre venu. Il serait mieux chez lui, loin de tout et loin du monde. − On a mis en place un super karaokĂ©. Donc, ceux qui veulent en profiter, c’est maintenant ! La musique redĂ©marre, un Ă©cran gĂ©ant s’allume et affiche un clip sous-titrĂ©. GaĂ«l commence Ă  chanter et tout le monde se rapproche pour voir la star faire son show. MisĂšre. C’est exactement le genre de soirĂ©e qu’il redoute et qu’il dĂ©teste par-dessus tout. − Tu viens ? lui demande la prĂ©tendue Victoria William secoue la tĂȘte. Déçue, elle s’éloigne. Il en profite lui aussi pour s’éclipser sans mĂȘme avoir touchĂ© Ă  son verre. L’air frais qui vient lui chatouiller le visage lui fait du bien. Il respire enfin ! La nuit vient juste de tomber. William regarde les lumiĂšres de la ville et les gens pressĂ©s dans la rue. La nuit est bien plus propice Ă  l’imagination. Il laisse s’égarer plus librement son esprit et se demande s’il ne va pas rentrer. GaĂ«l ne s’en apercevra mĂȘme pas. Son regard s’arrĂȘte sur une femme Ă  un mĂštre de lui Ă  peine. Il la fixe quelques instants avant de la distinguer rĂ©ellement. Sa silhouette semble se dĂ©tacher de l’obscuritĂ©. Elle fume tout en tapotant sur son tĂ©lĂ©phone portable. Se sentant observĂ©e, elle relĂšve briĂšvement la tĂȘte vers lui, esquisse un sourire, du bout des lĂšvres, qu’il ne peut que deviner. − Vous fumez ? lui demande-t-elle comme si elle voulait qu’il se joigne Ă  elle. − Non, merci. William n’a jamais vraiment eu de chance avec les femmes trop amoureux, trop sensible. Il s’attache trop rapidement Ă  celles qu’il rencontre et qui, bien souvent, ne cherchent pas une relation sĂ©rieuse. Elles finissent par le laisser avec ses idĂ©es noires et son cƓur brisĂ©. Le point positif, c’est que ça l’aide Ă  Ă©crire, mĂȘme si les Ă©diteurs ne se bousculent pas pour ses rĂ©cits larmoyants. Partager la vie d’un Ă©crivain ratĂ© n’est pas si facile. Il faut supporter ses plaintes et ses angoisses, apprendre Ă  Ă©couter ses histoires les plus futiles, et se forcer Ă  gober ses rĂ©flexions philosophiques et barbantes sur le sens de la vie. C’est cette image-lĂ  que les quelques femmes qui ont partagĂ© la vie de William gardent de lui. Il a dĂ©sormais abandonnĂ© l’idĂ©e de rencontrer quelqu’un. La solitude, de toute façon, c’est essentiel pour bien Ă©crire. GĂȘnĂ© par son regard, William dĂ©tourne maladroitement les yeux. Elle Ă©crase sa cigarette du bout de son talon, et entre dans le club. Il reste plantĂ© lĂ , songeur. AprĂšs quelques instants Ă  se demander s’il ferait mieux de rester ou de partir, il retrouve sa place au bar, oĂč son verre attend toujours son propriĂ©taire. Elle est lĂ , Ă  quelques mĂštres de lui. Il l’observe du coin de l’Ɠil. Elle a l’air d’un ange. Comme si elle baignait dans une Ă©trange lumiĂšre divine, le reste autour d’elle n’est qu’une masse floutĂ©e comme un arriĂšre-plan de cinĂ©ma. Elle a un grain de beautĂ© au coin de la bouche, des lĂšvres roses et charnues, et des petites rides aux coins des yeux quand elle sourit. Elle embrasse amicalement GaĂ«l. Ils se connaissent, sans doute. Il croise son regard Ă  nouveau, et il a l’impression que c’est elle qui en est Ă  l’origine. ArrĂȘte avec tes histoires, c’est comme d’habitude, c’est dans ta tĂȘte tout ça, se dit-il. Pourtant, il a l’impression que quelque chose l’attire vers elle, quelque chose d’inexplicable qui se produit peu souvent dans une vie. − Un rhum s’il vous plaĂźt ! Le serveur lui sert un nouveau verre tandis que William sort un carnet de sa poche. Il en a toujours un sur lui, au cas oĂč une idĂ©e lumineuse lui traverserait l’esprit. C’est justement le cas. Le hipster, intriguĂ©, l’observe Ă©crire avec ambition. William jette un nouveau coup d’Ɠil Ă  cette femme qui l’intrigue et le passionne sans qu’il puisse expliquer pourquoi. Elle prend le micro et se met Ă  chanter un hit, frĂ©nĂ©tiquement. Il lĂąche ses Ă©crits, hypnotisĂ©, et la regarde jusqu’à la fin de la chanson. DĂ©cidĂ©ment, elle a quelque chose. − Elle a de l’aplomb, cette nana ! William se retourne vers le barman. Visiblement, il n’est pas le seul Ă  ne pas ĂȘtre indiffĂ©rent. Les gens du club l’applaudissent, mais elle se cache, intimidĂ©e. GaĂ«l vient l’enlacer. Ils ont mĂȘme l’air plutĂŽt proches. William commande un autre rhum et se replonge dans ses Ă©crits. Les clubbeurs finissent par se lasser du karaokĂ©, tout le monde se retrouve au centre pour se trĂ©mousser sur un rythme aussi assourdissant que dĂ©sagrĂ©able. William continue de les observer discrĂštement de loin. Son frĂšre, ivre, a l’air de s’amuser comme un fou. Les gens dansent, rient, et parlent un peu trop fort. MĂȘme le barman semble un peu pompette Ă  force de siroter les fonds de verres. Ils ont dĂ©jĂ  oubliĂ© que William est lĂ . Lui, il commence Ă  avoir mal Ă  la tĂȘte. MĂȘme si ce n’est jamais agrĂ©able, il a l’habitude de faire des migraines Ă  rĂ©pĂ©tition, surtout quand il dort mal et qu’il baigne en pleine pĂ©riode crĂ©ative, comme en ce moment. Il est peut-ĂȘtre temps de rentrer. William a arrĂȘtĂ© de compter les verres. L’ivresse le gagne doucement, et il se laisse sombrer avec l’agrĂ©able sensation de tenir quelque chose d’important pour ses Ă©crits. Il est ailleurs, comme transplantĂ© dans un monde fictif qui n’appartient qu’à lui. Plus rien n’existe Ă  part son univers, et elle, enchanteresse, sur la piste de danse. Leurs regards se croisent. Elle sent qu’il l’observe depuis un bon moment. Il ne sait pas pourquoi, mais son cƓur cogne fort dans sa poitrine et ses mains sont moites. William les essuie sur son jeans. T’as vraiment trop picolĂ©. Il finit son verre cul sec et le fait claquer sur le bar comme un ivrogne qui redemanderait sa gnĂŽle, puis se retourne pour partir. Sauf qu’elle est lĂ , face Ă  lui, prĂšs du comptoir. Son cƓur fait un drĂŽle de bond dans sa poitrine, il se sent dĂ©faillir. Elle lui sourit. − Vous partez dĂ©jĂ  ? − Oui
 − Vous buvez quoi ? − La mĂȘme chose que vous. − Deux Margaritas ! Le barman s’exĂ©cute. Elle lui tend la main. William est tĂ©tanisĂ©. − Clarisse, enchantĂ©e. − William
 − Ah ! Mais c’est vous l’écrivain alors ? Le frĂšre de GaĂ«l ? Il hoche la tĂȘte. Elle grimace tout en buvant son verre Ă  la paille et lui chuchote − Il est super fort. Je pense qu’il commence Ă  exagĂ©rer sur les doses. William lui sourit comme un idiot, il n’arrive plus Ă  rĂ©flĂ©chir ni Ă  parler, comme si elle le privait de ses capacitĂ©s, des fonctions de ses membres, et qu’elle l’aspirait tout entier. Il y a en elle quelque chose de surnaturel, quelque chose dont il ne peut pas se dĂ©tacher. − Tu fais quoi ? lui demande-t-elle en dĂ©signant le carnet de notes qu’il a toujours dans les mains. Il se ressaisit et le range prĂ©cipitamment. − Oh ! C’est rien, je
 j’écrivais des choses, comme ça ! − Des choses ? Ah pardon, c’est peut-ĂȘtre indiscret ! − Un peu, oui
 Elle lui sourit timidement. T’es con. William sent son pied contre le sien, Ă  croire qu’elle cherche son contact. Elle est encore plus belle de prĂšs, ses yeux sont si pĂ©tillants qu’ils l’enivrent davantage. Il ne se rend pas compte de son regard trop insistant, et de sa façon de la dĂ©visager. Il espĂšre qu’elle ne s’en est pas aperçue, ou que ça ne la gĂȘne pas trop. Ils boivent plusieurs verres sans trop parler. Ils restent simplement lĂ , face Ă  face, Ă  s’observer, comme dans une bulle hors du temps, ou comme dans un rĂȘve. William se demande d’ailleurs si tout ça est vrai. Peut-ĂȘtre que quelqu’un va venir le secouer, et qu’il se rĂ©veillera, lĂ , avachi sur le comptoir ? Il a envie de la toucher, de caresser son visage, d’effleurer ses lĂšvres et son grain de beautĂ©. Sa tĂȘte tourne un peu plus encore. En fait, tout commence Ă  tourner. Il a mĂȘme l’impression que leurs visages se rapprochent dangereusement. Il ne voit plus que ses lĂšvres roses et sensuelles, irrĂ©sistiblement attirantes, il a envie de les goĂ»ter, de les effleurer juste une seconde, juste pour voir
 − On rentre ? On ? Il la regarde d’un drĂŽle d’air, ça la fait rire. − Sauf si ça te pose un problĂšme. Non. Le dĂ©cor du bar tourne tout autour de lui, William dĂ©colle difficilement ses fesses de son siĂšge. Il a l’impression qu’il ne marche pas trĂšs droit. Peut-ĂȘtre l’aide-t-elle Ă  se tenir debout ? Il ne sait pas vraiment, mais, en tout cas, elle l’accompagne dehors. Il se laisse tomber sur le trottoir en riant. − C’est quoi ton prĂ©nom dĂ©jĂ  ? − Clarisse. − Clarisse. T’es sans doute la plus belle femme que j’ai vue de toute ma vie. Elle se met Ă  rire comme si c’était la chose la plus drĂŽle du monde. ArrĂȘte, lĂ  t’es vraiment lourd. Un taxi vient les chercher devant le club. Ils montent dedans sans Ă©changer un mot, comme si la gĂȘne commençait Ă  les gagner, enfin, surtout lui. William ne sait jamais trop quoi dire, il a toujours peur que ses mots soient mal interprĂ©tĂ©s ou jugĂ©s trop rapidement. Il faut faire attention avec les mots, ça peut trĂšs vite ĂȘtre blessant ou, au contraire, enjoliver les choses. C’est pour ça qu’en gĂ©nĂ©ral il parlait peu. C’est plus simple d’écouter les autres. Écrire a toujours Ă©tĂ© plus facile pour lui, parce qu’on a droit Ă  un temps de rĂ©flexion avant de coucher les mots sur le papier. Dans ces moments-lĂ , il prĂ©fĂšre se taire et se laisser envahir par ses Ă©motions, pour mieux les sentir enflammer son Être. Il a l’impression que Clarisse fait de mĂȘme, ou peut-ĂȘtre qu’elle n’a simplement rien Ă  dire. Ils se retrouvent tous les deux en bas de son immeuble. Il commence Ă  avoir la gorge un peu sĂšche. Une lĂ©gĂšre brise vient caresser les cheveux de Clarisse. Elle est belle, et tellement plus Ă  la fois. Son visage brille d’une Ă©trange lumiĂšre, comme si quelque chose Ă©manait d’elle. − Tu m’invites pas chez toi ? − Tu aimes le vin ? Je t’invite Ă  monter uniquement si tu acceptes un verre
 − Tu cherches Ă  me saouler ? lui lance-t-elle avec un sourire. − Tu aimes le rouge ? − Oui, Monsieur ! Elle le fait rire malgrĂ© lui. Ses yeux pĂ©tillent d’un mĂ©lange de malice et d’effronterie. Ça lui donne un air enfantin. Il a envie de croquer ses joues rosĂ©es comme il le ferait dans une pomme sucrĂ©e. Ils montent les Ă©tages jusqu’à sa porte. William n’arrive pas Ă  faire tourner la clef dans la serrure. Il en essaie plusieurs avant de commencer Ă  s’énerver. Clarisse n’a pas l’air de s’inquiĂ©ter ni de le prendre pour un idiot. C’est dĂ©jĂ  ça. Lorsqu’il parvient enfin Ă  ouvrir la porte de son appartement, elle le fĂ©licite ironiquement. − Fais comme chez toi, dit-il. William se dirige vers la cuisine pour aller dĂ©boucher une bouteille et lui jette discrĂštement un coup d’Ɠil. Clarisse se tient en retrait, Ă  la fois craintive et hypnotisĂ©e par son univers. Elle observe le sĂ©jour autour d’elle en dĂ©taillant chaque petit objet qui traĂźne ici et lĂ . Son antre est un peu Ă  l’image de son imaginaire un grand brouillon, un beau bordel avec tout et n’importe quoi, ce qui a visiblement quelque chose de fascinant. C’est sa grotte, et en gĂ©nĂ©ral il n’aime pas trop que les gens s’y aventurent. C’est comme s’ils venaient le perturber dans son espace vital, lui voler son oxygĂšne. Clarisse, elle, ne le dĂ©range pas. Ça lui fait presque plaisir de la laisser voir son petit monde. Il n’a pas peur de son regard. Il la sent bienveillante, comme s’il avait dĂ©jĂ  confiance en elle. William lui tend une coupe, ils trinquent en se dĂ©vorant des yeux, du moins il en a l’impression. Il est un peu stressĂ©. Ça fait longtemps qu’une femme n’est pas montĂ©e chez lui. Ils se posent dans le canapĂ©, leur verre Ă  la main. Elle fait tourner une goutte de vin sur le bord du verre du bout de son doigt. Il l’observe, les yeux brillants. − Pourquoi tu me dĂ©visages comme ça ? − Je ne sais pas. Elle relĂšve les yeux vers lui et les plonge dans les siens. Il sent son corps dĂ©faillir, comme si toutes ses forces l’abandonnaient d’un seul coup. Elle se rapproche de lui pour le dĂ©visager de plus prĂšs. Soudain, Clarisse prend sa tĂȘte entre ses mains, comme pour dĂ©tailler chaque centimĂštre de son visage. Elle passe dĂ©licatement ses doigts sur ses sourcils, ses yeux, son nez, ses lĂšvres
 William la laisse faire sans rien dire. Il a l’impression d’ĂȘtre analysĂ© par une entitĂ© divine. Ses lĂšvres sont Ă  quelques centimĂštres des siennes, il peut sentir son souffle jusque dans ses narines. Son cƓur bat plus vite qu’il ne le voudrait. Il a envie de l’embrasser, mais son corps est tĂ©tanisĂ©. Il n’arrive pas Ă  bouger, ni mĂȘme Ă  ciller. Clarisse rapproche alors ses lĂšvres des siennes, elle les effleure seulement, briĂšvement. William n’ose plus respirer. Il frissonne. Puis, elle le relĂąche pour attraper son verre de vin rouge et y tremper Ă  nouveau ses lĂšvres. Il reste un moment troublĂ© par cet Ă©change, ne sachant comment rĂ©agir. Sans s’en rendre compte, William passe sa langue sur ses lĂšvres, comme pour retenir la brĂšve douceur qu’elle lui a accordĂ©e. − Je suis un peu fatiguĂ©e, je crois. − Tu peux dormir ici si tu veux, je prendrais le canapĂ© − Non, je peux dormir avec toi. Il acquiesce. Son cƓur ne veut pas se calmer. Il espĂšre qu’elle ne l’entend pas rĂ©sonner trop fort. William lui montre sa chambre qu’elle dĂ©taille de la mĂȘme façon que le sĂ©jour. Peut-ĂȘtre est-ce sa façon Ă  elle de s’acclimater Ă  un nouvel environnement ? Elle s’assoit sur le lit et se met Ă  caresser les draps. − T’es sĂ»r que ça ne t’embĂȘte pas ? Je n’aime pas dormir seule. Je ne sais pas pourquoi, mais dĂšs que je me retrouve seule pour me coucher, je commence Ă  paniquer. La peur du nĂ©ant
 Tu vois ? William la rassure, il a envie de la prendre dans ses bras. Clarisse s’allonge habillĂ©e sur le lit, il l’imite. Dans le noir, ils fixent le plafond. Puis elle lui tourne le dos. Lui n’a pas sommeil, il est trop chamboulĂ© pour penser Ă  dormir. Il reste un long moment Ă  la contempler et, elle, Ă  garder les yeux ouverts et Ă  sentir son regard. Il pense Ă  ce qu’il aurait dĂ» dire, ce qu’il aurait dĂ» faire avant qu’elle ne s’endorme. Maintenant, c’est trop tard. William finit par se retourner, Ă  l’opposĂ© d’elle. Leurs dos se touchent presque. Ils restent lĂ , Ă  Ă©couter leurs respirations et leurs cƓurs battre un peu trop vite dans leurs poitrines un peu trop serrĂ©es, jusqu’à ce que le sommeil les emporte tous les perturbateur Les paupiĂšres encore lourdes, William ouvre les yeux. Merde ! Il a mal au crĂąne. Il prend sa tĂȘte entre ses mains, ses pupilles s’acclimatent peu Ă  peu Ă  la lumiĂšre du jour, trop vive Ă  son goĂ»t. À son grand Ă©tonnement, il est devant ses Ă©crits, avachi sur son bureau, le stylo Ă  la main. Il s’est certainement levĂ© dans la nuit, trop perturbĂ© pour dormir, et s’est mis Ă  Ă©crire avant de tomber de fatigue. Pourtant, il ne s’en rappelle pas. Preuve qu’il a beaucoup trop bu hier soir. L’appartement est silencieux, rien ne bouge. Une bouteille de vin rouge traĂźne sur la table, elle est vide. William se relĂšve un peu trop vite, sa tĂȘte se met subitement Ă  tourner. Bien fait pour toi. Il se dirige jusqu’à la salle de bains pour prendre un antalgique. En l’avalant, il se dĂ©visage dans le miroir. Il a vraiment une sale tĂȘte, spĂ©cialement aujourd’hui lendemain de cuite. Comment a-t-il rĂ©ussi Ă  ramener Clarisse chez lui avec cette gueule-lĂ  ? Clarisse ! William se prĂ©cipite dans la chambre. Vide. Partie. Soudain, une vague d’angoisse l’envahit. Une boule se forme au creux de sa gorge, comme s’il allait se mettre Ă  pleurer. Ça lui fait mal. Tu croyais quoi ? Qu’elle allait chercher les croissants et le cafĂ© en attendant que tu te rĂ©veilles ? RatĂ©. En plus, il n’a pas son numĂ©ro. Rien d’autre que son prĂ©nom. La couverture est relevĂ©e, et la trace de Clarisse est encore visible sur le drap. William s’en approche et passe dĂ©licatement sa main dessus, comme s’il voulait caresser la douceur de sa peau et sentir Ă  nouveau son contact. Il y a encore son odeur, il peut la sentir. William s’allonge sur la place oĂč elle a dormi. Quelques heures auparavant, elle Ă©tait encore lĂ . Peut-ĂȘtre qu’elle a des choses de prĂ©vues aujourd’hui, un rendez-vous important
 Elle va peut-ĂȘtre revenir, frapper Ă  sa porte dans quelques minutes. Il lui ouvrirait et elle lui sourirait, l’inonderait de cette lueur qui illumine son visage tout entier. ArrĂȘte, t’es pas dans un de tes bouquins
 William se relĂšve subitement et passe sa main d’un coup sec et bref sur les draps pour enlever la trace de Clarisse, comme si elle n’était jamais venue. Il a soudain l’impression d’étouffer. Une vague de chaleur lui traverse le corps tout entier, une sensation dĂ©sagrĂ©able qui lui est inconnue. Sans doute un effet de la gueule de bois. Alors je sais que ça ne se voit pas quand je suis sur scĂšne, mais je mesure 1,59 m. Sur ma piĂšce d’identitĂ©, j’ai fait marquer "1,60 m". Je n’assume pas le 1,59 m, j’ai l’impression d’ĂȘtre un paquet de chips Ă  1,99 € ! Lorsque vous ĂȘtes en couple vous avez tendance Ă  attendre de votre partenaire que ce dernier ou cette derniĂšre effectue certains gestes tendres envers vous, pour vous faire plaisir. Il s’agit d’une rĂ©action tout Ă  fait logique quand vous vivez une relation amoureuse nĂ©anmoins cela doit se faire dans les deux sens. Les gestes d’amour sont trĂšs importants et ne doivent pas se faire rares dans un couple car la tendresse tout comme la proximitĂ© sont des clĂ©s de l’épanouissement et de la complicitĂ© et malheureusement de nombreuses personnes l’oublient. En plus de le rappeler verbalement Ă  son partenaire que l’on tient Ă  lui/elle il est nĂ©cessaire de lui apporter davantage. Les signes d’affections dans le couple ne sont pas simplement des gestes de gentillesse mais ce sont aussi le reflet de votre amour pour celui ou celle qui partage votre vie. L’importance de la tendresse dans un couple Beaucoup de personnes ne se rendent pas compte que les signes d’affection dans le couple sont d’une importance capitale et qu’il ne faut pas les nĂ©gliger. Demandez-vous un instant ce qui diffĂ©rencie les simples amis du couple. Comment un couple peut se diffĂ©rencier dans la foule ? Tout simplement par des gestes de tendresse l’un envers l’autre. C’est la preuve de votre amour, que vous ĂȘtes dans une relation. De plus les moments d’affections dans le couple peuvent vous permettre de surmonter les pĂ©riodes difficiles. Les bras de son partenaire sont un moyen de se sentir rĂ©conforter quand on en ressent le besoin. C’est donc votre implication dans la relation qui est reflĂ©tĂ©e Ă  travers les signes d’affection dans le couple. Vous pouvez rassurer votre partenaire sur les sentiments que vous lui portez. Car si la prĂ©sence de gestes tendres est positive, leurs absences peuvent avoir des consĂ©quences nĂ©gatives sur le couple. Votre partenaire pourrait le prendre comme un manque d’amour, une baisse des sentiments ». Les diffĂ©rents signes d’affection dans le couple Comprendre la dĂ©finition de l’affection est important pour savoir quels sont les meilleurs signes d’attention Ă  faire Ă  votre conjointe. L’affection c’est bien sĂ»r les bisous, les cĂąlins, les mots doux susurrĂ©s Ă  l’oreille de son partenaire. Mais ce n’est pas tout vous pouvez vous montrez plus proche de celui ou celle qui partage votre vie. Il y a aussi une maniĂšre moins directe » pour avoir des signes d’affections dans le couple. Mais dans ce cas, il s’agit plus d’attitudes ou d’un comportement. Ce ne sont pas seulement des gestes mais bien une maniĂšre de se comporter avec votre partenaire. Les signes d’affections dans le couple ne sont donc pas uniquement tactiles. Il faut ĂȘtre Ă  l’écoute, disponible, s’intĂ©resser Ă  ce que vous raconte votre moitiĂ©. Toutefois, bien que les signes d’affection dans le couple soient importants il ne faut pas non plus en abuser car ils pourraient alors se retourner contre vous. Ne rĂ©clamez pas des bisous ou des messages Ă  chaque instant Ă  votre partenaire, la surprise et surtout le naturel sont nĂ©cessaires et il faut donc Ă©viter de tomber dans une forme de routine affective. Amicalement, Votre conseiller pour saisir l’importance des signes d’affection dans le couple Alexandre CORMONT
Jene sais plus ou j'en suis, je ne sais mĂȘme plus si c'est lui que je veux ou si je ne supporte juste pas cet Ă©chec. Parfois je me dis que je vais attendre qu'il revienne, juste pour pouvoir lui dire d'aller se faire foutre. C'est moche, c'est puĂ©ril et ça ne sert Ă  rien
Bad gateway Error code 502 Visit for more information. 2022-08-26 170614 UTC You Browser Working Frankfurt Cloudflare Working Host Error What happened? The web server reported a bad gateway error. What can I do? Please try again in a few minutes. Cloudflare Ray ID 740e2827dd149bda ‱ Your IP ‱ Performance & security by Cloudflare

Jene veux pas faire l'apologie de mes records d'alcoolémie, mais il y a une quinzaine d'années, avec un pote, quand on sortait dans un endroit pour danser, on buvait à deux une bouteille de

depuis Recon News 03 avril 2021 Yvan, Ă©galement connu sous le nom de membre QueerYvan, est un historien de la sexualitĂ©. Dans une sĂ©rie d'articles, il Ă©voque quelques-unes de ses rencontres fĂ©tichistes favorites avec beaucoup de dĂ©tails, et il partage occasionnellement des informations sur l'histoire du Charlie, mon meilleur garçon. Je suis encore allĂ© jouer avec les hommes en cuir. Deux grands spĂ©cimens magnifiques qui portaient tellement bien leurs cuirs. L'un d'eux a une barbe rousse broussailleuse, une grosse moustache, et ses cheveux sont toujours bien mis. L'autre a des cheveux bruns trĂšs courts, et comme moi, il a beaucoup de tatouages et une poitrine velue, ses poils frisĂ©s n'ayant pas encore virĂ© au gris comme les miens. Il a Ă©galement un piercing sur sa bite, d'une Ă©paisseur de 00. Il me l'a enfoncĂ© dans la gorge tellement de fois que je ne peux pas l'imaginer dans ce piercing. Ils sont toujours vĂȘtus de cuir de la tĂȘte aux pieds; je ne pourrais pas les imaginer portant autre chose. Le roux, Berlin Rob, portait le mĂȘme t-shirt en cuir, le mĂȘme jean en cuir noir et les mĂȘmes bottes de biker que ceux qu'il porte toujours quand on se voit. Je ne l'ai jamais vu sans gants en cuir; il les a mĂȘme dĂ©jĂ  eus aux mains en me fistant. Sadiq, le plus audacieux des deux, a une immense collection, et je ne l'ai jamais vu deux fois porter les mĂȘmes cuirs. Parfois, c'est une tenue complĂšte de moto, un cuir noir classique comme dans L'ÉquipĂ©e sauvage, ou une tenue de course noire et blanche, adaptĂ©e de telle sorte qu'il peut sortir son paquet quand il a envie de niquer. Quand il fait chaud, je l'ai vu ne porter qu'un jockstrap en cuir et des Doc Martens Ă  18 trous, les jours oĂč il veut que je m'occupe de son trou et de sa superbe bite. Aujourd'hui, il portait un maillot noir, des jambiĂšres en cuir assorties et ses Docs Ă  nouveau la tenue formelle des pĂ©dĂ©s. Viens nous voir », m'ont-ils dit, bien que je ne sache plus lequel des deux m'a invitĂ©. On a une surprise pour toi. »Je me suis prĂ©parĂ©. JambiĂšres en cuir noir et un jockstrap facile Ă  dĂ©faire afin qu'ils puissent se servir de ma bite et de mes boules Ă  leur guise. Je portais Ă©galement un dĂ©bardeur de Tom of Finland sous ma veste en cuir, que j'allais laisser Ă  l'entrĂ©e. En laçant mes bottes, je me demandais vraiment ce qui m'attendait. Ma surprise, c'Ă©tait que je n'allais pas faire le passif. Il y avait un boy super sexy qui viendrait jouer, qu'ils avaient trouvĂ© sur une appli, et ils voulaient que je l'essaie en premier. Il est arrivĂ© pas longtemps aprĂšs moi. Charlie Ă©tait carrĂ©ment le genre de mec que j'aime baiser. D'Ăąge mĂ»r, petit, tĂȘte rasĂ©e, pas de barbe, pas de poils sauf aux aisselles, poils pubiens noirs et frisĂ©s, et poils foncĂ©s au niveau de son cul. Des sourcils parfaits encadraient ses yeux français sombres. Ses lĂšvres Ă©taient pulpeuses et affamĂ©es. Son corps Ă©tait fort. De superbes tatouages de motifs noirs et une vue du mont Fuji sur son dos. Il portait un short en cuir noir avec une fermeture Ă©clair qui faisait tout le tour pour donner accĂšs Ă  son cul. Je lui ai dit de retirer son dĂ©bardeur, et je pouvais voir un cerce noir tatouĂ© autour d'un de ses tĂ©tons, les deux Ă©tant percĂ©s avec de gros anneaux. Je me suis levĂ© pour voir de plus prĂšs. On lui avait dit de ne pas se doucher ce matin-lĂ , et de ne pas porter de dĂ©o durant toute la semaine avant notre rendez-vous. Je l'ai respirĂ©. Son odeur me montait Ă  la tĂȘte et elle changeait Ă  mesure que je reniflais diffĂ©rentes parties de son corps. Je me tenais derriĂšre lui et l'ai fait tourner pour qu'il se trouve face au miroir pendant que je passais mes mains sur lui, le sentant comme si son corps Ă©tait le mien. Son dos Ă©tait fort, ses bras musclĂ©s Ă  mon goĂ»t. Son ventre Ă©tait lisse, doux, avec un fin filet de poils qui m'invitaient Ă  me diriger vers l'intĂ©rieur de son short. Je passais mon bras autour de sa poitrine ferme et plate, l'attirant vers moi, et je regardais son visage pendant que je mettais ma main droite dans son slip. Il Ă©tait dĂ©jĂ  excitĂ©, et je jouais avec lui en ignorant sa bite mais en tripotant ses boules, et je le caressais afin de sentir son plaisir enfler, en mettant la pression sur son pĂ©rinĂ©e, rĂ©veillant sa prostate. On va te niquer Ă  mort », lui dis-je doucement Ă  l'oreille, et je pouvais le sentir se crisper d'excitation. Tu vas ĂȘtre ma salope ce soir, notre salope. » Il fermait les yeux pour se concentrer sur son excitation, et je frottais mes doigts contre sa bite. Tu seras encore bĂ©ant quand on en aura fini avec toi » lui dis-je, et il a poussĂ© un soupir. C'est ce que tu veux ? C'est pourquoi tu es venu ? » Il secoua la tĂȘte, un air rĂȘveur sur son visage, ses yeux toujours fermĂ©s. J'ai pris son tĂ©ton entre mes doigts et mon pouce et j'ai pressĂ© fort, sans relĂącher la pression entre ses jambes. Ses tĂ©tons Ă©taient foncĂ©s, Ă©pais, bouffis, comme s'ils avaient Ă©tĂ© sucĂ©s de nombreuses fois par le passĂ©. Le mĂ©tal Ă©tait froid dans sa chair souple, et j'ai serrĂ© tellement fort avec mes doigts que la sensation l'a fait ouvrir les yeux. C'est mieux », lui dis-je. Tu devrais clairement regarder les gens dans les yeux quand ils te parlent. »- Pardon, monsieur », me dit-il. - Monsieur ? Qui t'a dit de m'appeler monsieur ? Je m'appelle Yvan » lui dis-je, retirant brusquement ma main de son short, et pinçant son autre tĂ©ton percĂ©. Regarde, dans le miroir. Ne regarde pas autre chose que ton corps » lui dis-je, en pinçant l'acier de ses tĂ©tons plus fort. Son visage se tordait, mais il allait bien. Il Ă©tait revenu au moment prĂ©sent en respirant fort, le regard fixe. - Que vas-tu faire pour nous ce soir ? » lui ai-je demandĂ©. - Tout ce que tu veux, Yvan » rĂ©pondit Charlie, doucement. J'ai tirĂ© plus fort sur ses tĂ©tons, les faisant s'Ă©loigner de son corps, le soulevant par leur biais jusqu'Ă  ce qu'il se tienne sur ses orteils, essayant de supporter cette insoutenable sensation. Plus fort, mon garçon. Ils ne peuvent pas t'entendre. » - Je ferai tout ce que vous voudrez, faites de moi votre chose » dit-il avec une voix ferme, grinçant des dents alors que je tordais et tirais sur ses tĂ©tons. - Bien. » rĂ©pondis-je, puis je me suis mis Ă  frapper mes mains contre sa poitrine, Ă©crasant ses tĂ©tons. Je pouvais voir qu'il avait mal. C'est dommage que je n'aie pas apporter des aiguilles. J'aurais adorĂ© te percer les tĂ©tons encore une fois, pour que tu n'arrĂȘtes pas une seconde de penser Ă  tes tĂ©tons. » Il ne rĂ©pondit rien. Je pouvais voir qu'il aimait plus le look de ses piercings que la douleur qu'il avait endurĂ©e pour les avoir. Mais il allait bien. Il m'avait donnĂ© ce que je voulais. Je l'ai fait se retourner et j'ai pris son visage dans mes mains et l'ai embrassĂ©. Il aimait embrasser avec empressement, ses lĂšvres douces entrouvertes, sa bouche accueillant ma langue. Il pressait son corps contre le mien quand nous nous sommes embrassĂ©s. Il se donnait Ă  moi, frottant son paquet contre mon cuir. J'ai attrapĂ© sa tĂȘte, sa barbe de trois jours me chatouillant les doigts. Quelle salope, celui-lĂ  » dit Sadiq. OĂč l'as-tu trouvĂ©, Rob ? »- Il me courait aprĂšs sur Recon. Je lui ai dit que j'avais un copain et qu'on baisait seulement tous les deux, et il a dit que ça lui plaisait. Alors, je lui ai dit que je voulais une partouze, et il a dit que ça l'avait toujours fait fantasmer, qu'il voulait ĂȘtre la plus grande salope de la Terre », c'Ă©tait ses mots exacts. Et nous y voilĂ . »- Nous y voilĂ , effectivement. » dis-je aux hommes, puis je me suis retournĂ© vers Charlie. Ouvre la bouche » dis-je. Il obĂ©it, en sortant sa langue. J'ai crachĂ© Ă  l'intĂ©rieur et l'ai regardĂ© avaler. Tu es un bon garçon » dis-je. Tu vas me faire plaisir. Nous faire plaisir. » Je lui ai crachĂ© au visage, et j'ai Ă©talĂ© la salive, le dĂ©gradant, lui faisant voir ce que c'est exactement que de vouloir ĂȘtre une salope. J'ai mis mes doigts dans sa bouche, au fond de sa gorge, et j'ai vu comment la texture changeait en caressant sa gorge. Vas-tu nous rendre heureux ? » ai-je Oui » balbutia-t-il, et je pouvais sentir combien il lui Ă©tait difficile de faire passer sa voix entre mes doigts. Ses yeux Ă©taient parlants. Il avait faim. J'ai repoussĂ© son visage. Montre-nous ce que tu peux faire », lui ai-je dit. Il se retourna et je touchais son beau corps, agrippant son cul, qui Ă©tait bien rond. Je veux te donner une fessĂ©e, » lui dis-je, et il s'est accroupi devant moi. Je l'ai prĂ©parĂ© un peu au travers de son short en cuir, ce qui attĂ©nuait mes coups secs en un bruit sourd. Ça ne suffit pas », lui dis-je, en ouvrant son short, l'enlevant brusquement et le jetant par terre pour rĂ©vĂ©ler son cul appĂ©tissant. Il ne portait rien d'autre que ses bottes. Je l'ai fait se tenir debout avec ses mains accrochĂ©es Ă  un anneau suspendu au plafond, et je lui ai dit de compter jusqu'Ă  dix pendant que je frappais fort sa fesse gauche. Il s'est tortillĂ©, mais il ne m'a pas dit d'arrĂȘter et son cul est devenu rouge Ă  l'endroit oĂč je l'ai frappĂ©. Penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? » ai-je demandĂ©. Tu n'as pas arrĂȘtĂ© de bouger. » Il Ă©tait déçu, mais ne disait rien. Je l'ai regardĂ© dans les yeux. Je t'ai posĂ© une question, penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? »- Non, pardon Yvan. »- Est-ce que tu peux faire mieux ? »- Oui, je le peux. »- Bien. Je vais te tenir. Sadiq, viens ici. » Il s'approcha, se frottant les mains en soulevĂ© le garçon en enveloppant ses jambes autour de moi. Frappe-le », dis-je Ă  Sadiq, et chaque coup sur son cul Ă©tait plus fort que le prĂ©cĂ©dent. Quand je l'ai redescendu, on a plaisantĂ© en disant que Sadiq frappait plus fort que moi. Vingt coups, et son cul Ă©tait sacrĂ©ment rouge. Rob regardait le spectacle, buvant de l'eau et fumant une cigarette. J'ai mis le garçon sur ses genoux, penchĂ© sur le fauteuil en cuir. Je pouvais sentir ma bite enfler, contractĂ© dans mon jockstrap, et j'ai dĂ©cidĂ© de l'enlever. J'aimais le faire attendre, et faire en sorte que les deux hommes puissent le voir exposĂ© comme ça. Écarte tes fesses » dis-je, pour nous amuser encore plus. Il Ă©tait trĂšs sexy. Son cul Ă©tait rond et il nous excitait, avec des poils noirs bouclĂ©s autour de son trou du cul rose. Ses couilles se balançaient, et j'ai placĂ© la semelle de ma botte contre elles, les pressant Ă  plat contre le fauteuil. Ses gĂ©missements me faisaient savoir Ă  quel point il aimait ça, et j'ai augmentĂ© ma force, les Ă©crasant encore plus. Tu as un beau cul, » dis-je, et je me suis approchĂ© pour le mis mon visage dans son cul et j'ai lĂ©chĂ© toute la sĂ©crĂ©tion de ce jour-lĂ , sueur salĂ©e avec toute la saveur du garçon. Je l'ai attrapĂ©, Ă©cartĂ© ses fesses, mangĂ© ses couilles et son pĂ©rinĂ©e, et l'ai baisĂ© avec ma langue, dans une vraie frĂ©nĂ©sie. Je me suis Ă©loignĂ© un peu et l'ai regardĂ©, lui disant Ă  quel point il Ă©tait bon petit cochon et que je voulais le pĂ©nĂ©trer. Il gĂ©mit, hocha la tĂȘte et dit Tout ce que tu veux », et j'ai pris cela comme son recouvert mes doigts de lubrifiant silicone et me suis facilement glissĂ© en lui. Un doigt, deux doigts. J'ai localisĂ© sa prostate et me suis concentrĂ© dessus avec des mouvements dĂ©licats, en suivant son souffle alors que je sentais l'Ă©nergie sexuelle dans son corps augmenter. J'ai accĂ©lĂ©rĂ© le rythme, en pĂ©nĂ©trant son cul plus profondĂ©ment, sentant son trou du cul se dilater autour de mes doigts. J'adore la sensation d'un cul qui se dilate pour moi, et j'ai commencĂ© Ă  entrer et sortir mes doigts, de plus en plus vite et plus profondĂ©ment, mon autre main lui serrant les couilles fermement. S'il te plaĂźt, mets un autre doigt en moi », J'adore les salopes qui en demandent plus », dis-je. Je lui ai mis trois doigts d'abord, puis quatre doigts, faisant glisser ma main vers l'intĂ©rieur et l'extĂ©rieur jusqu'Ă  ce que je le dilate autour de la partie la plus large de la main, et mon pouce Ă©tait la seule chose qui m'empĂȘchait d'entrer tout mon poing. Il n'arrĂȘtait pas de gĂ©mir, il ne retenait rien du tout. J'adore quand un mec se donne Ă  fond comme ça. Les hommes regardaient tous les deux, attentivement, et se branlaient alors que je jouais avec le garçon qu'ils avaient choisi pour les amuser. J'entrais et sortais, plus vite et plus fort, ressentant les vagues de plaisir qui envahissaient Charlie, le baisant comme j'adore me faire baiser. Jouiras-tu encore pour moi ? » lui demandais-je, alors qu'il Ă©tait Ă©vident qu'il allait encore jouir. Je pouvais presque voir le liquide prĂ©-sĂ©minal dĂ©gouliner sur le cuir du Puis-je, s'il vous plait ? » dit-il en Bien sĂ»r, jouis. » dis-je en le pĂ©nĂ©trant encore plus fort, sentant son trou se refermer autour de ma main, puis son corps essayant de me repousser alors qu'il serrait sa chair avec une force brutale. Je n'ai pas arrĂȘtĂ©. Alors que son corps se contractait, j'ai continuĂ© Ă  pousser de plus en plus fort, Ă©tonnĂ© de voir comment il s'Ă©tait rendu. Il jouit encore et encore, coulant des riviĂšres de sperme de sa queue flasque jusqu'au sol. C'Ă©tait un orgasme si intense qu'il se tordait involontairement et donnait l'impression qu'il allait C'est bien mon garçon, tu as tout donnĂ©, » lui dis-je en retirant mes doigts de son cul bĂ©ant. Mange, cochon, » lui dis-je, le forçant Ă  rapprocher son visage de son propre sperme sur le parquet. Il Ă©tait impatient et avait soif, un passif dĂ©sespĂ©rĂ© essayant de plaire aux autres en se concentrant sur cette tĂąche dĂ©licate. J'Ă©tais content et je le lui ai dit, et Ă  ce moment-lĂ , son visage s'est illuminĂ© d'un sourire et d'une profonde tellement excitĂ© que j'ai dĂ» le baiser. Ma queue la pĂ©nĂ©trait facilement, son cul palpitait toujours Ă  cause de mes doigts experts, et il gĂ©missait sur le sol, son visage pressĂ© contre la mare de son propre sperme. J'Ă©tais debout, le poussant profondĂ©ment, entendant ses grognements alors que je le pĂ©nĂ©trais. Son cul Ă©tait doux et chaud autour de ma bite. Il gĂ©missait dĂ©licieusement chaque fois que je le pĂ©nĂ©trais assez fort pour atteindre son deuxiĂšme sphincter. Je sortais pour regarder son cul bĂ©ant Ă  chaque fois que je pensais que j'allais jouir, puis je pĂ©nĂ©trais son cul brusquement Ă  nouveau, retenant mon orgasme aussi longtemps que je le pouvais, travaillant sur mon propre plaisir. Je l'ai remis sur le fauteuil, Ă©tirĂ© son corps pour mettre tout mon poids contre lui, le baisant contre les meubles, le niquant jusqu'Ă  ce qu'il se mette Ă  gĂ©mir et Ă  crier, alors qu'il touchait ses parties gĂ©nitales et se masturbait. Je l'ai baisĂ© fort, avec un de mes genoux clouĂ© sur sa poitrine pour le pĂ©nĂ©trer le plus profondĂ©ment possible, jusqu'Ă  ce que je sente mon orgasme arriver, n'Ă©coutant pas ses gĂ©missements de plaisir mais en me concentrant sur le mien, en utilisant son trou du cul jusqu'Ă  ce que ma respiration s'accĂ©lĂšre, que je jouisse et que je m'Ă©croule sur lui dans la sueur, sentant mon Ă©rection descendre Ă  l'intĂ©rieur de son cul qui palpitait l'ai dĂ©placĂ© plus loin sur le fauteuil, son cul dĂ©passant. Sors-la pour moi » dis-je, et j'ai Ă©cartĂ© ses fesses jusqu'Ă  ce que je puisse voir mon sperme blanc contre la couleur rouge de son cul dilatĂ©. Je l'ai nettoyĂ© avec ma langue, puis je lui ai dit de se mettre Ă  genoux sur le sol devant le miroir. Il est temps que tu les serves, maintenant. » dis-je en dĂ©signant mes amis. Je me suis adossĂ© contre le fauteuil en cuir noir, regardant les deux autres s'amuser avec lui. Sa bouche affamĂ©e couvrait toute la longueur de la queue de Rob, Ă©tirant ses lĂšvres sur toute la largeur de son pĂ©nis de sorte que la salive coulait le long de son menton. Sadiq avait sa longue bite Ă  la main et se tenait derriĂšre le garçon, brossant le cul ouvert de Charlie avec le piercing de sa bite, se servant de mon sperme et de ma salive comme lubrifiant. Je pouvais voir le mĂ©tal de son gros piercing disparaĂźtre dans son trou du cul. C'Ă©tait trĂšs excitant, je me suis remis Ă  bander en me touchant et en regardant Charlie se faire Ă©clater, Sadiq l'attrapant par les Ă©paules pendant que Rob lui niquait la bouche avec sa grosse bite. Quand Sadiq s'est retirĂ©, j'ai vu le sperme couler du cul que j'avais posĂ© mon pied sur un tabouret et j'ai dit Ă  Charlie de s'asseoir sur mes bottes, ses boules collĂ©es contre les lacets rouges. Il a frottĂ© son paquet jusqu'Ă  ce qu'il devienne rouge. Rob Ă©tait derriĂšre lui, baisant son trou du cul sur lequel nous avions dĂ©jĂ  bien travaillĂ©, le baisant pendant que je me branlais. Le plaisir de Charlie Ă©tait prĂ©sent sur son visage, brillant de salive, la bouche ouverte par l'extase. Il a joui sur ma botte pendant que Rob jouissait en lui; quand il s'est levĂ©, je lui ai dit de nettoyer, et il a obĂ©i servilement. Je l'ai laissĂ© finir et lui ai dit de sucer ma bite jusqu'Ă  ce que je jouisse, et j'ai embrassĂ© ses lĂšvres qui sentaient mon sperme. La prochaine fois », dis-je, en supposant qu'ils l'inviteraient Ă  nouveau, je veux le fouetter avec un bĂąton pendant que vous regarderez. Un cul aussi parfait que ça devrait prendre plus que quelques bites. » Ce sont des mecs comme lui qui me donnent envie de ne pas ĂȘtre qu'un passif pour les adeptes du cuir. Partager

LesĂ©lĂšves arrivaient doucement dans la salle, et la plupart partirent directement s'asseoir, sans piper mot. Alors que je guettais la porte d'entrĂ©e, un Serpen Vous souhaitez apprendre Ă  sĂ©duire la gent masculine car votre cĂ©libat ne vous convient plus ou vous avez dĂ©jĂ  la chance de vivre en couple et vous envisagez simplement de rendre votre histoire plus forte ? Peu importe les raisons qui vous conduisent jusqu’à moi, l’important est que soyez arrivĂ©e Ă  l’endroit adĂ©quat car vous ĂȘtes Ă  prĂ©sent entre de bonnes mains. De nombreuses femmes pensent qu’il est simple de comprendre un homme et de vivre une relation Ă©panouissante et sereine. NĂ©anmoins, elles sont tout aussi nombreuses Ă  commettre des erreurs en pensant que le mode de fonctionnement de l’homme qui se trouve devant elle est similaire au leur. Cela ne sera pas forcĂ©ment dramatique pour une relation car ne dit-on pas que l’erreur est humaine ? Certes, mais la suite ce proverbe insiste aussi sur le fait que persister dans son erreur peut devenir nĂ©faste ! La psychologie masculine n’est pas aussi simple que vous pouvez le penser et si votre rĂȘve est d’avoir une histoire d’amour magique vous ne devez rien nĂ©gliger. Je vous propose donc de dĂ©couvrir les 4 rĂšgles essentielles Ă  respecter pour bien vivre avec son partenaire ou crĂ©er une atmosphĂšre propice Ă  la sĂ©duction. Que recherchent les hommes chez une femme ? Avant mĂȘme de chercher Ă  comprendre les hommes, vous devez vous interroger sur ce qu’ils recherchent. Alors je vous invite Ă  rĂ©pondre Ă  la question posĂ©e juste au-dessus dans le titre. Que recherchent les hommes chez une femme ? Prenez quelques minutes pour y rĂ©flĂ©chir. C’est bon ? Vous pensez avoir trouvĂ© ? Et bien je peux d’emblĂ©e vous dire que vous faites fausse route ! En tout cas, si vous avez rĂ©pondu Ă  cette question comme 95 % des femmes interrogĂ©es vous prenez le mauvais chemin. En rĂ©alitĂ©, il faut absolument chercher Ă  diffĂ©rencier chaque personne. Avec vous les mĂȘmes gouts que votre voisine ou mĂȘme que votre meilleure amie ? les mĂȘmes objectifs de vie ? Ou tout simplement les mĂȘmes aspirations ? ForcĂ©ment non ! Alors pourquoi les hommes penseraient-il tous de la mĂȘme façon ? Si vous vous imaginez qu’il suffit d’avoir un beau fessier ou un dĂ©colletĂ© pour comprendre ces messieurs alors vous vous leurrez. Un homme souhaite autre chose d’une relation, mĂȘme s’il faut reconnaitre que le physique a une certaine prĂ©pondĂ©rance dans leurs critĂšres de choix, mais en est-il autrement pour vous ? Un homme recherche avant tout une femme qui possĂšdera une des quatre qualitĂ©s essentielles ou mĂȘme plusieurs tant qu’à faire ! que je vous propose de dĂ©couvrir immĂ©diatement. Un homme veut une confidente MalgrĂ© le fait que certains mĂąles se comportent comme des machos et ne sont pas trĂšs bavards, un homme cherche une femme qui saura l’écouter et prĂȘtera une oreille attentive dans les moments forts mais surtout dans les moments de doutes et les Ă©preuves qu’il sera amenĂ© Ă  traverser. Pour comprendre l’homme de sa vie il faut qu’il se confie et pour cela il a besoin d’une personne Ă  ses cĂŽtĂ©s en qui il a une confiance absolue. Si vous ĂȘtes disponible, Ă  l’écoute, il s’ouvrira Ă  vous et vous serez en mesure de mieux le connaĂźtre et par consĂ©quent mieux le interprĂ©ter ses besoins, mieux savoir quelles sont ses souhaits. De plus, vous serez capable de le conseiller, de savoir ce qui est le mieux pour lui et de le guider vers les bons choix et les meilleures opportunitĂ©s. Un homme veut de la distance Un homme c’est aussi un ĂȘtre paradoxal ! Vous devez toujours avoir cela en tĂȘte. Il veut Ă  la fois une femme qui sache l’écouter mais aussi une femme qui le laisse respirer et qui n’est pas collĂ©e Ă  lui Ă  longueur de journĂ©es. Rien n’est plus irritant pour la gent masculine qu’une compagne qui veut passer tout son temps avec lui et ne le laisse pas seul une seconde. Plus vous allez agir ainsi, plus son besoin et son envie irrĂ©pressible de mettre de la distance sera importante. C’est aussi le meilleur moyen de tomber dans la routine. Une femme qui laisse son compagnon sortir seul par exemple, marquera davantage de point qu’une femme trĂšs possessive et qui n’envisage pas que sa moitiĂ© passe des moments sans elle ou qui scrutera le tĂ©lĂ©phone de son chĂ©ri Ă  longueur de temps. Pour comprendre un homme il faut penser comme lui ! L’un des problĂšmes que connaissent beaucoup de femmes et qu’elles ont du mal Ă  accepter certaines attitudes que leur homme peuvent avoir. NĂ©anmoins, il ne faut pas oublier qu’il y a une grande diffĂ©rence entre hommes et femmes et je ne parle pas uniquement du physique ! Vous devez vous en douter la maniĂšre de se comporter est tout Ă  fait diffĂ©rente non seulement en fonction du sexe, mais aussi en fonction de l’ñge, de l’éducation et de tout un tas d’autres critĂšres plus ou moins subjectifs. Il faut donc accepter que l’homme qui partagera votre vie ne soit pas systĂ©matiquement en accord avec maniĂšre de fonctionner. Pour comprendre un homme il faut donc penser comme un homme ! Ce n’est pas pour vous faire du mal que votre conjoint ne rĂ©pond pas Ă  certaines de vos attentes c’est tout simplement qu’elles ne correspondent pas aux siennes et qu’il n’est pas prĂȘt Ă  se comporter comme vous le souhaiteriez. Certes la vie de couple exige des sacrifices ces derniers doivent ĂȘtre mutuels. S’intĂ©resser Ă  ses passions Attention, je ne vous explique pas que si l’homme que vous souhaitez sĂ©duire est fan de foot il faut absolument vous inscrire dans un club ou bien lire l’intĂ©gralitĂ© des rĂšgles de la Fifa. Contentez-vous dĂ©jĂ  de lire mon ouvrage pour apprendre les bases de la sĂ©duction Le Code de l’Amour » et ce sera parfait ! Pour comprendre les hommes il faut s’intĂ©resser Ă  ce qu’il aime, ce qu’il fait de son temps libre et ĂȘtre capable de converser quelques instants ou de lui demander qu’il vous explique le C’est pour cela que vous devez partager avec lui une partie de ses passions, tout comme il doit le faire pour vous. Il ne s’agit de devenir aussi passionnĂ©e que lui mais de tous simplement comprendre ce qu’il aime, pourquoi il prend du plaisir Ă  le faire, pour ainsi mieux connaĂźtre ses goĂ»ts. C’est aussi une maniĂšre de passer du temps ensemble dans un environnement qu’il affectionne. Amicalement, Votre coach pour comprendre son homme Alexandre CORMONT
VraiFaux Ne sais pas; 22. Il ne supporte pas la critique et nie les évidences. Vrai Faux Ne sais pas; 23. Il ne tient pas compte des droits, des besoins et des désirs des autres. Vrai
Bonjour, J'ai 33 ans, mariée, maman de 3 enfants 9ans, 6 ans et 11 mois . Mon mari ne boit pas au quotidien, il est d'un naturel plutot impulsif mais calme et gentil . Il est une personne trÚs angoissée peur qu'il nous arrive quelquechose, a moi ou aux enfants, peur de la mort, il est trÚs stressé par son travail...par exemple Mais quand il boit, quand on a une soirée ou un repas, malgré mes avertissements quand je sens qu'il est a sa limite car cela se produit tout de meme de maniere réguliere et je commence a connaitre ses limites il continue bien souvent et là c'est la grande débandade, il boit a n'en plus finir et il change completement de personnalité, il se bat meme avec des membres de la famille qu'il apprécie il dit aux enfants qu'il ne les aime pas, il se met dans des situations a risque comme prendre la voiture par exemple il est comme possédé, les yeux pleins de haine et de rage. Cela s'est reproduit il y a 4 jours lors d'un diner chez nous et il s'est battu avec son beau frere, avec les voisins venus nous aider à les separer, j'ai du appeler les gendarmes car on ne maitrisait plus la situation...dans la bagare j 'ai recu des coups et les enfants ont tout vu et ont été trÚs choqués par tout cela. il a meme pris un couteau et voulais se faire le voisin, heureusement les gendarmes sont arrivés et sont intervenus alors que j'essayais de le désarmer... Bref, vous voyez le genre de dérives que l'alcool peut engendrer... Le lendemain , il ne se souviens de rien ou presque, mais il sait qu'il nous a fait du mal , psychologiquement car il ne s'en prend jamais a nous volontairement aux enfants et a moi, il dit que c 'est fini, qu'il ne boira plus...mais au bout d'un certain temps ca fini toujours par recommencer et on souffre a chaque fois et on fini par pardonner... Je ne sais plus quoi faire pour agir, dans un sens je veux proteger les enfants de ce genre de choses , dans un autre , je veux l'aider mais je suis decouragée car ca fini toujours par recommencer...j'aime mon mari d'un amour profond et sincere, mais j'en arrive a me dire que je prefere vivre san slui que de revoir cette haine dans ses yeux Croyez vous que l'alccol n'est pas le probleme principal , ou du moins pas le seul? Les angoisses n'ont elles pas un role dans tout cela? qui consulter? psychologue? alcologue? Il se rend compte du probleme et s'en veut enormement et sent qu'il est en train de nous perdre , il veut trouver une solution...par quel bout prendre le probleme? Par avance merci de vos témoignages, conseils...

Ona fait la fĂȘte et on a un peu bu, et Ă  cette soirĂ©e lĂ , il s'est tapĂ© 2 de mes amies. Le trouvant assez beau Ă  l'Ă©poque et ayant bu, je lui ai dis que je voulais le faire aussi. Et du

Quandje vais t'aborder , tu vas etre au anges , je vais faire comme si je m'interaissait a toi, Tu vas devenir accros a moi, Tu vas tout faire pour me croiser. Tu vas passer 3o minutes de plus dans la salle de bain. On va vraiment devinir plus proche. Tu vas inspecter mon mur facebook a chaque fois que tu en auras l'occasion. Tu vas me trouver

Sortsde destruction pour DPS, guérison pour regagner la vie et endurance, utiliser le bouclier de feu et le mur de feu, puis stun/désarmer les mobs à coups de bouclier pour les faire cramer lentement. :XAXAXA: Pour les mobs à distance : CHARGGGGGGGGGEEEEEZZZZZZ !!!!! /prie pour que son build soit assez atypique.
6 " Je ne suis pas encore prĂȘte Ă  partager ma pizza." L’amour, les garçons, c’est trĂšs bien et vous en rĂȘvez depuis votre tendre enfance. Malheureusement, un jour, vous avez dĂ©couvert la pizza. Et il n’y a rien de mieux qu’une pizza. 7) "Je suis cĂ©libataire par choix. Le problĂšme, c’est que ce n’est pas le mien."

Leconfort d'une relation sentimentale nous fait-il confondre amour et habitude de vie ? Florence Lautrédou, psychanalyste, nous aide à faire le distingo et à se poser les bonnes questions.

Maisil ne veut pas que je l'emmĂšne. Si seulement je l'avais avec moi, je serais sĂ»r de courir le moins de risque possible. Les jeunes de la citĂ© s'Ă©gaieraient comme des Ă©tourneaux. Et peu importe qu'ils aient un pittbul. Iron est plus que dominant. Il ne supporte pas les autres chiens mĂąles. Ca lui vaut d'ĂȘtre attachĂ© toute la journĂ©e devant le
\n \n je ne supporte pas mon mec quand il a bu
0xbm9zS.